Aristide
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Oui, sauf négociation d'une exonération totale ou partielledodo1 a dit:Concernant l'IRA lors d'un rachat de prêt elle est de toute façon dû à la banque.
Pour la succession d'une manière plus généraleDans mon cas il n'y aurait que le décès car je suis exclut de l'invalidité mais effectivement il est intérréssant d'en tenir compte pour mon conjoint.
j'ai lu le petit billet sur le blog ou vous comparer les deux hypotheses.
Dans l'hypothese de l'achat a crédit on ne tient pas compte du cout du crédit ?
Non seulement il est tenu compte du "coût du crédit (simple ***)" mais du "coût du crédit corrigé" c'est à dire du manque à gagner en intérêts sur l'apport personnel investi (prêt que l'emprunteur se consent à lui même au taux de son épargne) et sur toutes les mensualités payées à la banque.
(***) Rappel : Le coût du crédit simple est le critère de comparaison le moins pertinent.
Dans l'hypothese de l'achat avec de l'épargne préhéxistente on ne tient pas compte qu'on n'a plus de charge de loyer, ce qui permet de reconstituer une épargne.
Il ne s'agit pas là de comparer entre le choix de devenir propriétaire et celui de rester locataire (c'est l'objet d'un autre billet de mon blog)
Dans ce cas vous pourriez comparer :
+"Etre locataire" avec "Etre propriétaire sans crédit = utilisation épargne préalable"
Et
+ "Etre locataire" avec "Etre propriétaire avec crédit = épargne préalable conservée".
Il s'agit de vérifier :
"Pour l'investissement que j'ai décidé d'acheter (= il n'est plus question de payer des loyers) qu'est-ce qui me coûtera le moins cher :
+ Le choix d'un autofinancement ?
Ou
+ Le choix d'un recours au crédit ?"
Cdt
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