Bonjour Le Ministre Véran a répondu à ma préoccupation:
Imaginons qu'il y ait en France 50 000 lits de réanimation. On laisserait le virus se répandre ? Non ! Lors de la 1ère vague, il y a eu près de 20 000 réas et 30 000 décès. Statistiquement, plus il y a de formes graves, de réas, plus il y a de décès. ... Ce que nous voulons, c'est freiner le virus, éviter les formes graves, limiter les réas et les décès. Au-delà des capacités hospitalières, c'est la vie des Français que nous protégeons.
la stratégie a donc changé, il ne s'agit pas de freiner pour ne pas engorger, mais freiner pour éviter les formes graves......
je ne sais si le virus le sait...????
il est vrai que l'on soigne de mieux en mieux;
Beargent a dit:
Ils/Ont fait comme on peut.
Ce fatalisme m'étonne; sur ce forum, nous sommes habitués à dire qu'avant de préférer tel ou tel investissement, il faut définir ses objectifs et donc sa stratégie; et il me semble que les cours de bourses, les règlementations diverses, et les accidents de la vie, introduisent autant d'inconnues et de paramètres dans la gestion personnelle des produits d'investissements que le virus n'en introduit dans la vie;
Je ne reproche pas aux dirigeants de faire évoluer les décisions, voire de prendre des décisions contradictoires en fonction de l'évolution de la pandémie; je leur reproche de ne pas prendre des actes en fonction de leurs analyses;
Si le confinement a été fait pour éviter l'engorgement, alors il fallait en même temps que le confinement prendre les mesures à long terme pour éviter un futur engorgement des réa( en 2022? 2025? 2030?)
Si les mesures actuelles sont destinés à avoir moins de forme graves, (comme le dit o.Véran) , alors il faut renforcer la médecine de ville et les centres hospitaliers chargés de recevoir ces patients moins gravement atteints;
Rien de tout cela n'est fait, au niveau des dirigeants, on constate, on attend, et on parle...