jp19
Contributeur régulier
2H2 + O2 = 2H2Ohector225 a dit:
Hydrogène + Oxygène = eau
De où l'eau ca pollue ?
L'hydrogène énergie du futur
Hydrogène + Oxygène = eau
De où l'eau ca pollue ?
niklos
Modérateur
Staff MoneyVox
@jp19 , c'est exactement ce que j'allais dire !
Buffeto
Modérateur
Staff MoneyVox
dans la Seinoise [lien réservé abonné] ?jp19 a dit:De où l'eau ca pollue ?
Buffeto
Modérateur
Staff MoneyVox
je confirme ...... Buffeto licence de biochimie 1979jp19 a dit:
rien
Contributeur
l’hydrogène il faut le produire et consommer de l’énergie.hector225 a dit:
Que les idolatres l’H nous disent combien de Kw d’énergie sale ou propre il faut pour produite 1 kw d’H?
on ne fait pas un monde en repetant la doxa.
hector225
Membre
@ jp19
2H2+O2 = 2H2O , c'est le monde des "bisounours du père Lavoisier il y 250 ans ," pas la réalité !En fait l'erreur c'est que la combustion dans l'hydrogène , effectivement çà ne polluerait pas du tout , mais ....au prix du H2 et de O2 à 5€ le kg - avec 8 kg O2 par kg H2 cela coûterait 1500 € le plein de 50 kg !!!!!! Faut en parler aux gilets jaunes , vous croyez pas ?Par contre Air Liquide serait interessé .....
Par contre quand on sort du monde des bisounours et qu'on vit dans la vrai vie cela devient :
2H2 + (O2 +3.76 N2) = 2H20 plus traces de NO ( oxydes azote formés dans la flamme à haute température )
Dans l’atmosphère ( après pot échappement / cheminée ) il se passe : NO + 1/2 O2 = NO2 , 2 NO2 + H2O + 1/2 O2 =2 HNO3 .............. Ce petit détail , c'est le principal polluant : les oxydes d'azote , çà s'appelle l'affaire Volkswagen ..... ils ont payé des milliards aux USA pour la triche avec des moteurs diesels ! avec du H2 ce serait pire qu'avec le diesel car le H2 plus "énergétique" produirait énormément de NO du fait de la flamme à haute température.....
Note : H2 ne pourrait être brûlé que dans des installations très grosses avec traitement de fumées (dénitrification) coûtant des millions ..... mais en aucun cas dans des installations individuelles ( chaudières ou autos ) ; bruler du H2 c'est tout sauf proteger la planéte , par contre le " bruler" dans une pile à combustible c'est possible , mais le cout aie, aie ,aie !!!!!! (les gilets jaunes)
2H2+O2 = 2H2O , c'est le monde des "bisounours du père Lavoisier il y 250 ans ," pas la réalité !En fait l'erreur c'est que la combustion dans l'hydrogène , effectivement çà ne polluerait pas du tout , mais ....au prix du H2 et de O2 à 5€ le kg - avec 8 kg O2 par kg H2 cela coûterait 1500 € le plein de 50 kg !!!!!! Faut en parler aux gilets jaunes , vous croyez pas ?Par contre Air Liquide serait interessé .....
Par contre quand on sort du monde des bisounours et qu'on vit dans la vrai vie cela devient :
2H2 + (O2 +3.76 N2) = 2H20 plus traces de NO ( oxydes azote formés dans la flamme à haute température )
Dans l’atmosphère ( après pot échappement / cheminée ) il se passe : NO + 1/2 O2 = NO2 , 2 NO2 + H2O + 1/2 O2 =2 HNO3 .............. Ce petit détail , c'est le principal polluant : les oxydes d'azote , çà s'appelle l'affaire Volkswagen ..... ils ont payé des milliards aux USA pour la triche avec des moteurs diesels ! avec du H2 ce serait pire qu'avec le diesel car le H2 plus "énergétique" produirait énormément de NO du fait de la flamme à haute température.....
Note : H2 ne pourrait être brûlé que dans des installations très grosses avec traitement de fumées (dénitrification) coûtant des millions ..... mais en aucun cas dans des installations individuelles ( chaudières ou autos ) ; bruler du H2 c'est tout sauf proteger la planéte , par contre le " bruler" dans une pile à combustible c'est possible , mais le cout aie, aie ,aie !!!!!! (les gilets jaunes)
zizou
Contributeur régulier
Bonjourrien a dit:
Tu oublies l’existence de l’hydrogène naturel ou hydrogène blanc ; on en découvre tous les jours et en plus il est renouvelable
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rien
Contributeur
j’ai lu le mot plutonium… une autre blague, j’adorezizou a dit:
Jeune_padawan
Top contributeur
Vous ne voyez que ce qui vous intéresse.hector225 a dit:
1) Il est possible d'isoler l'O2 dans l'air via tamis moléculaire type zéolithe.
2) Les piles à combustibles à membrane échangeuse de protons peuvent sans problème fonctionner avec l'air ambiant dépoussiéré puisque seul l'ion H+ est mobile.
D'ailleurs cela fonctionne déjà puisque les véhicules à hydrogène utilisent cette technologie sans faire le plein d"O2.
Donc le cout bla bla bla gilet jaune bla bla bla
Principe (image venant de Wikipedia) :
Plutôt 3 NO2 + H2O → 2 HNO3 + NO.hector225 a dit:
De plus comme toute technologie, la production de masse diminue le cout. Donc pour @jp19 oui cette techno produit bien de l'eau..
Dernière modification:
zizou
Contributeur régulier
Le Monde de l’Énergie ouvre ses colonnes à Isabelle Moretti, chercheuse spécialisée en hydrogène naturel à l’université de Pau (UPPA), membre de l’Académie des Technologies, pour évoquer le potentiel de l’hydrogène naturel.
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zizou
Contributeur régulier
En Chine, les vélos électriques à hydrogène ne sont pas vraiment un succès
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zizou
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« Il faut faire en dix ans avec l’hydrogène ce que les autres filières ont fait en trente ans »
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zizou
Contributeur régulier
Tout d’abord, les techniques de synthèse de l’h2 (liquide ou gazeux) sont aujourd’hui relativement coûteuses. En effet, la production d’h2 se décline de différentes couleurs (noir, brun, gris, bleu, jaune, vert, turquoise et blanc – du plus cher au moins cher) selon le procédé de fabrication utilisé, émettant plus ou moins de CO2. Cette différence tient essentiellement aux constituants de base et au coût énergétique de ces techniques. Par exemple, l’hydrogène noir est issu de la transformation du charbon en gaz (coûteux en énergie et polluant). A contrario, le blanc est présent à l’état naturel sur terre, il est donc plus propre à exploiter. Concrètement la production d’h2 vert coûte en moyenne 5-10€/kg en fonction de la taille et de la nature des unités de production, contre seulement 1,5-5€/kg pour l’h2 gris (produit à partir d’h2 naturel). Pour comparaison, le prix d’un kg d’essence sans plomb (hors taxe) est environ 1€. Ce qui signifie que l’h2 vert coûte aujourd’hui 3x plus cher que l’essence par km parcouru.
Après production, il existe trois façons de stocker l’hydrogène : le gaz comprimé, l’hydrogène liquide cryogénique (LH2) et le stockage de l’hydrogène à l’état solide. Fondamentalement, on connaît aujourd’hui six méthodes de stockage réversible de l’hydrogène avec une densité volumétrique (densité d’hydrogène par unité de volume) et gravimétrique (énergie stockée par unité de masse) élevées :
1. Bouteilles de gaz à haute pression
2. Hydrogène liquide dans des réservoirs cryogéniques
3. Hydrogène adsorbé
4. Absorbé au niveau interstitiel
5. Composés complexes
6. Métaux et complexes avec l’eau
Le stockage d’h2 (sous forme atomique et non plus moléculaire) sous forme solide repose sur une technologie utilisant des hydrures qui sont une poudre métallique qui absorbe et stocke des quantités significatives d’hydrogène à basse pression et température ambiante. Le processus de stockage et de libération de l’hydrogène sous forme d’hydrure métallique est réversible, ce qui signifie que le métal porteur n’est pas consommé. Ces hydrures métalliques se comportent alors comme une « éponge » à hydrogène.
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Après production, il existe trois façons de stocker l’hydrogène : le gaz comprimé, l’hydrogène liquide cryogénique (LH2) et le stockage de l’hydrogène à l’état solide. Fondamentalement, on connaît aujourd’hui six méthodes de stockage réversible de l’hydrogène avec une densité volumétrique (densité d’hydrogène par unité de volume) et gravimétrique (énergie stockée par unité de masse) élevées :
1. Bouteilles de gaz à haute pression
2. Hydrogène liquide dans des réservoirs cryogéniques
3. Hydrogène adsorbé
4. Absorbé au niveau interstitiel
5. Composés complexes
6. Métaux et complexes avec l’eau
Le stockage d’h2 (sous forme atomique et non plus moléculaire) sous forme solide repose sur une technologie utilisant des hydrures qui sont une poudre métallique qui absorbe et stocke des quantités significatives d’hydrogène à basse pression et température ambiante. Le processus de stockage et de libération de l’hydrogène sous forme d’hydrure métallique est réversible, ce qui signifie que le métal porteur n’est pas consommé. Ces hydrures métalliques se comportent alors comme une « éponge » à hydrogène.
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zizou
Contributeur régulier
Après Toyota et Hyundai, BMW veut aussi croire à la voiture électrique à hydrogène
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zizou
Contributeur régulier
L’hydrogène décarboné a un sérieux problème de demande et de compétitivité
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zizou
Contributeur régulier
L’hydrogène blanc appelé aussi hydrogène naturel ou encore hydrogène géologique fait rêver.
Dans le cas de l'hydrogène géologique, l'humanité aurait accès à une source d’énergie renouvelable, décarbonée et présente en quantités insoupçonnées dans le sous-sol.
A en croire une étude récente faite par des chercheurs du très sérieux United States Geological Survey (Institut d’études géologiques américain), il n’y en aurait pas moins de 5.600 milliards de tonnes sous nos pieds, 26 fois la quantité de pétrole connue…
L’hydrogène est une des clés de la transition énergétique, qu’on le veuille ou non. Tout simplement, parce que dans un grand nombre de domaines allant des transports sur longue distance (aérien, maritime voire terrestre) à l’industrie lourde, il est souvent le seul substitut crédible aux combustibles fossiles. Mais ce n’est pas pour autant une source d’énergie. Il faut le fabriquer comme l’électricité.
On a trouvé récemment, en France, en Albanie, en Afrique de l’ouest des « gisements » d’hydrogène naturel.
Aux Etats-Unis, des milliardaires comme Bill Gates (Microsoft) et Jeff Bezos (Amazon) [lien réservé abonné] parient aujourd’hui résolument sur cette source d’énergie « miraculeuse ».
Dans le cas de l'hydrogène géologique, l'humanité aurait accès à une source d’énergie renouvelable, décarbonée et présente en quantités insoupçonnées dans le sous-sol.
A en croire une étude récente faite par des chercheurs du très sérieux United States Geological Survey (Institut d’études géologiques américain), il n’y en aurait pas moins de 5.600 milliards de tonnes sous nos pieds, 26 fois la quantité de pétrole connue…
L’hydrogène est une des clés de la transition énergétique, qu’on le veuille ou non. Tout simplement, parce que dans un grand nombre de domaines allant des transports sur longue distance (aérien, maritime voire terrestre) à l’industrie lourde, il est souvent le seul substitut crédible aux combustibles fossiles. Mais ce n’est pas pour autant une source d’énergie. Il faut le fabriquer comme l’électricité.
On a trouvé récemment, en France, en Albanie, en Afrique de l’ouest des « gisements » d’hydrogène naturel.
Aux Etats-Unis, des milliardaires comme Bill Gates (Microsoft) et Jeff Bezos (Amazon) [lien réservé abonné] parient aujourd’hui résolument sur cette source d’énergie « miraculeuse ».
pchmartin
Contributeur régulier
Je pense qu'il sont en retard .. compte tenu des progrès sur les batteries, l'hydrogène n'est plus crédible pour les voitures particulières ..zizou a dit:
Ca reste intéressant pour les trains à la place des diesels quand c'est pas électrifié, et pour les flottes de bus, camions ou camionnettes qui rentrent au dépôt tous les soirs ... mais on peut pas dire qu'il y ait des progrès sensationnels dans les 2 dernières années ..
Une idée intéressante c'est de produire de l'hydrogène vert en utilisant les surplus d'énergie renouvelable comme celle des éoliennes la nuit par grand vent .. car il peut se stocker et se transporter .. voir projets de la ste Lhyfe
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