Au troisième trimestre 2011, l'établissement avait en effet dû passer d'importantes provisions liées à la dépréciation des titres d'Etat grecs qu'il avait en portefeuille.

De juillet à septembre 2012, le CIC a enregistré un repli de ses revenus en banque de détail et en banque de financement, quand les activités de marché, la banque privée et le capital-développement ont connu une progression.

En banque de détail, l'établissement a néanmoins connu une hausse de 2,3% du nombre de ses clients, à 4,55 millions, et surtout une croissance de 10,9% de ses dépôts, qui atteignaient 80 milliards d'euros en fin de période.

Le CIC a ainsi abaissé son ratio entre crédits et dépôts à 124,4% contre 135,9% fin septembre 2011.