« Pour moi, ce qui sera déterminant, c'est qu'à la fin 2013, nous puissions montrer que nos activités de (banque de) détail à l'international nous apportent de la croissance et plus de rentabilité qu'à l'heure actuelle et qu'elles constituent un avantage » par rapport à une présence plus axée sur la zone euro, a fait valoir le patron de la SocGen au journal britannique.
En Russie, Société Générale doit affronter les géants locaux que sont Sberbank, VTB et Gazprombank. En Roumanie, où le groupe français est numéro deux, le défi est surtout de réduire le coût du risque, a précisé le responsable.