« Cette aide induit une rupture d'égalité vis-à-vis des autres étudiants qui n'en bénéficient pas et n'est ni conditionnée au niveau de ressources de l'apprenti, ni ajustée en fonction des autres aides qu'il perçoit », justifie l'exécutif.

D'autre part, cette aide « se superpose avec de nombreux dispositifs existants par ailleurs, financés notamment par les collectivités territoriales ou par l'État » comme le permis à un euro pour les jeunes, le compte personnel de formation (CPF), ou des aides locales, selon le projet de budget.

Le permis de conduire peut toujours être financé par le CPF mais les conditions d'éligibilité ont été durcies en 2024, en imposant un reste à charge de 100 euros et en écartant du financement des permis moto les personnes déjà titulaires d'un autre permis.