Poam : Le point sur mes portefeuilles boursiers.

Poam et ETF....
Comme quoi tout le monde peut changer d'avis....
Moi je le comprends
Le LQQ NASDAQ est top avec son levier *2.
Faut pas acheter du ça baisse après...
 
Avec un PEA on peut investir facilement sur les marchés US avec des ETF et même des titres vifs........ voir celui de Mme Nivelle
 
polo88 a dit:
Poam et ETF....
Comme quoi tout le monde peut changer d'avis....
Moi je le comprends
Pas un changement d'avis, c'est par pragmatisme, ni plus ni moins.
Sinon, aucun plaisir à détenir des ETF.
Pour autant, mes 2 modestes lignes ne représentent que 2300€ sur un total de... 315 000€.
Je ne risque donc pas de devenir etfdépendant..
 
poam5356 a dit:
Je ne risque donc pas de devenir etfdépendant..
Bonsoir Poam :-)

Quand on met le doigt dans le pot de confiture.... :ROFLMAO:
Petite taquinerie en vous lisant
 
Bonjour,
Merci pour ce compte rendu très clair et explicite.
Pourquoi prendre un LQQ et ne pas prendre également un ETF avec un levier X2 type CL2 au lieu du BNP ?
Merci pour toutes vos interventions très enrichissantes
 
Foxtrot a dit:
Bonjour @Foxtrot

Foxtrot a dit:
Pourquoi prendre un LQQ et ne pas prendre également un ETF avec un levier X2 type CL2 au lieu du BNP ?
Oui, c'est vrai que j'aurais pu... Mais je n'y ai pas pensé parce que, de mémoire, je connais le LQQ et l'ESE, pas les autres et je n'ai pas cherché plus pour en sélectionner d'autres.
 
MAJ janvier 2025 (1/3) - Positionner les portefeuilles pour une poursuite de la croissance ?
2025 devrait être une bonne année boursière, selon le consensus.
Mais il faut se méfier des consensus !!

D’un point de vue macro-économique, l’inflation mondiale reste sur une trajectoire baissière, permettant aux banques centrales d’engager un cycle de baisse des taux d’intérêt relativement synchronisé.
Historiquement, la baisse des taux a presque toujours soutenu les marchés boursiers. La vigueur persistante de l’économie américaine et la stabilisation progressive dans le reste des pays développés et en développement devraient permettre une croissance des ventes et des bénéfices en 2025.

Les Etats Unis
apparaissent comme une puissance qui dispose de beaucoup de potentialités à mettre en œuvre tandis que l'Europe s'enfonce dans la 'non-croissance' et les déficits.

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Divergence dans les indicateurs de sentiment entre les Etats-Unis et l’Europe depuis début 2024

Europe :
Des défis à relever, tant internes qu’externes
Compte tenu de la faiblesse persistante de l’Allemagne, la croissance de la zone euro devrait rester atone en 2025.
Dans ces conditions, la BCE devrait continuer à abaisser ses taux d’intérêt en 2025 vers les 1,25%, voire à un niveau inférieur en cas de ralentissement prononcé.

Économie chinoise:
De bonnes nouvelles et des interrogations.
Les récentes mesures de relance ne suffiront pas à surmonter les défis de long terme auxquels la Chine est confrontée, même si une tendance vers un soutien politique plus coordonné et plus déterminé s'est clairement manifestée depuis quelques mois. Les paramètres de politique monétaire restent stricts et le suivi de la politique budgétaire a déçu les marchés.
La Chine va être confrontée à un risque tarifaire de la part de l'administration Trump. Ce qui pourrait inciter les dirigeants chinois à agir de manière plus radicale.

Inde :
Si le marché est richement valorisé actuellement, il bénéficie de la neutralité sur le plan géopolitique, il est moins exposé aux droits de douane que les autres marchés émergents, et dispose d’une opportunité de croissance structurelle intéressante. Il s'agit d'un marché qui peut profiter d'un report d'activité venant de Chine si des perturbations commerciales entre la Chine et les États-Unis apparaissent.

Actions des marchés émergents :
Les politiques de Trump devraient exercer une pression à la hausse sur l’inflation américaine, en augmentant la courbe des taux américains et en soutenant le dollar américain. Cela resserre les conditions financières dans les marchés émergents et nuit à leur performance.
Effet collatéral à la hausse des droits de douane que pourrait imposer les États-Unis à la Chine, la monnaie chinoise s'en trouvera affectée. Une dévaluation significative du renminbi pourrait exercer des pressions sur les devises émergentes concurrentes, et donc pénaliser encore plus les marchés émergents.

Etats-Unis superstar :
L’indice S&P 500 est en passe d’enregistrer son deuxième meilleur millésime en 25 ans, avec des valorisations de 25x les bénéfices, tandis que les actions européennes et émergentes, qui s’échangent à 14x les bénéfices en moyenne, restent bloquées dans le bas de leur fourchette de valorisation historique. La surperformance annuelle des actions américaines par rapport au reste du monde n’a jamais été aussi importante, avec plus de 22% d’écart cette année.
La victoire des Républicains laisse présager un environnement financier dominé par des baisses d’impôts, des mesures de déréglementation et un soutien accru à la croissance des entreprises américaines.
Malgré des valorisations élevées aux Etats-Unis, l’année 2025 devrait s’avérer encore un bon cru pour les marchés boursiers. Les actions américaines devraient afficher les gains les plus marqués en relation avec une économie florissante.

Monde :
Un biais accommodant: le cycle de baisse de taux tant attendu s’est enfin enclenché. Au sein des quelque 115 banques centrales dans le monde, 74 ont adopté un biais accommodant et ont abaissé les taux d’intérêt lors de leur dernière réunion de politique monétaire.
Les actions mondiales, malgré des valorisations élevées, peuvent continuer à bien se comporter compte tenu d’un contexte économique relativement favorable.

Les actions sont chères, mais le contexte est favorable.
L’une des conséquences du marché haussier actuel des actions est qu’elles sont devenues chères.
Les États-Unis semblent extrêmement bien valorisés (25x pour le S&P500), et aucun autre marché ne peut être décrit comme bon marché. Même les marchés mal aimés comme le Royaume-Uni et le Japon sont loin d’être des bonnes affaires.
Cependant, ces valorisations devraient s’avérer assez bien soutenues à court terme. D’un point de vue macro-économique, l’inflation mondiale reste sur une trajectoire baissière, permettant aux banques centrales d’engager un cycle de baisse des taux d’intérêt relativement synchronisé.
La baisse des taux a presque toujours soutenu les marchés boursiers.
La vigueur persistante de l’économie américaine et la stabilisation progressive dans le reste des pays développés et en développement devraient permettre une croissance des ventes et des bénéfices en 2025.

Les estimations consensuelles des bénéfices pour les deux prochaines années pour les principales régions du monde sont solides: une croissance moyenne de 8 à 12% chaque année (source: LSEG Datastream, Schroders Strategic Research Unit, novembre 2024). En supposant qu’il n’y ait pas de dévalorisation des marchés actions, les opportunités de rendement des actions mondiales seraient raisonnables, voire spectaculaires.



trump_chine.gif


Trump 2.0 : Beaucoup de choses peuvent arriver

Si le message a jusqu’à présent été assez optimiste, la récente élection de Donald Trump pour un second mandat à la présidence des États-Unis devrait s’avérer être un joker pour les investisseurs à moyen terme.
Sous Trump, le monde sera clairement différent. Certaines de ses initiatives politiques auront des conséquences importantes, mais aussi de nombreuses conséquences imprévues. À tout le moins, il est probable qu’il y aura plus de volatilité sur les marchés.
Dans l'immédiat, et avant même sa prise de fonction, la courbe des taux américains a augmenté en réponse aux politiques qu'il promet de mener.

- MAGA ou America First :
La victoire des Républicains laisse présager un environnement financier dominé par des baisses d’impôts, des mesures de déréglementation et un soutien accru à la croissance des entreprises américaines.
Cette politique va s’appliquer à une série de domaines différents, mais en un mot, elle signifie moins de mondialisation, des alliances plus faibles et plus d’incertitude. Les marchés, pour des raisons évidentes, n’aiment pas l’incertitude.

Si les droits de douane sont mis en œuvre conformément à ses annonces de campagne, il y aura probablement un impact substantiel sur l’inflation américaine, ce qui affectera de manière disproportionnée les ménages à faible revenu, un élément clé de la base de soutien de Trump. Par conséquent, on peut s’attendre à une approche plus nuancée de l’application des droits de douane que ne le suggère la rhétorique de la campagne.

Les 100 premiers jours de sa présidence pourraient donc être riches en réformes susceptibles de remodeler l’économie américaine, offrant de nouvelles opportunités, tout en créant des risques pour certains secteurs.
L’assouplissement réglementaire du secteur de l’énergie pourrait stimuler davantage le gaz naturel porté par la demande européenne et l’essor des datacenters et de l’intelligence artificielle, alors que les actions pétrolières subissent toujours les conséquences d’une offre excédentaire.
Par contre, toute réduction des crédits d’impôts accordés sous l'Inflation Reduction Act de 2022 va compromettre partiellement l’élan de la filière verte.
D’autre part, l’évolution des dépenses militaires vers des technologies de pointe pourrait changer la donne dans le secteur de la défense. Enfin, les entreprises de la tech qui œuvrent dans l’IA, la cybersécurité ou les cryptomonnaies pourraient tirer profit d’un cadre politique plus favorable.

À court terme, Schroder Investment Management identifie 3 domaines d’incertitude :
L'impact d’une administration Trump, la dynamique de l’IA et le soutien politique chinois.
L’envolée des taux longs américains résultant d’une anticipation d’un regain d’inflation ou de croissance est une autre source de préoccupation.
Des taux longs élevés font mauvais ménage avec les actions.
Si les taux longs venaient à dépasser les 5%, les investisseurs actions pourraient délaisser les actions au profit des obligations.
 
MAJ janvier 2025 (2/3)
Après la macro, place à la micro.

Domination du secteur technologique

Au cours du premier semestre 2024, les 6 Mega-Tech (Meta, Alphabet, Microsoft, Nvidia, Amazon, Apple), ont représenté plus de la moitié du rendement total du marché actions américain. Sans surprise, ces 6 entreprises sont toutes liées au thème de l’Intelligence Artificielle (IA).
Les perspectives de ces entreprises, et du secteur technologique en général, restent généralement positives.
Elles resteront probablement des entreprises extraordinairement rentables et des composantes importantes des portefeuilles mondiaux.

Le cycle technologique se poursuivra-t-il en 2025 ?
La dynamique se maintiendra compte tenu du potentiel de la technologie et de la réticence des "hyperscalers" (les grands fournisseurs américains d’infrastructures d’IA), à être à la traîne de leurs pairs.

Cependant, un problème croissant pour ce groupe est le volume considérable des dépenses consacrées à l’IA.
110Mds$ de dépenses en IA en 2024 pour le trio Microsoft, Google et Amazon, et 125Mds$ attendus en 2025.
Les revenus futurs peuvent-ils justifier les dépenses d’investissement actuelles en IA?
Si 125Mds$ de dépenses en IA sont attendus en 2025 pour ces 3 entreprises, les prévisions de revenus pour ces hyperscalers apparaissent assez modestes avec des estimations de revenus supplémentaires tirés de l'IA portant sur seulement 10 à 20Mds$.
Le marché n’est tout simplement pas sûr que la monétisation de ces investissements soit positive pour les actionnaires.

Malgré tout, l'attractivité du secteur de la tech reste intact et un moindre intérêt pour les Mega-Tech pourrait aboutir à un "élargissement" des marchés: c’est-à-dire que des secteurs jusqu’alors négligés, comme les petites capitalisations, commenceraient à bénéficier de flux de fonds positifs.
Sur le S2, Microsoft est en baisse de 8%, Alphabet en hausse de 1,5% et NVidia affiche +9%.
Ce qui pourrait laisser penser que l'élargissement imaginé est déjà une réalité et que les perspectives sur des valeurs décotées deviennent bien plus intéressantes que sur celles ayant bien performé en 2024.
D'où l'idée d'alléger les unes pour acheter les autres!

Facteurs clés susceptibles de faire évoluer le S&P 500 en 2025
Plusieurs facteurs économiques clés sous-tendent les perspectives positives pour 2025. Les bénéfices des entreprises devraient augmenter de 11 % en 2025 et de 7 % en 2026, tandis que la croissance du chiffre d'affaires devrait être de 5 %, ce qui correspond aux prévisions du PIB nominal. Les économistes prévoient une croissance du PIB réel de 2,5 % et un ralentissement de l'inflation à 2,4 %, ce qui crée un environnement favorable à l'expansion du marché.

Le Luxe se rapproche, selon RBC, d'un retournement de tendance.

Le ralentissement de la demande en Chine, et l’atonie de la croissance en Europe dans une moindre mesure, ont porté un coup sévère aux groupes de luxe qui sortent d’une période de croissance exceptionnelle.
Selon une étude du cabinet Bain & Company et de la fondation Altagamma consacrée aux produits de luxe, le secteur traverse ainsi en 2024 "son deuxième plus grand ralentissement de l’histoire" après la crise financière de 2008, à l’exception de la période pandémique. La fête et les frénésies d’achats de produits de luxe post-Covid ont été de courte durée et le ralentissement en Asie impacte tout particulièrement les dépenses non essentielles, dites discrétionnaires.
En 2024, les ventes de produits de luxe devraient ainsi reculer dans une fourchette de 1 à 3 % dans un marché global évalué à près de 1 500Mds€. Le point noir est évidemment la Chine où la chute pourrait atteindre 20 à 22 % cette année.

Comment s’annonce 2025 ?
Le secteur affiche un potentiel de croissance de 0 à 4 % à taux de change constants, porté par la reprise des ventes en Europe et en Amérique
alors que la demande chinoise en produits de luxe devrait rester atone.
En outre, le Japon connaît une embellie de sa demande intérieure, soutenue par la hausse des salaires et la bonne performance des marchés actions. La dévaluation du yen a également fait affluer les touristes chinois au pays du Soleil levant (+230 % entre janvier et septembre 2024) et les ventes des maisons françaises de luxe ont bondi dans l’Archipel nippon en 2024.
L’accentuation probable des tensions commerciales dans le monde après la prise de fonction de Donald Trump, le 20 janvier, reste un sujet d'inquiétude pour les acteurs de l’industrie du luxe
Le potentiel de croissance des marques de luxe reste toutefois important alors que les nouvelles classes moyennes-supérieures des marchés émergents ciblées par ces marques de luxe devraient progresser de 50 millions de personnes d’ici à 2030.

L’exception Hermès

Seul le titre Hermès continue d’enregistrer une progression insolente de son cours en 2024 (+21%) grâce à son positionnement ultra-premium.
"Nous considérons Hermès comme la meilleure opportunité actuelle pour protéger le portefeuille d'un difficile second semestre 2024, souffrant d'un ralentissement mondial cyclique, exacerbé par les problèmes structurels en Chine", a estimé Luca Solca, analyste chez Bernstein

Une autre exception dans le Luxe mérite intérêt : Ferrari.
Il y a près de 10 ans, Ferrari s’est séparé de son ancien sauveur Fiat et est entré en bourse. Depuis lors, la valeur de l'entreprise a presque décuplé pour atteindre plus de 80Mds€.
Contrairement aux autres constructeurs automobiles classiques, Ferrari suit une stratégie claire de luxe, qui n'a presque pas d'égal, même au sein de l'industrie du luxe, sauf Hermès.
La marque possède un ADN et une histoire uniques de voitures de course, elle est extrêmement exclusive et peut choisir ses clients.
L'entreprise ne fabrique actuellement qu'environ 14000 automobiles, avec une croissance annuelle modeste à un chiffre. Mercedes-Benz, par exemple, produit plus de 2 millions de véhicules par an. En comparaison, Ferrari est un nain.
Cependant, avec sa production, l'entreprise génère un chiffre d'affaires de plus de 6Mds€, grâce à des prix unitaires élevés et en constante augmentation. Les marges et les rendements sur capital, qui se situent dans la plupart des entreprises automobiles à un chiffre, dépassent les 25% chez Ferrari.
L'entreprise est peu exposée à la Chine, moins de 7 % de ses bénéfices provenant de la région. En outre, Ferrari dispose d'une solide base d'acheteurs réguliers et de collectionneurs, 75 % des voitures neuves étant vendues à des clients existants qui doivent patienter plus d'1 an avant de pouvoir acquérir une "Macchina".
En 2024, Ferrari a progressé de 35% en bourse.

Quelques mouvements réalisés depuis 1 mois :
Dans le CTO Degiro :

- Cintas Corporation (NASDAQ:CTAS), un fournisseur de services spécialisés aux entreprises, a légèrement réduit ses prévisions de croissance organique.
Ce qui a suscité des inquiétudes perceptibles dans la baisse de 9% du cours de bourse le jour de la publication des résultats.
Les craintes portent sur les défis à relever pour maintenir la croissance face à la baisse des ventes directes dans un secteur des services très concurrentiel.
-> J'ai préféré prendre ma PV en sortant de Cintas dont la valorisation est riche (50x) et ne laisse pas de place à de mauvaises nouvelles.

- Netflix, en hausse de 85% sur 1 an, l'action apparaît aujourd'hui chère aux yeux des analystes de Benchmark alors que les principaux marchés de Netflix sont matures (et concurrentiels).
J'ai allégé en vendant la moitié de la ligne et ainsi matérialisé quelques bénéfices.

- Vente de quelques actions Nvidia (7 sur les 162 détenues) pour matérialiser une grosse PV et dégager quelques liquidités.
- Idem avec Eli Lilly et la vente de 1 action.

Dans le PEA :
- Vente de 5 actions Novo Nordisk
à 769DKK mi-décembre afin de dégager quelques liquidités alors que le titre semble boudé par rapport à son concurrent direct Eli Lilly.
- Vente de 6 actions Schneider Electric qui semble bien valorisé après une hausse de 32% en 2024 (pour un CAC 40 en baisse de 2,15%), alors que le changement de management peine à convaincre.

Les liquidités dégagées ont été en partie réinvesties.
J'ai pris le parti de suivre divers avis exprimés par des spécialistes des marchés et que j'ai rapportés plus haut dans la partie "Macro" de ce reporting.
Il s'agit notamment de :
- Positionner les portefeuilles pour une poursuite de la croissance compte tenu d’un contexte économique relativement favorable.
- Les États-Unis apparaissent comme une puissance qui dispose de beaucoup de potentialités tandis que l'Europe s'enfonce dans la 'non-croissance' et les déficits.
- Un possible élargissement des marchés US pourrait prendre forme après une hausse 2024 essentiellement portée par les 6 Mega-Tech.

Dans le PEA, je n'avais pas l'intention de prendre des positions après les 2 ventes réalisées depuis 1 mois.
Malgré tout, Novo Nordisk a connu une baisse importante depuis ma vente de 5titres suite à ses annonces mitigées sur une nouvelle molécule contre l'obésité.
-> J'ai acheté 6 actions le 02 janvier à 639DKK, soit 17% plus bas que lors de ma prise de bénéfices.

Dans le CTO, c'est plus intéressant !

J'ai commencé de nouvelles lignes avec les achats de :
-> Broadcom (Tech - IA)
-> Marvell Technology (Tech - IA)
-> Brookfield Corporation : Société d'investissement mondiale spécialise dans la gestion d'actifs alternatifs.
-> Apollo Global Management : Gestionnaire mondial d'actifs alternatifs et prestataire de services de retraite.

Et dans des petites valeurs, nouvelles lignes commencées sur :
-> Natera Inc (suite à article lu sur zonebourse) : Entreprise de diagnostic spécialisée dans les tests moléculaires, utilisant sa technologie d'ADN acellulaire et en croissance significative grâce à l'innovation continue dans les tests génétiques.
-> Workiva Inc : Solutions cloud et Saas de reporting en matière de conformité, de risque, de durabilité et de gestion, ainsi que de gestion des risques d'entreprise.

Et 2 lignes sur des valeurs australiennes :
-> Technology One : Editeur de logiciels d'entreprise basé en Australie qui développe maintenant des service (SaaS) à l'international (Royaume-Uni, Europe, Etats-Unis).
-> Telix Pharmaceuticals Ltd : Société biopharmaceutique basée en Australie qui développe un portefeuille de produits répondant à d'importants besoins médicaux non satisfaits en oncologie et dans le domaine des maladies rares.
 
MAJ janvier 2025 (3/3)
Quelques chiffres.

BILAN 2024 :
Le portefeuille termine 2024 avec un gain de +13,13% sur l'année pour un encours de 306 799€ (+35 604€).

Sur l'année 2024 :
CAC 40 -2,15%

Au sein du CAC et valeurs également détenues en portefeuille :
- Schneider Electric +32,52%
- Hermès International +21,02%
- Air Liquide -1,99%
- Orange -6,56%
- LVMH -13,37%
- L'Oréal -24,14%
- Dassault Systèmes -24,27%

S&P 500 +23,84%
Valeurs US détenues :
- NVidia +177%
- Axon +134%
- Constellation Energy +93%
- Parker-Hannifin +40%
- Eli Lilly +33%
- Chipotle +31%
- Microsoft +14%

MSCI WORLD index (EUR) +26,60%

ASX 200 (Australie) +7,50%

Valeurs australiennes détenues :
- Pro Medicus +162%
- WiseTech Global +60%
- Technology One +105%

Zone Euro (Euro Stoxx 50 +9%)
Valeurs détenues :
- Ferrari +35%
- Lotus Bakeries +30%
- Inditex +10%
- Novo Nordisk -34%


Le portefeuille au 05/01/2025 :
Valorisation 306 897€ et +98€ YTD (2 jours de cotations), soit +0,03% YTD


2025_01_portefeuille_POAM.gif


Répartition sectorielle :
- Technologie : 19,9% (NVidia, Microsoft, ASML ...)
- Produits de base : 19,8% (Air Liquide)
- Communication : 15,6% (Orange)
- Luxe : 15,0% (Hermès, Ferrari, LVMH)
- Santé : 9,8% (Sartorius Stedim Bio, Eli Lilly, Novo Nordisk, Pro Medicus...)


2025_01_camembert_POAM.gif
 
Dernière modification:
Flûte, j'allais oublier......


bonne_annee_2025.gif
 
y m'a piqué mon image, c'est pô juste !! :cool:
Merci @poam5356 pour ce CR tres intéressant. Donc, si je comprends bien, tu restes persuadé que les US vont continuer à surperformer marché !
Encore merci !
 
Merci poam
J attendais le compte rendu avec impatience.
Bravo pour la performance de votre portefeuille et merci de votre vision pour cette nouvelle année.
Meilleurs vœux également
 
Oui, merci Poam et bonne année à vous.
C'est toujours avec délectation que je me précipite dès sa parution, sur la lecture de votre compte rendu. Cette rétrospective annuelle s'est encore une fois révélée passionnante. 😊
 
niklos a dit:
y m'a piqué mon image, c'est pô juste !! :cool:
Donc, si je comprends bien, tu restes persuadé que les US vont continuer à surperformer marché !
Encore merci !
Économiquement, ils sont au dessus du lot et Trump va tout faire pour booster encore plus leur économie.
Peut-être le seul risque que je vois serait qu'une trop bonne économie provoque une hausse des taux. Leur 10 ans est à 4,60... A 5%, si on y arrive, les vases communicants vont commencer à jouer entre actions et obligations. A surveiller !
 
Merci pour ce retour !
 
poam5356 a dit:
Économiquement, ils sont au dessus du lot et Trump va tout faire pour booster encore plus leur économie.
Et créer encore plus d'inflation ce qui obligera Powell à ralentir la baisse voir faire une inversion de poussée:whistle:.

Je réfléchis sérieusement à retenter le coup du FM $, c'est un pari spéculatif mais si taux 10 ans US à 5% grosse demande de $ qui va se rapprocher de la parité €/$.

Ce message n'est pas un conseil d'investissement.

Et j'attends de voir en action le conseiller de D.Trump :

1736100786805.png
 
Jeune_padawan a dit:
Je réfléchis sérieusement à retenter le coup du FM $, c'est un pari spéculatif mais si taux 10 ans US à 5% grosse demande de $ qui va se rapprocher de la parité €/$.
Hum... T'as raté le coche (à mon avis)... La parité, on y va tout droit et on n'en est d'ailleurs plus très loin (1,03)

EUR_vs_USD_05_01_2025.gif
 
poam5356 a dit:
T'as raté le coche (à mon avis)...
Peux pas être partout:biggrin:.

Reste de la marge :ROFLMAO::
1736105922008.png

Spéculer indirectement sur le change €/$ :loufoque:.

A tous : c'est une idée très très spéculatifve vu l'ensemble des paramètres à intégrer. Amateur d'ETF s'abstenir.
Ce message n'est pas un conseil d'investissement.
 
Dernière modification:
Jeune_padawan a dit:
Peux pas être partout:biggrin:.

Reste de la marge :ROFLMAO::
Afficher la pièce jointe 39044

Spéculer indirectement sur le change €/$ :loufoque:.

A tous : c'est une idée très très spéculatifve vu l'ensemble des paramètres à intégrer. Amateur d'ETF s'abstenir.
Ce message n'est pas un conseil d'investissement.
Deviens riche avec le forex ? :ROFLMAO:
 
freddo89 a dit:
Deviens riche avec le forex ? :ROFLMAO:
Non c'est une idée à la con parmi tant d'autres.
 
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