Piratage massif chez l opérateur Free: 5 millions d IBAN dans la nature, quels sont les risques pour les victimes ?

AlbertoWin a dit:
Et piurquoi ils risquent rien lol??

Un organisme peut toujours récupérer son argent si la personne est sous FICP.

C’est donner un chequier à un FCC qui rend responsable la banque ou le surendettement qui gelé les dettes.. FICP n’empêche ni les crédits ni le recouvrement.

J ai été FICP pendant le COVID et jamais je n ai pu faire un achat en 3 ou 4 fois en ligne. J avais toujours un non automatique. Quel que soit l organisme de crédit. Et ce dès le début, une fois que j avais entré les données demandées dont justement le nom, prénom, date et lieu de naissance justement.

Une fois le fichage levé, comme par miracle, c est redevenu possible.

Faire une demande de crédit en ligne en étant FICP, vous êtes stoppé dès la première page, avant que votre dossier ne sois transmis pour vérification. La encore, j ai pu tester:

« Nous sommes désolés mais nous ne pouvons donner une suite favorable à votre demande «

Donc être fiché FICP vous protège de demande de crédit frauduleuse sous votre nom, du moins en ligne.
 
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Et on remercie aussi BoursoBank d interdire les connexions par VPN aussi car ça complique beaucoup la tâche des hackers. Il faut passer par des PC Zombie français de rebond, qui sont infiniment moins nombreux depuis que Windows intègre un antivirus et pare-feu automatiques.

Y en a toujours , mais en quantité bien moindre.
 
Dernière modification:
zeldus a dit:
Donc être fiché FICP vous protège de demande de crédit frauduleuse sous votre nom, du moins en ligne.
Oui en grande partie en effet. Mais elle n’empêche pas l'organisme de récupérer sa créance.
zeldus a dit:
BoursoBank d interdire les connexions par VPN
Toutes les banques bloquent les connexions suspects dans d’autres pays. Et chaque connexion à un nouvel appareil doit être valide après authentification forte.
 
Quelqu'un a donné le fil vers un courrier-type rédigé par Que Choisir [lien réservé abonné] à envoyer à sa banque pour créer une "liste blanche" des créanciers autorisées à effectuer un prélèvement.

Pour chacun , il faut indiquer ces informations : "Nom du fournisseur (exemple : électricité) ; numéro d’identifiant créancier SEPA (« ICS ») ; RUM"

La consultation de mon compte ne mentionne pas l'ICS et le RUM → message à la banque pour les obtenir :-/
 
Winfried a dit:
Quelqu'un a donné le fil vers un courrier-type rédigé par Que Choisir [lien réservé abonné] à envoyer à sa banque pour créer une "liste blanche" des créanciers autorisées à effectuer un prélèvement.

Pour chacun , il faut indiquer ces informations : "Nom du fournisseur (exemple : électricité) ; numéro d’identifiant créancier SEPA (« ICS ») ; RUM"

La consultation de mon compte ne mentionne pas l'ICS et le RUM → message à la banque pour les obtenir :-/
Un peu de mal a comprendre ...
Par défaut la banque accepte le paiement a des tiers sur la seule et unique foi d'un RIB/IBAN ?! (je ne parle pas des reglements a des organismes public habilités comme impots.gouv evidemment).
 
MDacier a dit:
Un peu de mal a comprendre ...
Par défaut la banque accepte le paiement a des tiers sur la seule et unique foi d'un RIB/IBAN ?! (je ne parle pas des reglements a des organismes public habilités comme impots.gouv evidemment).
Bonjour @MDacier ,

La banque du débiteur acceptera une demande de prélèvement via un mandat SEPA émis par le créancier (celui-ci possède pour le faire un ICS délivré par la Banque de France).

Tant que le débiteur ne s'oppose pas aux prélèvements, sa banque acceptera de payer le créancier.
Dans le cas contraire, la banque du débiteur s'adressera à la banque du créancier pour lui demander de fournir le mandat signé. S'il n'y a pas eu de signature de mandat ou falsification, la banque du créancier devra rembourser à la banque du débiteur le montant du prélèvement.

Depuis l'entrée en vigueur des mandats SEPA, seul le créancier détient le mandat signé par le débiteur.
 
attentif a dit:
Bonjour @MDacier ,

La banque du débiteur acceptera une demande de prélèvement via un mandat SEPA émis par le créancier (celui-ci possède pour le faire un ICS délivré par la Banque de France).

Tant que le débiteur ne s'oppose pas aux prélèvements, sa banque acceptera de payer le créancier.
Dans le cas contraire, la banque du débiteur s'adressera à la banque du créancier pour lui demander de fournir le mandat signé. S'il n'y a pas eu de signature de mandat ou falsification, la banque du créancier devra rembourser à la banque du débiteur le montant du prélèvement.

Depuis l'entrée en vigueur des mandats SEPA, seul le créancier détient le mandat signé par le débiteur.
Pas sûr de comprendre.
Un créancier peut demander un prélèvement sans le moindre contrôle.
C'est uniquement s'il le "débiteur" potentiel conteste le virement que la banque verifiera si le mandat est bien signé ou valide ? C'est ça ?

(PS : édité)
 
Dernière modification:
MDacier a dit:
Pas sûr de comprendre.
Un créancier peut demander un virement sans le moindre controle.
C'est uniquement s'il le "débiteur" potentiel conteste le virement que la banque verifiera si le mandat est bien signé ou valide ? C'est ça ?
Remplacez virement par prélèvement et c'est à peu près ça.
La banque doit uniquement vérifier si le créancier est autorisé à émettre des prélèvements, pas si un mandat existe. Elle ne dispose pas de l'information, le mandat est connu uniquement du créancier et du débiteur.
 
MDacier a dit:
Pas sûr de comprendre.
Un créancier peut demander un virement sans le moindre controle.
C'est uniquement s'il le "débiteur" potentiel conteste le virement que la banque verifiera si le mandat est bien signé ou valide ? C'est ça ?
Un virement ne se demande pas.
 
Winfried a dit:
Quelqu'un a donné le fil vers un courrier-type rédigé par Que Choisir [lien réservé abonné] à envoyer à sa banque pour créer une "liste blanche" des créanciers autorisées à effectuer un prélèvement.

Pour chacun , il faut indiquer ces informations : "Nom du fournisseur (exemple : électricité) ; numéro d’identifiant créancier SEPA (« ICS ») ; RUM"

La consultation de mon compte ne mentionne pas l'ICS et le RUM → message à la banque pour les obtenir :-/
ICS, RUM ... bu un peu trop de rhum sans doute ? Vous êtes abscons ds vos propos ....
 
MDacier a dit:
Par défaut la banque accepte le paiement a des tiers sur la seule et unique foi d'un RIB/IBAN ?! (je ne parle pas des reglements a des organismes public habilités comme impots.gouv evidemment).
Oui car l’ICS n’est délivré qu’après étude de l’entreprise et que l’entreprise se porte garante des litiges auprès de la banque pendant 13 mois.
Si l’entreprise se révèle insolvable alors la banque du commerçant paie. En conclusion votre banque est mettre de demander un remboursement pendant 13 mois. Et vous dans les 8 semaines sans contestation possible ni de votre banque ni de celle du commerçant.
C’est pour ça que peu d’entreprises acceptent les reglements sepa, pour les risques liés aux impayés.

) A la fin du mandat, conserver celui-ci au minimum 14 mois après la date d’échéance du dernier
prélèvement émis. Ce délai correspond à la période de contestation de l’opération au motif « opération
non autorisée » (délai de 13 mois après le débit du compte du débiteur) à laquelle s’ajoute un délai de 30
jours calendaires pendant lequel la banque du débiteur recherche la preuve du consentement,
[...]
accepter, pour les prélèvements SEPA, les rejets présentés à la Banque par la banque du débiteur avant le règlement (Cf. fiche n° 6.1 de la Brochure CFONB) et leur contre-passation sur son compte, 24) accepter, pour les prélèvements SEPA les retours présentés à la Banque par la banque du débiteur durant un délai de cinq Jours Ouvrés Bancaires (Jour Ouvré Bancaire : jour d’ouverture des systèmes d’échanges interbancaires) après le règlement et leur contre-passation sur son compte, 25) accepter, pour les prélèvements SEPA les retours présentés à la Banque par la banque du débiteur sur demande de remboursement du débiteur durant un délai de huit semaines (+ 2 Jours Ouvrés Bancaires) après le débit et leur contre-passation sur son compte, 26) mettre le mandat ou toute preuve d’existence du mandat à disposition de la Banque si celle-ci le lui demande selon les modalités convenues avec la Banque. A défaut, le Client s’engage à en assumer l’entière responsabilité, 27) accepter tout retour de prélèvements SEPA majoré des intérêts compensatoires demandés par la banque du débiteur, au-delà du délai de 8 semaines et durant un délai de 13 mois après le débit du compte du débiteur auquel s’ajoute un délai de 30 jours calendaires de durée maximum de la procédure de contestation et un délai de 4 jours interbancaires, au motif « opération non autorisée » sous réserve d’application de la procédure décrite en fiche n°7 de la Brochure CFONB, sauf à faire le choix de ne pas communiquer le mandat et d’accepter alors le retour demandé.

Plus d’infos: [lien réservé abonné]
 
Recherche google (10 secondes) :

Identifiant créancier SEPA (ICS) - Définition

Identifiant créancier SEPA (ICS) - Définition [lien réservé abonné]​

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Référence Unique de Mandat (RUM) - Définition [lien réservé abonné]

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bleulargo > ICS, RUM ... bu un peu trop de rhum sans doute ? Vous êtes abscons ds vos propos ....

C'est un copié-collé de la lettre-type proposée par Que-Choisir :

1730205360333.png
 
Article de 2014. Les choses se sont-elles sérieusement améliorées depuis ?

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C'est toujours les pauvres qui trinquent... Combo Free + BEL... :cry::cry:
 
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