Sur la même période, la valeur du stock de mandats atteignait 5,4 milliards d'euros, en hausse par rapport au dernier trimestre de 2012 (5 milliards). Par rapport à leur plus haut, constaté début 2012, les prix ont baissé de 8% en moyenne pour les biens dont le prix est compris entre un et deux millions d'euros. Pour ceux dont la valeur excède deux millions d'euros, le repli est plus important et atteint 10%.
Si Daniel Féau estime que le marché « peut encore se tasser », la société écarte une « chute plus sensible ». Pour justifier cette position, elle met notamment en avant un stock « historiquement faible », l'image de sécurité liée à l'immobilier ou encore l'appétence des clients étrangers pour Paris.