zizou
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Quelle technologie de batterie pour les voitures électriques ? Un dilemme de souveraineté industrielle pour l’Europe
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Vous ne croyez pas qu'ils vont accepter de perdre toutes les taxes sur l'essence, le gasoil etc... !nono52 a dit:Bonjour,
Dans la serie : J'invente une nouvelle taxe
Une petite info sur le bonheur d'avoir un véhicule électrique
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Sans a dit:Vous ne croyez pas qu'ils vont accepter de perdre toutes les taxes sur l'essence, le gasoil etc... !
Vous allez voir les taxes sur l'électricité ...
Dans son projet de loi de finances présenté début octobre, le gouvernement prévoyait de remonter cette taxe au-delà des 32 €/MWh d’avant-crise, pour dégager les 3 milliards de recettes supplémentaires. L’accise aurait alors atteint environ 40 €/MWh. L’exécutif estimait que la chute des prix de l’électricité aurait rendu cette hausse indolore, et que les factures baisseraient quand même de 9 %. Maintenant que cette hausse de taxe est abandonnée, ces factures diminueraient d’environ 15 %.
Mais ce n'est certainement pas fini ... d'une façon ou d'une autre ... Hors de question que les recettes de l'État diminuentJMV a dit:Quand même déjà super taxée, l'électricité ( en € par kg de CO2 ) :
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Un peu de mal a imaginer un mutation totale de la production des VE en 2035.PepeR a dit:En considérant la mutation totale de la production de voitures électriques pour 2035 et la mutation croissante du parc qui suivra, il serait pertinent et prudent d'imaginer une trajectoire de mutation de la fiscalité liée.
Ils parlent seulement du coût de l'énergie ?zizou a dit:Dans une étude, l’Avere France, association soutenant la mobilité électrique, est arrivée à un calcul, en dessinant le portrait-robot du « conducteur typique », parcourant 11 000 km par an.
Même en utilisant régulièrement les bornes publiques lors de trajets longs, l’électrique lui revient entre 34,89 et 41,63 euros par mois, contre 104,24 à 116,43 euros pour un modèle thermique.
Je ne dispose pas de suffisamment d’information pour calculer le retour sur investissement
Ou à partir en courant..MDacier a dit:Publi reportage a pleurer de rire
La nouvelle R5 en tête des ventes de voitures électriques
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Électrique?MOMO9191 a dit:Ou à partir en courant..
De nombreux loueurs ne proposent pas de VE, ou alors beaucoup plus cher que les VT ...zizou a dit:En difficultés financières après avoir acheté massivement des véhicules électriques que ces clients délaissent et dont l’entretien est très coûteux, Hertz, l’un des géants mondiaux de la location de voitures de courte durée, a décidé de se séparer de 30.000 voitures électriques. Mais il a le plus grand mal à trouver des acheteurs au point d'essayer directement de les vendre à prix cassés à des clients qui les ont récemment loué.
Et oui continuons à laisser les politiques décider que nous européens nous devons oeuvrer à sauver la planète !zizou a dit:Les institutions européennes (Commission et Parlement) et les gouvernements des pays de l’Union sont à l’origine de la crise sans précédent que traverse aujourd’hui l’industrie automobile du vieux continent. Ils ont détruit, sciemment ou pas, l’une des rares industries mondiales dans laquelle l’Europe était encore compétitive et même dominante pour des gains environnementaux très limités. Il existe peu d’exemples dans l’histoire d’un tel sabordage.
L’interdiction en Europe de la vente de véhicules neufs à moteur thermique d’ici 2035 est de plus en plus violemment contestée dans les pays de l’Union comme par les constructeurs.
La France dont la production automobile s’est effondrée sur son sol [lien réservé abonné] depuis 20 ans, elle a chuté de 59% depuis 2004 [lien réservé abonné], fait presque figure d’exception par son indifférence. Mais en Allemagne, en Italie, en Espagne et dans les pays de l’Est le rejet de la transition à marches forcées vers la motorisation électrique devient massif.
Parce qu’elle provoque une crise sans précédent de l’industrie automobile dans toute l’Europe avec une avalanche de fermetures d’usines et de licenciements.
Il y a à cela trois raisons prévisibles que les politiques ont volontairement ignorées : la réticence persistante des consommateurs, la concurrence chinoise irrésistible et les erreurs à répétition des dirigeants des groupes automobiles.
Rappelons que l’automobile représente 13,8 millions d’emplois et 7% du PIB de l’Union Européenne.