Poam : Le point sur mes portefeuilles boursiers.

Toujours impressionné par la pertinence des propos et de ce qui se cache derrière, bravo !

Sur le paragraphe sur le nucléaire, il manquait un petit mot sur Assystem de mon point de vue ... ou pas, car je viens de vendre en deux semaines à 38,5 puis aujourd'hui à 35,8 avec -22%, très déçu du momentum négatif depuis quelques semaines, alors qu'Assystem c'est aussi des contrats en Inde et en Arabie Saoudite, et un positionnement exclusif, mais je n'avais pas le courage de la voir baisser plus bas, pas de sentiments en Bourse mais c'est dur:cry:
 
ZO13 a dit:
Toujours impressionné par la pertinence des propos et de ce qui se cache derrière, bravo !
Merci pour cette appréciation.

ZO13 a dit:
Sur le paragraphe sur le nucléaire, il manquait un petit mot sur Assystem de mon point de vue ... ou pas,
Je me focalise sur mes valeurs, ou celles dont je fais un suivi.

ZO13 a dit:
car je viens de vendre en deux semaines à 38,5 puis aujourd'hui à 35,8 avec -22%, très déçu du momentum négatif depuis quelques semaines, alors qu'Assystem c'est aussi des contrats en Inde et en Arabie Saoudite, et un positionnement exclusif, mais je n'avais pas le courage de la voir baisser plus bas, pas de sentiments en Bourse mais c'est dur:cry:
Peut-être auriez-vous dû persister !
Avez-vous remarqué que le point haut se situe vers 60€ en avril/juin de cette année après un beau parcours depuis début 2020.
Moi, j'y verrais bien la dissolution et le flou et les retards prévisibles sur la suite des programmes nucléaires, notamment en France.
Certes, s'ils ont des contrats en Inde ou en Arabie Saoudite, la France représente tour de même presque 65% de son activité.
Si la société à révisé en septembre ses objectifs à la baisse, c'est à cause des incertitudes budgétaires en France (incertitudes extrêmement vives) qui ont eu pour effet de retarder les projets.
Pourtant, la feuille de route du nucléaire n'est pas remise en cause avec une vision d'un monde à électrifier en totalité comme seule solution pour sauver la planète.
Le problème est donc conjoncturel, et non pas structurel.
Il y a un niveau de prix intéressant dans la zone 33 à 33,50€. Il y a un support sur les 33€, et le niveau 33,50€ correspond à un retracement de Fibonacci de 61,8% du trend haussier qui était en vigueur depuis 2020.
Peut-être un bon point d'entrée si jamais le titre revient visiter cette zone.
 
poam5356 a dit:
Il y a un niveau de prix intéressant dans la zone 33 à 33,50€. Il y a un support sur les 33€, et le niveau 33,50€ correspond à un retracement de Fibonacci de 61,8% du trend haussier qui était en vigueur depuis 2020.
Peut-être un bon point d'entrée si jamais le titre revient visiter cette zone.
Merci, je note... Je laisserai tester la solidité du support et hop... on y va
 
Bonsoir @poam5356

Tu vas me dire que j'ai le sens du détail ;) : le secteur de ta ligne Pro Medicus ne correspond pas à moins que l'IRM soit un nouveau métal:giggle:.
 
Jeune_padawan a dit:
Bonsoir @poam5356

Tu vas me dire que j'ai le sens du détail ;) : le secteur de ta ligne Pro Medicus ne correspond pas à moins que l'IRM soit un nouveau métal:giggle:.
Sacrebleu, tu as fichtrement raison.
L’œil exercé du @Jeune_padawan a vu l'infime erreur qui s'est glissée dans le tableau des valeurs.
C'est corrigé et sera visible dans la prochaine mouture dudit CR mensuel.
En attendant, et même flanquée d'un mauvais secteur, le titre gagne 19,09% en 1 mois.

Euh, si jamais tu voulais changer de pseudo, je t'en propose un : Œil_de_Lynx ....

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poam5356 a dit:
Sacrebleu, tu as fichtrement raison.
L’œil exercé du @Jeune_padawan a vu l'infime erreur qui s'est glissée dans le tableau des valeurs.
C'est corrigé et sera visible dans la prochaine mouture dudit CR mensuel.
En attendant, et même flanquée d'un mauvais secteur, le titre gagne 19,09% en 1 mois.

Euh, si jamais tu voulais changer de pseudo, je t'en propose un : Œil_de_Lynx ....

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Hop hop hop ... Déjà pris : ODL = Œil De Lynx 😉😇😉
 
MAJ décembre 2024 (1/2) : USA au top, la morosité pour les autres !!

Le rapport sera simplifié en cette fin d'année… Je manque de temps pour le rédiger, mais, surtout, j'ai du mal à produire ne serait-ce qu'une synthèse des avis formulés par les experts en la matière tellement l'incertitude est forte. Entre l'arrivée de Donald Trump à la présidence des États-Unis, dont il est bien difficile d'envisager quel sera réellement son programme, et une Europe dont 2 de ses piliers sont dans un flou politique total, j'ai du mal à "voir" comment 2025 pourrait se dérouler.

Enfin, si, il y a une réalité qui s'impose tous les jours un peu plus : Les Etats-Unis ne connaissent pas la crise, et vont gagner encore plus en puissance grâce à l'innovation, et notamment l'IA qui va leur donner un avantage concurrentiel déterminant sur le reste du monde, et ce, pour longtemps.
Depuis toujours à la pointe des avancées technologiques, l’économie américaine reste une source d’innovation et de dynamisme. Les entreprises y sont aussi connues pour prioriser les intérêts des actionnaires, via des pratiques favorables à la valeur sur le long terme, comme les rachats d'actions. On est bien loin de la France et des syndicats qui pointent du doigt le vilain actionnaire engrangeant de juteux profits sur le dos des travailleurs...


US_vs_WLD_07_12_2024.gif


L'exceptionnalisme des actions américaines devrait se poursuivre (Barclays)
"Il est difficile de voir la fin de l'exceptionnalisme américain de sitôt."
En revanche, l'Europe est confrontée à des défis tels que la stagnation de la croissance, les menaces tarifaires et les troubles politiques en France.
Alors que les actions américaines ont bondi après l'élection, tirées par les secteurs cycliques et value, les actions européennes sont restées à la traîne en raison de l'impact des politiques de Trump.
Barclays note que les perspectives de croissance mondiale restent saines, en particulier aux États-Unis, avec seulement un ralentissement modéré prévu en 2025 à environ 3 %
"Les baisses de taux, combinées à un marché du travail résilient et à la désinflation, devraient stimuler le consommateur", ont déclaré les stratèges.

Pour l'Europe, Barclays s'attend à ce que la croissance stagne autour de 0,7 % en raison de l'incertitude commerciale et politique, bien que de nouvelles baisses de taux de la BCE et un euro plus faible puissent apporter un certain soulagement. Elle prévoit également un ralentissement de la croissance chinoise à 4 %, en raison des vents contraires liés au commerce et de la faiblesse de la demande intérieure, mais note que des mesures de relance supplémentaires pourraient être introduites en réponse aux politiques américaines.

"Les Etats-Unis resteront le moteur de la croissance mondiale avec un marché du travail toujours sain, des fondamentaux de crédit solides, une liquidité abondante dans le système et l'élargissement des dépenses d'investissement liées à l'IA", fait remarquer JPMorgan dans sa très récente note sur les perspectives annuelles.
"Notre hypothèse de travail est qu'une deuxième administration Trump apporterait des tarifs douaniers plus élevés pour la Chine, quelques nouvelles réductions d'impôts et un assouplissement de la réglementation. Dans ce cas, l'économie américaine devrait croître de 2,2 % en 2025, dépassant les autres économies du monde pour la troisième année consécutive et renforçant la hausse du dollar", explique la banque d'investissement.

La France et la Corée du Sud sont toutes deux confrontées à une crise politique.
Celle de la France tombe mal empêchant l'Europe de déployer les investissements stratégiques nécessaires pour rester compétitive.
2 bouées de sauvetage pourraient aider la France à se maintenir à flots en 2025 :
Un euro plus faible favorisant nos exportations.
Une baisse des taux directeurs de la BCE.
Et c'est ce qui devrait arriver :
Le cycle de réduction de la BCE est en cours et devrait se poursuivre compte tenu de la faiblesse de l'économie en zone euro.
Ce qui incitera les investisseurs à privilégier les rendements plus élevés offerts par les obligations américaines.
Un USD qui sera renforcé par les politiques commerciales de D. Trump rassemblées sous la bannière de l'America First.

La Suisse, pour sa part, affiche une modeste hausse 2024 avec un indice du marché boursier suisse en hausse de 5,26% à quelques jours de la fin d'année.
Les poids lourds de l’indice que sont Nestlé, Novartis et Roche affichant des performances médiocres.

2025 devrait continuer de voir la baisse des taux par les banques centrales partout sur la planète sur fond de poursuite de la désinflation..
Aux États-Unis, la déréglementation et les baisses d’impôts devraient prolonger l’exceptionnalisme de l’économie et des marchés actions.
Au plan mondial, la croissance est attendue à 3% en 2025 et à 2% aux Etats-Unis.
La résilience de la croissance et la baisse des taux d’intérêt devrait bénéficier aux actions.
Les conditions macroéconomiques devraient profiter aux secteurs cycliques, dans les infrastructures notamment et dans les matériaux avant de se propager aux valeurs industrielles.

Toutefois, l’arrivée de Trump à la Maison Blanche est de nature à modifier la donne, tant son profil "anti-système" et isolationniste promet de trancher avec le passé.
La nomination de Scott Bessent (star de Wall Street, considéré comme un véritable expert en finance et économie) apporte apaisement et confiance dans l’approche économique à venir.

Il nous apparait toujours que l’exceptionnalisme américain prévaut à la lueur de la rentabilité moyenne des entreprises américaines, du rôle dominant de la technologie (notamment l’IA) qui génère une demande importante de matériel et de logiciels, de l’usage accru des outils digitaux dans la gestion des entreprises et maintenant des soutiens massifs promis par la nouvelle administration.
Par ailleurs, dans le contexte commercial qui s’annonce, la recherche de sociétés cotées étrangères mais disposant déjà de capacités de production aux Etats-Unis présente certainement un grand intérêt. De même pour les sociétés leaders dans leurs secteurs et présentant des marges élevées seront en mesure de mieux traverser la période qui s’annonce.

L’or devrait maintenir son statut d’assurance tous risques (inflation, déflation, risques géopolitiques, diversification des réserves de banques centrales), mais il pourrait être concurrencé par le Bitcoin.
En effet, si les promesses de campagne de Trump et de ses amis peuvent se réaliser, à savoir la création d’un fonds stratégique en Bitcoin («Strategic Bitcoin Reserve»), la demande structurelle pour ce type d’actifs pourrait se démultiplier.

Les poches de liquidités auprès des investisseurs restent importantes et pourraient progressivement se positionner vers les actions, les obligations et l’immobilier coté (qui reste déprimé). En effet, l’hypothèse d’une récession (principalement aux Etats-Unis) est désormais écartée pour les prochains trimestres. La destination privilégiée des flux reste pour le moment les Etats-Unis en raison des meilleures perspectives de croissance, de la dynamique fiscale et de la domination technologique.

Les derniers chiffres US sur l'emploi renforcent l'optimisme des investisseurs :
Les Etats-Unis ont créé 227.000 postes en novembre, soit légèrement plus que les 214.000 attendus par les économistes.
Ce chiffre marque un rebond après les 36.000 créations d'octobre (révisées en hausse vendredi contre 12.000 annoncées initialement).
Le taux de chômage est néanmoins un peu remonté, à 4,2% contre 4,1% en octobre.
"C'est un rapport idéal", a commenté Tom Cahill, de Ventura Wealth Management, dans la mesure où il confirme la santé de l'économie américaine mais est assez mitigé pour ouvrir la voie à une baisse de taux de la Fed.
"Ce rapport nous dit clairement que nous ne sommes pas en train d'entrer en récession", a commenté Gina Bolvin, de Bolvin Wealth Management Group. "Le marché du travail reste en bonne santé et résilient."
Dans le même temps, "l'augmentation du taux de chômage offre l'occasion à la Fed de baisser ses taux en décembre", selon Jeffrey Roach, de LPL Financial.
"Le marché du travail décélère, mais il est encore vigoureux, la Réserve fédérale va probablement réduire ses taux et les résultats de sociétés progressent à bonne allure. Tout est en place pour favoriser les actions", résume Tom Cahill.

Les perspectives semblent donc positives... Pour les Etats-Unis, pas pour les autres !

Le bitcoin dépasse les 100 000 $
:
La hausse de cette semaine a été provoquée par la nomination de l’avocat républicain Paul Atkins, qui est favorable aux cryptomonnaies, comme futur président de la Securities and Exchange Commission.
L’autorité des marchés américains s’était montrée très hostile aux actifs numériques par le passé au point de déclencher plusieurs actions contre les principaux acteurs du secteur.
Ce changement à la tête de l’institution augure ainsi de jours meilleurs pour le Bitcoin.
De nombreux investisseurs estiment que sa nomination augmente les chances de voir la création d'une réserve nationale de bitcoins.
Dans les jours à venir, un événement pourrait attirer l’attention des investisseurs :
Microsoft, doit s’exprimer, le 10 décembre en AG, sur la possibilité de "mener une évaluation afin de déterminer l’opportunité de diversifier les actifs de l’entreprise en incluant le bitcoin".
Une réponse positive serait probablement un nouveau coup d’accélérateur pour le Bitcoin.
 
MAJ décembre 2024 (2/2) : USA au top, la morosité pour les autres !!

Après la macro, place à la micro et mes portefeuilles.


Les investisseurs anticipent plus de croissance et d'inflation avec la victoire de Trump et ont accru leur exposition aux actions américaines. Une proportion nette de 29% d'entre eux surpondère les actions américaines, ce qui représente le taux le plus élevé depuis août 2013.

La combinaison de la baisse des taux d'intérêt, des politiques favorables à la croissance et des bénéfices élevés devrait propulser les actions US vers de nouveaux sommets en 2025 (et au-delà ?).
Pour améliorer encore le sentiment positif envers les actions US, la nomination de Scott Bessent (jugé favorable à Wall Street), comme futur secrétaire du Trésor américain de Donald Trump a été fort bien accueillie, renforçant l'ambiance propice à la prise de risque qui irradie les marchés depuis le scrutin présidentiel américain.

Face au bourbier dans lequel est engluée l'Europe, et notamment la France, je vais continuer d'investir sur les Etats-Unis et réduire l'exposition française du PEA en arbitrant en faveur des marchés US. Évidemment, ce sera au travers d'ETF sur les Etats-Unis et éligibles au PEA.
Le renforcement probable de l'USD face à l'EUR augmentant encore l'intérêt envers les actions américaines.

Sur le plan des valeurs :
La nomination de Robert F. Kennedy Jr, connu pour ses positions "vaccinosceptiques", au poste de ministre de la Santé a pesé sur le compartiment pharmaceutique à cause de pressions potentielles sur les prix sous l'administration Trump.
Eli Lilly et d'autres entreprises du secteur pharmaceutique ont été pénalisées à cette annonce.
Depuis les fabricants de vaccins, comme Sanofi (-3,4%) et Valneva (-8,2%), et leurs fournisseurs, comme Sartorius Stedim Biotech (-4,3%), jusqu'à Eli Lilly (-3,1%) et Novo Nordisk (-5,3%), c'est l'ensemble du compartiment santé qui a plongé.

En raison des tarifs douaniers proposés par Trump, les Américains pourraient voir une forte augmentation du prix des alcools importés.
Si Pernod-Ricard et Rémy Cointreau restent dans ma liste de valeurs, je reste à l'écart de celles-ci.

Ferrari a été pénalisée par des prises de bénéfices après une forte performance depuis le début de l'année.
L'entreprise a publié des résultats du troisième trimestre en ligne avec les attentes avec une croissance organique des revenus de 7%, une croissance du bénéfice par action (BPA) de 14% et a confirmé ses objectifs annuels.
Barclays a placé Ferrari parmi les valeurs européennes à privilégier en 2025.

Air Liquide
a reculé, ses résultats ont mis en évidence une activité industrielle encore faible, une tendance partagée par son concurrent Linde.
Toutefois, l'amélioration des marges se poursuit, dépassant les objectifs du plan 2022-2025.

Hermès est une valeur recommandée par Barclays.
"Nous considérons Hermès comme une valeur défensive forte", avance la banque. Ce, "en raison de son profil de croissance du chiffre d'affaires plus solide, de la désirabilité de sa marque, de son exposition aux clients haut de gamme et de sa marge opérationnelle globalement constante", poursuit-elle.
Barclays fait notamment valoir qu'Hermès a entretenu une culture de la rareté qui lui a permis de soigner sa désirabilité. "Notre enquête trimestrielle en collaboration avec Vogue montre qu'en Chine, Hermès se classe systématiquement comme la deuxième marque de luxe la plus désirable, devancée seulement par Chanel", souligne l'établissement.
In fine, Barclays s'attend à ce qu'Hermès affiche une croissance de 13% en 2025 contre 1% pour l'ensemble du secteur du luxe.
Un secteur du Luxe qui a retrouvé des couleurs au cours du mois écoulé. Hermès est en hausse de 9,24% sur le mois précédent.

Schneider Electric est une autre valeur recommandée par Barclays.
Le portefeuille de produits de la société spécialisée dans les technologies d'efficacité énergétique se situe au cœur de mégatendances à savoir le développement de l'intelligence artificielle et des infrastructures électriques.
Schneider Electric est ainsi bien positionné pour tirer parti de la croissance (13% par an d'ici à 2027) des investissements dans les équipements électriques pour les data centers.


Les mouvements du mois :
J'ai allégé BioMerieux, Sidetrade, Novo Nordisk et Eli Lilly (prise de PV et risque de pression sur les prix aux Etats-Unis), Microsoft (4 actions vendues) et, à la marge, NVidia (-2 actions).

A l'inverse, j'ai renforcé :
- ID Logistics (+1 action)
- Inditex (+10 actions).
- ARM (+4 actions)

2 nouvelles petites lignes ont été ouvertes sur 2 valeurs de la tech australienne :
- TechnologyOne Ltd
- Xero Ltd

Orange gagne quelques unités
suite au détachement du dividende le 04 décembre et au réinvestissement automatique en actions dans le cadre du PEE.


Le portefeuille au 08/12/2024
Belle reprise du portefeuille sur le mois écoulé.

Au 08/12/2024 : 43 599€ de progression YTD, soit +16,08% YTD

Pour rappel, mi-novembre, le portefeuille progressait de +13,74% YTD

Les principaux contributeurs à la performance sur le mois sont :
- Chipotle Mexican Grill +11,21%
- Hermès +9,24%
- ASML Holding +9,03%
- Inditex +7,35%

Et dans les lignes de moindre importance :
- Applovin Corp +38,44% (qui rentre dans le tableau des valeurs, ci-dessous)
- Pro Medicus +31,43%
- Netflix +17,57%
- Axon Enterprise Inc +14,01%

Les détracteurs sont peu nombreux :
- Lotus Bakeries fait l'objet de prises de bénéfices -9,93%
- ID Logistics -4,90%
- ARM -4,47%


Le portefeuille (lignes >1499€)

2024_12_portefeuille_POAM.gif
 
Merci @poam5356 pour ce super compte rendu !
Tout ceci me conforte dans l'idée que je me faisais des marchés pour les prochains mois : USA First...
 
Merci poam
Toujours très utiles les comptes rendues de vos portefeuilles.
Merci encore pour des personnes comme moi qui sont encore novice en la matière malgré un intérêt croissant pour les investissements boursiers.
 
Génial ce nouveau compte rendu @poam5356.
bcp de travail pour informer le Forum. Bravo (y)

De mon coté, je regrette de ne m'être intéressé aux ETF du S&P 500 / Nasdaq-100 et Russel 2000 bcp trop tardivement ...
Mais bon, les regrets ... le principal est d'avancer ...

Quelles seraient vos ETF préférés ?

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Bonsoir,
Pascal 75 a dit:
Quelles seraient vos ETF préférés ?
Vous avez survolé son compte-rendu alors., il veut des ETF éligible PEA mais pas forcément sur indice généraliste
;). Et ceux pour réallouer son portefeuille PEA vers les États-Unis.

@poam5356 passe du stock-picking au passive investment:ROFLMAO:. A quand le DCA sur S&P 500 ...

Bon je le comprends le marché américain étant tellement plus performant que moi-même j’investis beaucoup moins sur l'Europe que sur les États-Unis mais en direct sur CTO laissant vivre le PEA.
 
Jeune_padawan a dit:
Bonsoir,

Vous avez survolé son compte-rendu alors., il veut des ETF éligible PEA mais pas forcément sur indice généraliste
;). Et ceux pour réallouer son portefeuille PEA vers les États-Unis.

@poam5356 passe du stock-picking au passive investment:ROFLMAO:. A quand le DCA sur S&P 500 ...

Bon je le comprends le marché américain étant tellement plus performant que moi-même j’investis beaucoup moins sur l'Europe que sur les États-Unis mais en direct sur CTO laissant vivre le PEA.
Je l'avais bien lu ... mais comme il n'y a pas d'exemples...
J'ai un peu mal à m'y retrouver dans l'offre pléthorique des ETF ;)
Je suis aussi très favorable aux ETF PEA et j'y rentre effectivement en mode DCA.
 
Jeune_padawan a dit:
Bonsoir,

Vous avez survolé son compte-rendu alors., il veut des ETF éligible PEA mais pas forcément sur indice généraliste
;). Et ceux pour réallouer son portefeuille PEA vers les États-Unis.

@poam5356 passe du stock-picking au passive investment:ROFLMAO:. A quand le DCA sur S&P 500 ...

Bon je le comprends le marché américain étant tellement plus performant que moi-même j’investis beaucoup moins sur l'Europe que sur les États-Unis mais en direct sur CTO laissant vivre le PEA.
Bonsoir, oui je partage le point de vue, mais pour faire profiter son PEA de l'élan US (not the moose, the other one ! ;) ) , les ETFs sont bien pratiques tout de même (je sais bien que je pourrais utiliser des valeurs européennes réalisant une grosse part de leurs activités outre-atlantique mais cela reste du second ordre) ...par contre mon CTO lui ne contient que des valeurs US en direct -hors monétaire- parce que c'est plus de fun :)
 
Pascal 75 a dit:
J'ai un peu mal à m'y retrouver dans l'offre pléthorique des ETF ;)
Dans votre liste, vous pouvez retirer tous les ETF physiques et ceux qui ont un faible encours disons moins d'1 milliard d'€. Je pense que @poam5356 commencerait son tri comme ça.
Après je retirerais Amundi et sa manie de changer les indices répliqués tous les 4 matins.
 
Merci Poam! Je me précipite toujours sur vos compte-rendus dès leur parution. Clairs, complets, structurés, ils sont toujours très instructifs pour la novice que je suis encore dans le domaine boursier.
 
Jeune_padawan a dit:
@poam5356 passe du stock-picking au passive investment:ROFLMAO:. A quand le DCA sur S&P 500 ...
Il n'ose pas encore faire son coming out, on ne voit pas les ETF dans son portefeuille :ROFLMAO:
 
Jeune_padawan a dit:
Dans votre liste, vous pouvez retirer tous les ETF physiques et ceux qui ont un faible encours disons moins d'1 milliard d'€.
Je précise que cela s'applique pour le PEA. En CTO les ETF physiques et certains synthétiques sont disponibles.
 
Pascal 75 a dit:
Je l'avais bien lu ... mais comme il n'y a pas d'exemples...
Sur le S&P 500, mon choix se porte depuis longtemps sur le BNPP Easy S&P 500 ETF (ESE) : 36 parts, soit 1000€.
Et sur le Nasdaq, c'est le LQQ qui a ma préférence (LYX.P.NASD.100 D.2X LEV.UC.ETF) qui, de Lyxor est maintenant passé Amundi. 1 seule part pour 1300€.
J'en avais plus par un temps, 4 ou 5 parts... J'aurais mieux fait de les garder.
J'ai dans l'idée de renforcer ces 2 ETF.
 
Tout fout le camp 😱
 
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