Cette directive prévoit notamment la pratique du « cash-back » qui permet aux commerçants de fournir des espèces à leurs clients. L'ordonnance actualise le cadre juridique des services de paiement, afin de l'adapter aux nouveaux types d'acteurs et de produits, de mieux protéger le consommateur, de renforcer la sécurité des données et de soutenir l'innovation.

Le projet de loi en complète certaines dispositions, notamment afin d'assurer rapidement un haut niveau de sécurité des communications.