La grille de commercialisation indique 4 lots d’habitation loués sur les 11, comme annoncé dans les «caractéristiques du programme». Il est également indiqué que 1 lot était déjà libre, et que 8 lots ont été libérés après évictions; ça voudrait dire que 2 lots devraient rester loués à cette heure… De plus, dans la grille de commercialisation, 3 lots marqués « loué » sont libres, et réciproquement…
Mes convictions mathématiques sont mises à mal, l’analyste qui a rédigé le papier est un génie qui a déjà inventé « l’arithmétique quantique », et le principe d’incertitude d’Heisenberg règne en maître sur son œuvre…
Ou le rédacteur n’a pas relu son papier, pas plus que ses patrons, avant de se dépêcher de le mettre en ligne. Ce n'est pas grave, mais c'est lassant tant ces négligences deviennent habituelles...
Et je n'ai lu le papier qu'en diagonale, il peut y avoir d'autres coquilles.
constantine_36 a dit:
La marges me semble faible pour du marchand de biens.
C’est même assez inhabituel, et bien inférieure à mes exigences minimales de l’ordre de 15%.
constantine_36 a dit:
plus l’encours en crowdfunding qui me semble conséquent
D’autant que les comptes présentés datent de 2019, qu’ils montrent des structures à la limite de l’équilibre financier pour la holding commune et déjà bien endettées pour les holdings 1 et 2...
On tentera de se consoler - sans conviction pour ma part - en constatant que la holding 2 a réussi à enchaîner deux exercices consécutifs bénéficiaires.
Stilt a dit:
En plus, je suis un peu dubitatif sur les montants des ventes qui semblent être en net vendeur sans frais de commercialisation....mais c'est aussi la base de calcul du rendement pour les futurs investisseurs... je ne comprends pas bien qui peut etre intéressé pour de l'immo qui ne rapporte quasiment rien... no go pour moi.
Et la lecture était tres rapide
C’est une question que je me pose depuis longtemps, d’autant que l’investisseur aura à payer des frais de mutation qui vont encore plomber sa rentabilité, puis des charges propriétaires (copro, impôt foncier, assurance proprio…) et l’IR au final.
J’imagine que ce doit être psychologiquement plus rassurant de posséder de la pierre que du papier, surtout à Paris et dans les autres grandes villes où on assiste au même phénomène, même avec une très faible rentabilité...