"Il y a probablement encore des actifs à provisionner", estime M. Oudéa. "Nous pensons que ce sera gérable vu le chiffre d'affaires généré par la banque et étant donné que le plus gros a déjà été fait", selon lui.
La banque a émis la semaine dernière un avertissement sur ses résultats du quatrième trimestre en raison de dépréciations et provisions de 1,4 milliard d'euros sur ses actifs "toxiques".
Société Générale avait ajouté qu'elle devrait être "légèrement" bénéficiaire sur les trois derniers mois de l'année, là où le marché tablait sur un bénéfice de près d'un milliard d'euros.
Pour M. Oudéa, Société Générale devrait récolter les "bénéfices" de cet élagage" vers la mi 2011 une fois que les questions de régulation et de capital seraient éclaircies, rapporte le FT.