Aristide
Top contributeur
Bonjour,
Exemple:
Un particulier, artisan menuisier, sollicite un financement pour construire sa résidence principale; il est donc protégé par la directive que vous citez.
Ce même particulier sollicite un autre financement pour financer la construction de son atelier; la directive ne le concerne plus.
En quoi est-il plus compétent/averti sur le crédit professionnel destiné à son atelier que sur le prêt résidence principale ???
Cdt
Oui; mais ceci me laisse toujours interrogatif sur la logique/cohérence de cette prétendue justice.LatinGrec a dit:la directive s'adresse aux consommateurs, il n'y a pas de clause abusive entre professionnels, raison pour laquelle le calcul d'intérêt sur une année de 360 jours peut être librement et individuellement négocié et être clairement mentionné dans le contrat car le professionnel est réputé s'entourer de conseils.
Exemple:
Un particulier, artisan menuisier, sollicite un financement pour construire sa résidence principale; il est donc protégé par la directive que vous citez.
Ce même particulier sollicite un autre financement pour financer la construction de son atelier; la directive ne le concerne plus.
En quoi est-il plus compétent/averti sur le crédit professionnel destiné à son atelier que sur le prêt résidence principale ???
Cdt