conseiller clientèle pas assez compétent

Aristide a dit:
Cette technique est aussi connue sous le nom de "Fractionnement".
Maintenant que vous le dites, je crois que c'était appelé "prêt à libération FRACTIONNÉE des fonds" ou quelque chose d'approchant ...

Aristide a dit:
Qui a dit que, dans l'esprit, c'était compliqué ?
Je n'ai pas l'impression que ce le soit, mais c'est le traitement du sujet qui semble laborieux (par les banques !)

Aristide a dit:
Le PIC c'était une usine à gaz qui, au plan réglementaire, était encore plus compliqué que l'autre prêt du secteur réglementé de l'époque à savoir l'épargne-logement.
Il a été remplacé par le Prêt conventionné (PC) et le Prêt à l'Accession Sociale (PAS) a suivi.
Usine à gaz ou non, toujours est-il que dans notre cas, cela s'est passé sans souci, que ce soit au niveau de la libération des fonds aux différentes phases, ou que ce soit ensuite pour l'édition et le respect du tableau d'amortissement définitif, avec ses plages de aux progressifs ...

Alors ensuite, la cuisine qu'il y avait derrière au niveau de la convention avec l'Etat, peut-être ....

Quelles sont donc les DEUX officines qui font encore FACILEMENT des prêts présentant un échelonnement de la libération des capitaux ...

J'en ai vu quelques uns de ces prêts (toujours sous la férule de promoteurs immobiliers), mais c'est à Monaco ou en région Paca, et c'était de fait le promoteur qui faisait le travail durant la phase de libération des capitaux (avec assez souvent un gel et une capitalisation des intérêts intercalaires), puis repassait ensuite le bébé à la banque de l'acheteur pour un prêt classique ...

Ces intérêts étaient généralement prévus dans le calcul de la capacité de remboursement de l'emprunteur ; mais je n'en ai pas vu (de façon détaillée) dans le cadre d'une construction isolée dans les mêmes circonstances (financement par paliers)
 
paal a dit:
Et si vous expliquiez ce que vous appelez un amortissement immédiat
oula, j'ai mieux a faire, Aristide l'a deja fait maintes fois, au pire google is your friend.

paal a dit:
et pourquoi il vous le faut ABSOLUMENT ?
pas que cela vous concerne mais bon...c'est simple je fais un rachat de pret existant le plus tot possible (juin-juillet 2015 au départ, mais les banques ont 2 de tension. et je rajoute a ce prêt 50K€ de travaux qui vont commencer entre janvier et mars 2016 et qui vont durer 6 mois.

sans amortissement immediat, je payerais que des interets (intercalaires donc) jusqu'a la fin des travaux.avec amortissement immediat, je paie des maintenant l'amortissement du capital sur la partie rachat de capital restant du, et des janvier sur la premiere tranche de travaux, et des fevrier sur la deuxieme tranche. c'est la solution de loin la moins onereuse, et vu que c'est ma RP, y'a pas de probleme de loyer + emprunt en parallele.

paal a dit:
Si je comprends bien, vous savez que ce que vous demandez relève du mouton à 5 pattes, et vous approchez 2 banques et peut-être quelques autres, en indiquant recherchez un mouton CLASSIQUE avec 2 gigots et 2 épaules (roulées ou non) ?
non je ne vais pas me fatiguer a demander a des banques des produits qu'elles ne font pas...

j'ai quand meme vu une 3e banque qui ne le pratique mais qui fait des meilleurs taux, a qui j'ai proposé de faire deux offres de pret séparées. mais ca m'impose un pret travaux d'au moins 75K€. pas sur d'arriver jusque là. Et malgré tout, y'aura des interets intercalaires pendant toute la phase de travaux (début a fin), c'est "moins pire" que de maintenant a la fin des travaux, vu que les travaux ne démarre pas avant 3 mois environ.
 
ZRR_pigeon a dit:
Oula, j'ai mieux a faire, Aristide l'a déja fait maintes fois, au pire google is your friend.
Alors s'il en est ainsi, j'ai aussi d'autres projets qui m'appellent :
- en première urgence, aller assister au match de mon gendre, et je vais y accompagner l'un de nos petits-fils
- en second lieu (et je vous grâce des autres), j'ai une généalogie un peu touffue à décortiquer, et je ais que cela va prendre du temps

Mais autrement Aristide m'aura donné le lien qui décrit une situation qui porte mal son nom, et que je connais depuis plus de 50 ans sous une autre appellation ...

Bon match !
 
buffetophile a dit:
j'envoie un mail à mon banquier ...pas de réponse .
j'attends 8 jours et je renvoie le mail ....pas de réponse .
je passe par le site de la banque et renvoie un mail . je reçois un accusé de réception et .....pas de réponse ...

bon ce matin réponse par mail de mon banquier .

petite question aux cbanconautes qui ont lu les 13 583 messages que j'ai posté ici depuis 7ans : lorsque j'écris un message , celui-ci vous semble t'il compréhensible ?
non parce que mon banquier m'a répondu mais sa réponse montre qu'il n'a absolument rien compris à ma question .:confus:
est ce qu'il s'en moque ou l'a t'il lue de travers ou bien est ce moi qui écrit n'importe quoi ?

bon je lui ai renvoyé un mail détaillé en m'excusant de ne pas avoir été assez clair la 1ere fois ...je prie pour qu'il comprenne :ange:
 
paal a dit:
Alors s'il en est ainsi, j'ai aussi d'autres projets qui m'appellent :
- en première urgence, aller assister au match de mon gendre, et je vais y accompagner l'un de nos petits-fils
- en second lieu (et je vous grâce des autres), j'ai une généalogie un peu touffue à décortiquer, et je ais que cela va prendre du temps

[lien réservé abonné]
 
buffetophile a dit:
petite question aux cbanconautes qui ont lu les 13 583 messages que j'ai posté ici depuis 7ans : lorsque j'écris un message , celui-ci vous semble t'il compréhensible ?
non parce que mon banquier m'a répondu mais sa réponse montre qu'il n'a absolument rien compris à ma question .:confus:
est ce qu'il s'en moque ou l'a t'il lue de travers ou bien est ce moi qui écrit n'importe quoi ?

Ce que vous écrivez est en général compréhensible à défaut d'être toujours exact et/ou intéressant.
Sur la forme cependant, si vous traitez effectivement vos interlocuteurs bancaires comme vous le dites, avec un mélange de mépris et de suffisance, je ne serais pas étonné qu'ils fassent parfois exprès de ne pas comprendre ce que vous leur demandez juste pour vous faire ch... En tout cas à leur place, ça me démangerait fortement.
 
paal a dit:
(avec assez souvent un gel et une capitalisation des intérêts intercalaires), puis repassait ensuite le bébé à la banque de l'acheteur pour un prêt classique ...

Ces intérêts étaient généralement prévus dans le calcul de la capacité de remboursement de l'emprunteur ; mais je n'en ai pas vu (de façon détaillée) dans le cadre d'une construction isolée dans les mêmes circonstances (financement par paliers)

Ce que vous décrivez ne correspond pas à un crédit avec des mises à disposition de fonds fractionnées et amortissements immédiats car cette technique - dans ses diverses modalités possibles - a précisément pour objectif d'éviter les intérêts intercalaires.

Cdt
 
ZRR_pigeon a dit:
j'ai mais ca m'impose un pret travaux d'au moins 75K€. pas sur d'arriver jusque là.

Dans d'autres post j'ai déjà expliqué que ce n'était pas forcément vrai.

Un prêt pour travaux au plus égal à75.000€ est - au plan réglementaire - assimilé à un prêt à la consommation avec les procédures et formalismes prévus par de ce type de crédit par le code de la consommation.

Mais cette contrainte juridique n'empêche pas - au plan technique - d'être un prêt immobilier et de se voirs affecté le taux des crédits immobiliers.

D'ailleurs, pour concrétiser, un prêt Accession Sociale ou un prêt conventionné ou encore épargne logement de <= 75.000€ pour travaux restent bien des prêts immobiliers réglementés et avec les contraintes de taux qui les concernent.

Tout dépend donc de la banque car, en effet, certaines, au prétexte que juridiquement le prêt est assimilé à un prêt conso, appliquent à ces prêt travaux immobiliers le taux des prêts conso.

Mais ce n'est pas justifié car le taux des prêts conso plus élevé que celui des prêts immobiliers vient du constat que - statistiquement parlant - le risque d'impayés est bien plus élevé que dans les prêts immobiliers.

paal a dit:
Mais autrement Aristide m'aura donné le lien qui décrit une situation qui porte mal son nom, et que je connais depuis plus de 50 ans sous une autre appellation ...

Et pourquoi porterait-il mal son nom ?

Un prêt à amortissements immédiats dit bien ce que cela veux dire.

L'appellation "fractionnement" ou prêt "à libération fractionnée" comme vous l'appelez désigne le mode de mise à disposition des fonds et non pas le mode d'amortissement.

Et, souvent, ce type de mise à disposition des fonds est sans amortissements immédiats et donc.........avec intérêts intercalaire payés au mois le mois ou bien capitalisés.

L'appellation "amortissements immédiats" est au contraire la bonne appellation lorsque l'objectif est..........d'amortir immédiatement (suivant diverses méthodes possibles et pas équivalentes en termes de coûts) les mises à dispositions successives.........et sans avoir à subir d'intérêts intercalaires.

Cdt
 
Aristide a dit:
Et pourquoi porterait-il mal son nom ?
Un prêt à amortissements immédiats dit bien ce que cela veux dire.
Eh bien, désolé mais pour moi, lorsque je vois un tableau d'amortissement à étages, qui s'étale sur plusieurs dizaines de mois, c'est tout SAUF un amortissement que l'on peut qualifier d'IMMÉDIAT ... ; et c'est en ce sens que je considère que l'appellation est IMPROPRE, même si dans certains milieux elle peut se trouver appelée ainsi !

Et cet amortissement, il peut être linéaire, progressif ou dégressif (ces termes ont un sens), mais pas IMMÉDIAT dans ces circonstances ...

L'amortissement du prêt (synonyme d'accumulation des remboursements partiels du capital emprunté) s'opère alors sur la durée du prêt, et ceci même si l'on opère une modulation en fonction des capitaux restant dus à chaque étape du financement ...

Mais ce n'est pas très grave puisqu'il semble que pratiquement plus personne (dans l'environnement qui vous est familier) ne le propose plus pour des raisons diverses ...

Aristide a dit:
L'appellation "fractionnement" ou prêt "à libération fractionnée" comme vous l'appelez désigne le mode de mise à disposition des fonds et non pas le mode d'amortissement.
Sur le plan de la mise à disposition fractionnée, nous pouvons être d'accord et je fais bien la distinction entre les deux notions ...
 
Dernière modification:
Bonjour,

paal a dit:
Eh bien, désolé mais pour moi, lorsque je vois un tableau d'amortissement à étages, qui s'étale sur plusieurs dizaines de mois, c'est tout SAUF un amortissement que l'on peut qualifier d'IMMÉDIAT ... ; et c'est en ce sens que je considère que l'appellation est IMPROPRE, même si dans certains milieux elle peut se trouver appelée ainsi !

Quand un emprunteur reçoit son offre préalable, l'échéancier qui l'accompagne ne fait jamais apparaître "un tableau d'amortissement à étages" pour la simple raison qu'à ce stade personne ne connait les dates d'appels de fonds et - suivant les contrats de construction/achat - les montants exacts desdits appels de fonds.

Et même plus tard, à l'occasion des diverses mise à dispositions de fonds, cet "amortissement à étages" n'apparaît pas du tout sur chacun des tableaux d'amortissement provisoires qui sont adressés pour l'occasion.

Je vous laisse donc appeler les évènements comme vous l'entendez mais ce n'est pas pour cela que - concernant les diverses techniques d'amortissement immédiat - votre interprétation soit exacte; elle semble plutôt correspondre à un échéancier à échéances variables prévues dès l'origine et indépendamment de la façon dont les fonds sont mis à disposition.

D'autre part elle ne correspond pas à la pratique des professionnels qui se comprennent parfaitement bien lorsque - dans ce jargon technique - le terme "amortissement immédiat " est employé.

Aussi pour la bonne compréhension des cBanquenautes qui seraient intéressés je précise à nouveau les choses :

Il y a deux notions différentes qui n'on rien à voir l'une avec l'autre.

+ Tout d'abord il y a la manière dont les fonds sont mis à disposition.

Ainsi si vous avez souscrit un emprunt de 200.000€ pour financer l'acquisition d'un logement bâti/fini, la totalité de ce crédit sera débloquée en une seule fois; il n'y aura pas de "fractionnement".

Par contre s'il s'agit "vente en l'état futur d'achèvement (VEFA") ou bien d'un "contrat de construction de maison individuelle (CCMI)" il y aura un calendrier des appels de fonds qui devra être respecté en fonction de l'achèvement des travaux et - suivant le contrat considéré - ce seront de 8 à 10 mises à dispositions successives de fonds qui seront effectuées.

Ce sont ces diverses mises à dispositions successives de "tranches de prêt" que l'on nomme "fractionnement" ou "mises à dispositions fractionnées" mais - à ce stade il n'et pas du tout question de la façon dont l'emprunteur va les rembourser.

Dans le second cas ci-dessus, l'offre de prêt mentionnera la notion de "différé externe" encore appelée "anticipation" qui s'ajoutera à la durée normale d'amortissement du crédit.

Ainsi un prêt sur 240 mois avec un différé externe/anticipation de 24 mois, si les travaux durent effectivement 24 mois, aura en réalité une durée de 264 mois. Il faut noter que cette durée de différé est externe est un maximum ce qui permet de stopper l'anticipation dès l'achèvement des travaux s'ils se terminent plus tôt.

Or, dans la majorité des cas, ces diverses "tranches de prêt" ne sont pas du tout amorties avant production de la déclaration d'achèvement des travaux et fournitures de la totalité des justificatifs de dépenses.

Il s'en suit que, pendant toute la phase des travaux, l'emprunteur doit payer les fameux "intérêts intercalaires" qui vont, bien entendu, aller croissant au fur et à mesure où le chantier avance et que les cumuls d'appels de fonds font progresser le recours au crédit sollicité.

+ D'où l'intérêt de cette autre notion qui est l'amortissement immédiat.

A ma connaissance il existe quatre techniques d'amortissements immédiats qui permettent toutes d'éviter des intérêts intercalaires mais qui, cependant, ne sont pas équivalentes quant à l'économie d'intérêts réalisée.
Mais il faut aussi préciser que la technique qui génère le moindre coût est aussi celle qui exige un effort de trésorerie plus important dès le départ ce qui nécessite donc une très bonne capacité de remboursement de l'emprunteur.

Voici sur l'exemple d'une VEFA de 200.000€ comment - dans le principe - se déroule l'amortissement immédiat :

+ Premier appel de fonds de 5% = 10.000€ => vous commencez à amortir immédiatement ces 10.000€ (Pas de différé externe/anticipation => pas d'intérêts intercalaires)

+ Deux mois plus tard nouvel appel de fonds de 15% = 30.000€
Mais - immédiatement - pendant ces deux mois vous avez déjà amorti une partie des 10.000€ objet du premier déblocage; disons 100€ pour l'exemple.

Dès lors votre nouveau capital restant dû, dans ce cas d'école, sera de 10.000€ - 100€ + 30.000€ = 39.900€ que vous allez désormais commencer à immédiatement amortir.

+ Et l'on continue ainsi jusqu'au dernier appel de fonds où interviendra alors la phase de "consolidation" et passage en amortissement normal.

Vous avez donc compris que "le fractionnement" est une chose (= manière particulière de mettre les fonds à disposition) et "l'amortissement immédiat", une autre chose, parfaitement bien nommée, qui permet à l'emprunteur de ne pas attendre la fin des travaux pour commencer à rembourser le capital de son crédit est donc éviter tant la phase de différé que les intérêts intercalaires qui en découlent.

Et il y a un autre intérêt très significatif puisque, en évitant 24 mois de différé/anticipation, l'emprunteur évite dans le même temps d'avoir a payer 24 primes d'assurances.

Et cet amortissement, il peut être linéaire, progressif ou dégressif (ces termes ont un sens), mais pas IMMÉDIAT dans ces circonstances ...

Il peut même être "progressif/dégressif régulier ou irrégulier".

Il peut aussi y avoir une alternance des uns et des autres............et même il peut n'y avoir aucune logique l'échéance n'étant alors que la différence entre une échéance cible choisie/définie (donc non calculée) et les autres échéances des autres crédits figurant dans le même plan de financement. C'est très exactement le cas dans les prêts à paliers d'échéances des montages gigognes à échéance lissées.

Mais, quoi que vous en disiez, même dans ces techniques, si les mises à dispositions de fonds ont été fractionnées/successives, l'amortissement immédiat des "tranches de prêt" est possible.

L'amortissement du prêt (synonyme d'accumulation des remboursements partiels du capital emprunté) s'opère alors sur la durée du prêt, et ceci même si l'on opère une modulation en fonction des capitaux restant dus à chaque étape du financement ...

Etant précisé qu'il est cependant possible de voir un amortissement négatif (légal ou pas; discutable ou pas => ce n'est pas ici le sujet), ce qui vous dites ci-dessus est autant vrai dans l'amortissement immédiat de diverses tranches de crédit que pour le reste.

Mais ce n'est pas très grave puisqu'il semble que pratiquement plus personne (dans l'environnement qui vous est familier) ne le propose plus pour des raisons diverses ...

Eh si; il existe encore des banques qui pratiquent l'amortissement immédiat..........et qui savent de quoi l'on parle quand l'on emploie ce terme

Sur le plan de la mise à disposition fractionnée, nous pouvons être d'accord et je fais bien la distinction entre les deux notions ...

Il y a donc bien - ou non - "une mise à disposition fractionnée d'une part ET dans ce dernier cas, un amortissement différé (avec intérêts intercalaires) ou "un amortissement immédiat" (sans intérêts intercalaires) d'autre part.

Maintenant que les choses me semblent suffisamment expliquées, sauf pour les éventuels cBanquenautes qui, de bonne fois, auraient besoin de précisions complémentaires, fin d'échanges sur le sujet pour ce qui me concerne.

Cdt
 
Aristide a dit:
Bonjour,
Quand un emprunteur reçoit son offre préalable, l'échéancier qui l'accompagne ne fait jamais apparaître "un tableau d'amortissement à étages" pour la simple raison qu'à ce stade personne ne connait les dates d'appels de fonds et - suivant les contrats de construction/achat - les montants exacts desdits appels de fonds.

Et même plus tard, à l'occasion des diverses mises à disposition de fonds, cet "amortissement à étages" n'apparaît pas du tout sur chacun des tableaux d'amortissement provisoires qui sont adressés pour l'occasion.
Effectivement, il n'existe pas au DÉPART un tableau d'amortissement à étages (car ce ne sera que le résultat après toutes les différentes mises à disposition de fonds, quel qu'en soit le nombre) ; tant qu'une nouvelle opération ne s'est pas produite, le tableau d'amortissement à un stade quelconque du prêt, ne tient compte que des transactions antérieures effectuées (par exemple mise à disposition de fonds) ; et soit dit en passant cela marche aussi sur le même principe en cas de rachat anticipé du prêt.

Aristide a dit:
D'autre part elle ne correspond pas à la pratique des professionnels qui se comprennent parfaitement bien lorsque - dans ce jargon technique - le terme "amortissement immédiat " est employé..
Jargon d'initié à consonance inadaptée, si je comprends bien ; ces professionnels pourraient tout aussi bien utiliser un code à signification abstraite, que cela reviendrait à peu près au même !

Aristide a dit:
Eh si; il existe encore des banques qui pratiquent l'amortissement immédiat ... et qui savent de quoi l'on parle quand l'on emploie ce terme.
Si tel est le cas dans votre environnement (qu'il en existe, et qu'elles comprennent le terme) il suffirait alors simplement d'en donner la liste à ZRR qui ne demande qu'une seule chose, à savoir tenter de savoir qui sera en mesure de lui proposer une offre pour ce type d'opération ...

Aristide a dit:
Maintenant que les choses me semblent suffisamment expliquées, sauf pour les éventuels cBanquenautes qui, de bonne foi(s), auraient besoin de précisions complémentaires, fin d'échanges sur le sujet pour ce qui me concerne.
Oui, les choses n'ayant pas évolué de façon sensible, il me semble donc inutile de poursuivre.
Nous sommes pour le moins tout à fait d'accord sur ce point ...

Bonne soirée !
 
Dernière modification:
Pour vous préciser un peu le pourquoi les banques ne proposent pas forcément tous les produits possible.
Donc clairement le problème n'est pas technique, technique quelque soit le SI de la banque il est en général possible de créer/gérer l'entièreté des produits existants. La limite est financière.
Par contre c'est surtout le coût financier que cela peut engendrer, certains SI sont conçus pour traiter les cas générique, et via des "paramétrages" peuvent s'adapter pour en traiter des plus spécifique (le paramétrage a un coût soit un coût du prestataire gérant le SI soit un cout interne pour les personnes le configurant) en général si c'est parammétrable et que le business case permet de dégager rapidement une marge bénéficiaire ce sera mis en place.
Ensuite si cela est trop spécifique ou non prévu cela nécessite alors du développement spécifique, voire l'achat d'un progiciel spécifique ou alors un développement additionnel au SI ce genre de développement peut souvent et rapidement se révéler très onéreux ce qui donc rentre en compte dans le business case.
Clairement un business case négatif n'intéressera jamais une banque donc si l'on parle d'un produit ne pouvant concerner que 10 à 15 clients par an et qui ne "rapporte" réellement "rien" en terme financier quel intéret ...

Voici donc pourquoi les banques ne proposent pas l'entièreté des produits.
Ensuite il y a également l'aspect de la politique commerciale mais ici je n'ai abordé que le point faisabilité,

Vous fabriqueriez un produit que vous ne pourriez que peu vendre voire que vous vendriez à perte .. ? c'est pareil pour les banques.

Après le conseiller ne peut effectivement que proposer ce qui existe (et ce qu'accepte la politique commerciale) et cela quelque soit le niveau du conseiller.
Si les conseiller ont plusieurs milliers de demandes pour un produit n'existant pas (j'ai des doutes) il peut remonter a sa hiérarchie qui remontera jusqu'au marketing qui décidera peut être de le développer puis commercialiser.

En ce moment ce qui a le "vent en poupe" c'est le paiement sans contact, via mobile, retrait sans carte ... ...
Bref les new techno sur les prêts je doute que des nouveautés voient le jour c'est assez "light" niveau évolution dans le domaine prêt.
 
Turbo-057 a dit:
Pour vous préciser un peu le pourquoi les banques ne proposent pas forcément tous les produits possible.
Donc clairement le problème n'est pas technique .... La limite est financière.
Primo, merci pour ce post fort intéressant, et qui illustre de fait pourquoi on ne trouve pas partout certains produits spécifiques, qui ne sont proposés que par des organismes financiers en nombre limité, lesquelles se seront de fait spécialisées dans certains domaines ....

Pour la bonne compréhension SI = Système Informatique

Turbo-057 a dit:
Clairement un business case négatif n'intéressera jamais une banque donc si l'on parle d'un produit ne pouvant concerner que 10 à 15 clients par an et qui ne "rapporte" réellement "rien" en terme financier quel intéret ...

Voici donc pourquoi les banques ne proposent pas l'entièreté des produits.
Ensuite il y a également l'aspect de la politique commerciale mais ici je n'ai abordé que le point faisabilité,
Et que font-elles lorsqu'un promoteur vient construire un ensemble immobilier, par exemple en VEFA (Vente en état futur d'achèvement), utilisant fréquemment une modalité de libération fractionnée des mises de fonds ?

Elles regardent les trains passer en laissant la concurrence occuper le terrain ?

Turbo-057 a dit:
Vous fabriqueriez un produit que vous ne pourriez que peu vendre voire que vous vendriez à perte .. ? c'est pareil pour les banques.
Alors j'ai bien conscience :
- d'une part que le financement de l'immobilier NEUF peut ne représenter qu'une fraction du financement de l'immobilier (donc un marché limité par rapport à son entièreté)
- d'autre part, que le financement des acquisitions immobilières constituent un produit d'appel, ayant vocation de tenter de fidéliser une clientèle en voie de devenir captive

- MAIS si le réseau bancaire ne se trouve pas adapté pour réaliser ce financement, il existe alors un fort risque que le client bancaire en vienne à changer de cheval, que ce soit en raison de l'incompétence d'un interlocuteur bancaire, ou bien de l'indisponibilité du produit qui sera de nature à traiter les cas multiples des accédant à la propriété dans ces programmes de promotion immobilière ...

Turbo-057 a dit:
Après le conseiller ne peut effectivement que proposer ce qui existe (et ce qu'accepte la politique commerciale) et cela quelque soit le niveau du conseiller.
Cela allait sans dire, mais cela va mieux en l'indiquant !
Mais lorsque je parlais de qualité bancaire, je ne parlais pas spécifiquement du conseiller, mais aussi de l'environnement dans lequel il évolue ...

Turbo-057 a dit:
Si les conseillers ont plusieurs milliers de demandes pour un produit n'existant pas (j'ai des doutes) il peut remonter à sa hiérarchie qui remontera jusqu'au marketing qui décidera peut être de le développer puis le commercialiser.
Statistiquement, est-ce souvent couronné de succès ?

Car il semble bien que, pour ce qui est dénommé "Amortissement Immédiat", que ce soit en région parisienne (suis quand même surpris ...) ou dans l'Est de la France (région de ZRR), les possibilités soient limitées, voire très limitées ...

Turbo-057 a dit:
En ce moment ce qui a le "vent en poupe" c'est le paiement sans contact, via mobile, retrait sans carte ... ...
Bref les new techno sur les prêts je doute que des nouveautés voient le jour c'est assez "light" niveau évolution dans le domaine prêt.
Bien entendu, il y a le vent de la nouveauté, même si elle ne rencontre pas forcément un besoin ESSENTIEL ; je regarde ces évolutions là plutôt comme un effet de mode, surtout si des solutions alternatives existantes restent performantes ...

Seriez-vous en train de nous dire que le financement de l'immobilier est un domaine complètement abouti, et sur lequel il n'y aurait plus aucun besoin de développements nécessaires ou utiles ?
 
Dernière modification:
bien que globalement d'accord avec Turbo, on ne parle pas de 10-15 clients par agence, mais plutot une 50aine par agence et par an. car ici en tous cas, il est tres fréquent que les gens aient la tresorerie necessaire a gerer un petit loyer plus un remboursement a amortissement immediat.

c'est surement pour cela que le CMUT est fortement implanté dans chaque petit village, vu qu'avec CIC il propose cette technique.

mais dans la grande majorité des cas, proposer un systeme plus exigeant en tresorerie et donc avec plus de risques de défaut, pour que ca coute moins au final a l'emprunteur, c'est pas l'esprit de la banque...
 
Bonjour,

Turbo-057 a dit:
Pour vous préciser un peu le pourquoi les banques ne proposent pas forcément tous les produits possible.

Je suis globalement d'accord sur votre analyse.

Mais il est des Établissements qui disposent des techniques les plus sophistiquées et pas seulement celle(s) de l'amortissement immédiat dont l'appellation dit bien ce quelle veut dire et qui est comprise de tous.

Par exemple celles du lissage d'échéances complétées, depuis, du montage gigogne......et il y en a bien d'autres visant l'adaptation aux besoins des emprunteurs tant au stade initial du plan de financement et de son optimisation que tout au long de la vie du prêt (modulation - pause crédit -minoration/majoration/report d'échéances.....).

Pour ces banques là, les investissements informatiques ont été entrepris il y a longtemps pour répondre à une stratégie/politique d'accroissement des parts de marché - commerciales et financières - dans le marché de l'immobilier, celui de l'habitat des ménages en particulier (Produits à la fois d'appel et de fidélisation).

Pour ces banques là les développements concernés sont depuis longtemps amortis et il n'y a quasi pas de maintenance.

Mais, même si la technique est disponible il peut exister des freins à son utilisation :

+ Compétence/ disponibilité du conseiller utilisateur :
Par exemple pour optimiser un plan de financement, il ne suffit pas toujours de cliquer sur un bouton; un certain temps de recherches peut être nécessaire et........le temps c'est de l'argent.......et il y a les objectifs en terme de nombre de contacts à respecter; il faut que l'entretien soit "bouclé" le plus vote possible.

+ Rentabilité
Il est clair que de nouveaux développements ne seront envisagés que si le délai de retour sur investissement est jugé suffisamment rapide.

Mais même si les développements sont déjà existants il est des banques/conseillers qui sont réticents à les utiliser.

Par exemple si l'optimisation d'un plan de financement conduit à réduire le durée du crédit, il y aura trois effets qui vont se cumuler :

+-+ Plus de temps passé (cf ci-dessus)
+-+ Volume intérêts réduit (= PNB réduit de par effet taux + effet durée => réduction de la marge financière)
+-+ Moins de primes d'assurances perçues = moins de ristournes à recevoir.

Dès lors - bien que la capacité technique soit disponible - certaines banques ont donné des directives pour ne plus les utiliser sauf pour des situations exceptionnelles....."qui en valent la peine".

A savoir aussi que depuis quelques années il y a eu beaucoup de fusions de banques les unes pouvant être plus avancées technologiquement que les autres.
Dans cette situation le nouveau système d'information "V.0" commun vise à d'abord satisfaire les besoins de masse.
Mais le réseau qui disposait antérieurement d'une technique et l'utilisait la revendiquera probablement.

Pour reprendre l'exemple de l'amortissement immédiat qui n'est pas consommateur de temps et relativement peu pénalisant financièrement (***), il est possible et même probable que, dans la situation décrite, cette fonctionnalité réapparaîtra dans l'une "V.n" à venir de l'évolution normale dudit système d'informations.

(***) - Même s'il l'était l'objectif de se positionner sur le marché de l'habitat prévaudrait probablement.

Cdt
 
Dernière modification:
Aristide a dit:
+ Compétence/ disponibilité du conseiller utilisateur :
Par exemple pour optimiser un plan de financement, il ne suffit pas toujours de cliquer sur un bouton; un certain temps de recherches peut être nécessaire et........le temps c'est de l'argent.......et il y a les objectifs en terme de nombre de contacts à respecter; il faut que l'entretien soit "bouclé" le plus vite possible.

Effectivement voire même il faut que la communication/formation soit bien passée pour que le conseiller face au client ait connaissance de l'existence de ce produit et comme cela reste assez spécifique ce n'est pas forcément toujours le cas. D’autant que les conseillers ont en général beaucoup de produit à gérer et ne peuvent malheureusement tout connaître d’où l’intérêt pour eux de faire appel à des collègues plus spécialisé le cas échéant.
Et la intervient la qualité du conseiller qui pourra soit effectivement clore l'entretien en se positionnant sur l'inexistence du produit sans autre forme de procès soit alors il prendra les devant et lancera sa capacité à se renseigner au-dessus dans le service de gestion des crédit pour obtenir l'information si ce type de produit existe et fait partie de la politique de vente ou non et comment le réaliser si cela existe. Et ainsi satisfaire le client. (Dans un mode win-win clairement le client souscrira le produit et lui aura vendu un produit additionnel d’où une progression dans ses objectifs de vente et dans sa connaissance personnelle et sa formation professionnelle) Malheureusement ce principe ne fonctionne pas avec tous les conseillers et ceux progressant ne reste en général pas conseiller classique très longtemps (cf. début de discussion)

Pour les banques ayant investi il y a plusieurs années (mettons 20 ans) souvent le problème c'est que le "pas de maintenance" n'existe pas il est souvent plus couteux de maintenir un système ancien et donc souvent passé les 20 ans ils sont remplacés par des systèmes plus modernes n'ayant plus forcément les fonctionnalités de l'ancien qui plus est si l'on parle de produit peu commercialisé.
Surtout que les réglementations en terme de crédit évoluant par contre assez souvent il faut de toute manière faire évoluer ses systèmes en quasi permanence tout en sachant que les réglementations sont une contrainte et un coût n'apportant aucune contrepartie financière aux banques en règle générale

Le domaine bancaire est un des domaines ou l'évolution était lente et très difficile il y a une vingtaine d'année quand j'ai connu ce monde c'était clairement toute une épopée pour changer une fonctionnalité ou une manière de faire, cependant les marchés, l'optimisation et la concurrence mondiale, les règlementations, les technologies ont fait que les banques doivent maintenant s'adapter et se renouveler de manière de plus en plus rapide. Les crises ont également fait leur passage avec la baisse des rendements et indirectement motivé certains nouveaux potentiels à développer et évoluer.
Mais la course à la rentabilité dans toutes les enseignes est également bien lancé, et dans certaines on expulse même les clients non rentable ...
 
ZRR_pigeon a dit:
Bien que globalement d'accord avec Turbo, on ne parle pas de 10-15 clients par agence, mais plutot une 50aine par agence et par an
Oui, cela devient assez différent, surtout s'il existe de nombreuses agences en terme d'implantation de la banque ...

ZRR_pigeon a dit:
Car ici en tous cas, il est tres fréquent que les gens aient la tresorerie nécessaire à gérer un petit loyer plus un remboursement "amortissement immédiat"
Bigre ! Un "amortissement immédiat" qu'il faut rembourser sur longue période, et qui plus est en supplément d'un engagement à long terme ...
Allez, j'aurai au moins appris quelque chose, c'est que les banquiers ont parfois de curieuses façons d'appeler certaines opérations ...:langue:
Il est des cas où je m'en suis déjà rendu compte ... ; mais avouez que pour le client lambda ...

ZRR_pigeon a dit:
C'est surement pour cela que le CMUT est fortement implanté dans chaque petit village, vu qu'avec CIC il propose cette technique.
Je savais que le Crédit Mutuel le fait en région Paca, mais comme ce sont des caisses régionales, elles ne proposent pas forcément les mêmes choses d'une caisse régionale à l'autre ...

ZRR_pigeon a dit:
Mais dans la grande majorité des cas, proposer un système plus exigeant en trésorerie et donc avec plus de risques de défaut, pour que ca coute moins au final à l'emprunteur, c'est pas l'esprit de la banque...
Ce n'est pas l'esprit de la banque de procéder à une optimisation des opérations du client, même si cela conduit le demandeur à aller voir ailleurs ?

Car de mémoire, même une banque éloignée du lieu d'investissement, peut tout à fait monter un dossier qui va bien, non ?
 
paal a dit:
Bigre ! Un "amortissement immédiat" qu'il faut rembourser sur longue période, et qui plus est en supplément d'un engagement à long terme ...

le loyer c'est pendant la construction, donc le cumul loyer + mensualité n'existe que pendant 1-2 ans.
"amortissement immédiat signifie "démarrage immédiat de l'amortissement dès le premier débloquage de fond". plus clair comme cela ?

paal a dit:
Ce n'est pas l'esprit de la banque de procéder à une optimisation des opérations du client, même si cela conduit le demandeur à aller voir ailleurs ?
non, ca se saurait. par expérience on voit juste l'inverse (plus par incompétence que par volonté). ici et là on voit des bons qui ont a coeur l'optimisation des opérations pour le client.

paal a dit:
Car de mémoire, même une banque éloignée du lieu d'investissement, peut tout à fait monter un dossier qui va bien, non ?
en théorie oui, pour des programmes neuf, oui. dans l'ancien, elles sont assez frileuses. mais techniquement ce n'est pas impossible.

il y a plein de choses qui sont techniquement possibles que les banques ne veulent pas (trop) faire : accorder un pret a quelqu'un qui est en CDI depuis 6 mois (hors de la période d'essai donc)..etc...
 
Merci pour cette autre participation pertinente !

Turbo-057 a dit:
Effectivement voire même il faut que la communication/formation soit bien passée pour que le conseiller face au client ait connaissance de l'existence de ce produit et comme cela reste assez spécifique ce n'est pas forcément toujours le cas. D’autant que les conseillers ont en général beaucoup de produits à gérer et ne peuvent malheureusement tout connaître d’où l’intérêt pour eux de faire appel à des collègues plus spécialisés le cas échéant.
Encore faut-il que ce conseiller spécialisé soit disponible ...

Turbo-057 a dit:
Et la intervient la qualité du conseiller qui pourra :
- soit effectivement clore l'entretien en se positionnant sur l'inexistence du produit sans autre forme de procès
- soit prendre les devant et lancer sa capacité à se renseigner au-dessus dans le service de gestion des crédit pour obtenir l'information si ce type de produit existe et fait partie de la politique de vente ou non et comment le réaliser si cela existe.
Et ainsi satisfaire le client.
A votre avis, et si j'ai le choix du conseiller, lequel j'invite au restau après ?

Turbo-057 a dit:
Dans un mode win-win clairement le client souscrira le produit et lui aura vendu un produit additionnel d’où une progression dans ses objectifs de vente et dans sa connaissance personnelle et sa formation professionnelle.
Certes mais il faut que ce mode soit positionné sur ON !

Turbo-057 a dit:
Malheureusement ce principe ne fonctionne pas avec tous les conseillers et ceux progressant ne reste en général pas conseiller classique très longtemps (cf. début de discussion)
Il y a aussi les conseillers qui, ayant atteint leur objectifs en septembre, ne vont rien pousser pour rendre service au client sur un sujet qui leur apparaît peu habituel ; la technique Ford a déteint sur la banque !

Turbo-057 a dit:
Il est souvent plus couteux de maintenir un système ancien et donc souvent passé les 20 ans ils sont remplacés par des systèmes plus modernes n'ayant plus forcément toutes les fonctionnalités de l'ancien, qui plus est si l'on parle de produit peu commercialisé.
Eh oui, on standardise ...

Turbo-057 a dit:
Les crises ont également fait leur passage avec la baisse des rendements et indirectement motivé certains nouveaux potentiels à développer et évoluer.
Mais la course à la rentabilité dans toutes les enseignes est également bien lancé, et dans certaines on expulse même les clients non rentable ...
Dites-moi si je me trompe ... ; les résultats et les dividendes des banques, seraient-ils les plus maigres de la cotation boursière ?

Alors soit, entre la gestion spéculative pour compte propre et la gestion des relations avec la clientèle, ce n'est pas la dernière qui rapporte forcément le plus ...
 
ZRR_pigeon a dit:
Le loyer c'est pendant la construction, donc le cumul loyer + mensualité n'existe que pendant 1-2 ans.
Cela dépend quand même des chantiers, et surtout des entreprises qui interviennent dans la construction, que ce soit de grands programmes ou non ...

ZRR_pigeon a dit:
"amortissement immédiat signifie "démarrage immédiat de l'amortissement dès le premier déblocage de fond". plus clair comme cela ?
Ah, encore une variante ? Mais j'ai promis à Aristide que j'en resterais là !

ZRR_pigeon a dit:
Par expérience on voit juste l'inverse (carence d'optimisation des opérations - plus par incompétence que par volonté). Ici et là on voit des bons qui ont à coeur l'optimisation des opérations pour le client.
Certes, et par principe, c'est alors à eux que je m'adresse en priorité ...

ZRR_pigeon a dit:
En théorie oui, pour des programmes neuf, oui. dans l'ancien, elles sont assez frileuses. Mais techniquement ce n'est pas impossible.
Le banquier français est frileux par nature, et il lui faut son Dunlopillo de garanties !

ZRR_pigeon a dit:
il y a plein de choses qui sont techniquement possibles que les banques ne veulent pas (trop) faire : accorder un prêt à quelqu'un qui est en CDI depuis 6 mois (hors de la période d'essai donc)..etc...
Un autre exemple de frilosité !
 
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