Friedrich
Contributeur
Bonjour et merci pour toutes ces précisions.
Donc, finalement, 8.000 dossiers contenant tous des erreurs de calcul certifiés par des juristes, des professeurs de droit, des experts qualifié et des mathématiciens, mais seulement 10 % reconnus comme telles par les tribunaux, c’est un résultat assez impressionnant ! On en connaît les raisons ? Car si une erreur est avérée, comment peut-on ne pas être reconnu dans son droit par le tribunal ? Où ça a péché ?
Du coup, il me vient à l’esprit une autre question simple : quelles sont les compétences reconnues du gérant fondateur d’Humania ? Quelles sont ses formations académiques et son parcours professionnel ? Est-il juriste, financier, cadre de banque, cadre d’assurance, mathématicien, statisticien, économiste, actuaire, expert de justice (dans quel domaine), ou ... ? Car au fond, se lancer dans une telle entreprise sans connaissance précise en matière de prêt bancaire est la marque d’un courage certain et d’un sens entrepreneurial fort, non ?
Par exemple, moi, si on me demande de construire un pont, je vais commencer par m’assurer que j’ai le bagage technique suffisant pour le faire et diriger les travaux qui vont suivre.
Pour la prescription, pourquoi les avocats n’ont-ils pas cherché à faire courir le délai à partir de la date de la révélation de l’erreur, comme mon avocat l’a fait ?
Merci par avance pour les éclairages que vous voudrez bien apporter, cette affaire est intellectuellement très intéressante sous bien des aspects.
Donc, finalement, 8.000 dossiers contenant tous des erreurs de calcul certifiés par des juristes, des professeurs de droit, des experts qualifié et des mathématiciens, mais seulement 10 % reconnus comme telles par les tribunaux, c’est un résultat assez impressionnant ! On en connaît les raisons ? Car si une erreur est avérée, comment peut-on ne pas être reconnu dans son droit par le tribunal ? Où ça a péché ?
Du coup, il me vient à l’esprit une autre question simple : quelles sont les compétences reconnues du gérant fondateur d’Humania ? Quelles sont ses formations académiques et son parcours professionnel ? Est-il juriste, financier, cadre de banque, cadre d’assurance, mathématicien, statisticien, économiste, actuaire, expert de justice (dans quel domaine), ou ... ? Car au fond, se lancer dans une telle entreprise sans connaissance précise en matière de prêt bancaire est la marque d’un courage certain et d’un sens entrepreneurial fort, non ?
Par exemple, moi, si on me demande de construire un pont, je vais commencer par m’assurer que j’ai le bagage technique suffisant pour le faire et diriger les travaux qui vont suivre.
Pour la prescription, pourquoi les avocats n’ont-ils pas cherché à faire courir le délai à partir de la date de la révélation de l’erreur, comme mon avocat l’a fait ?
Merci par avance pour les éclairages que vous voudrez bien apporter, cette affaire est intellectuellement très intéressante sous bien des aspects.