dernière minute .

Turbo-057 a dit:
J'avoue que c'est splendide cela devrait conduire dans ce genre de cas a la suppression des aides.
Les allocations chômage ne sont pas une aide mais une assurance.
Faudrait voir à pas l'oublier...
 
C'est pas bien grave si le sujet a dérivé (j'en suis un peu responsable, faut dire...), mais nous sommes au bar, non?

On en revient toujours à la même chose : les fonctionnaires, toujours de sacrés privilégiés. Le système que tu décris à EDF ZRR est révolu pour les nouvelles embauches.
Et comme je le disais plus haut, il y a une énorme disparités entre les fonctionnaires eux-mêmes, ceux qui qui sont affiliés à des régimes spéciaux, d'autres qui ont des avantages en nature.

Il est clair que tout devrait être remis sur la table de manière équitable, en commençant par uniformiser toutes les catégories de fonctionnaires.

Et dans un second temps, essayer de diminuer les disparités entre la fonction publique et le privé.

Ca m'énerve toujours un peu de pointer du doigt les fonctionnaires et leurs avantages.

Savez-vous quelles sont les conditions lorsqu'on travaille dans une banque privée, type BNP? C'est ENORME.
Le CE qui propose toutes sortes d'avantages : voyages, locations de vacances et de voitures à des prix très compétitifs.
Les indemnités qu'ils ont quand ils travaillent le dimanche? Ils sont mieux payés qu'une infimière qui travaille dans le public (à responsabilité équivalente, si tant est qu'on puisse comparer ce critère...).

C'est un peu facile de toujours accuser les autres d'avoir des avantages que vous n'avez pas. Si vous n'êtes pas content de votre sort, que vous êtes mal lotis, que vous payez trop d'impôts et que vous avez l'impression que vous les payez pour les sales fonctionnaires, eh bien allez travailler dans la fonction publique, et on en reparlera...
 
Manu215 a dit:
Savez-vous quelles sont les conditions lorsqu'on travaille dans une banque privée, type BNP? C'est ENORME.
C'est clair !

Le CE qui propose toutes sortes d'avantages : voyages, locations de vacances et de voitures à des prix très compétitifs.
Les indemnités qu'ils ont quand ils travaillent le dimanche? Ils sont mieux payés qu'une infimière qui travaille dans le public (à responsabilité équivalente, si tant est qu'on puisse comparer ce critère...).
Et ne pas oublier les taux préférentiels sur les emprunts (bon, d'accord aujourd'hui c'est moins génial).
J'ai pu économiser de sacrées sommes à l'époque (à 6 chiffres et en euro)

C'est un peu facile de toujours accuser les autres d'avoir des avantages que vous n'avez pas. Si vous n'êtes pas content de votre sort, que vous êtes mal lotis, que vous payez trop d'impôts et que vous avez l'impression que vous les payez pour les sales fonctionnaires, eh bien allez travailler dans la fonction publique, et on en reparlera...
Mais non voyons. C'est aux autres de faire des efforts. Toujours aux autres.
Au bar on se plaint, on n'agit pas. C'est la règle, ne va pas à l'encontre de la règle.
 
Bonjour,


moietmoi a dit:
Les banquiers mondiaux se demandent comment relancer un peu l'inflation( les taux négatifs en sont un des essais, entre autres); mais aveuglés par la politique de l'offre, et aveuglés surtout par les politiciens et les financiers, ils refusent de mettre en place la politique de la demande( quoique... si l'on écouté un économiste, en tout cas un commentateur économiste de la télé...l'idée d'en venir enfin à une politique de la demande commence à faire son chemin)

La politique de l'offre voudrait que des décisions tendent à réduire les charges des entreprises et autres contraintes diverses afin de leur permettre de produire à moindres coûts, donc vendre plus et par voie de conséquence, embaucher plus.

A ce stade il faudrait d'abord bien faire la distinction entre "entreprise" et "entrepreneur".

Rappelons nous le "coup de la TVA" dans la restauration où ce sont plus les restaurateurs qui en ont profité pour augmenter leur revenus plus que l'ampleur des embauches dans le secteur alors que c'était l'objectif.

Mais si l'on réduit les charges des entreprises tout en voulant conserver les mêmes avantages sociaux et de services publics il va bien falloir que d'autres agents économiques paient plus de taxes et/ou impôts en compensation.

Donc lesdits agents économiques potentiellement acheteurs de la nouvelle offre - moins chères soit - verront leur pouvoir d'achat - déjà bas - encore amputé à hauteur de ces transferts fiscaux.

Ou alors l'on s'oriente vers moins de services publiques et moins de transferts sociaux........et, dans ce dernier cas, plus de risques de conflits sociaux.....voire d'explosion sociale ?

Une politique de la demande voudrait que, par une augmentation des ressources des particuliers en priorité (salaires - revenus de transferts - réductions taxes/impôts....), leur pouvoir d'achat soit augmenté et, par voie de conséquence, les demandes en biens de consommation et d'investissement progressent incitant donc les entreprises nationales à produire plus et, pour produire plus, embaucher plus et investir en de nouveaux matériels plus performants.

Mais, concernant les biens de consommation, pour que le résultat soit au rendez-vous, encore faut-il que les consommateurs achètent des produits "made in France" et non pas "in China or South Coréa".

Par contre il semble qu'une politique de l'offre ciblant des productions non délocalisables, le secteur du logement par exemple, aurait plus de chances d'avoir un effet positif.

Par ailleurs des salaires plus élevés ne peuvent que renchérir les coûts de production cependant que plus de transferts sociaux doivent aussi être financés....comment? Par qui ?

Dès lors, politique de l'offre ou bien politique de la demande....."that is the question" ???

Mais si par exemple on décide de l'augmentation généralisée de tous les salaires de 10% , tu verras les coûts de production, donc de ventes augmentés, et les hausses de salaires serviront à acheter ces produits plus chers ;( c'est très schématique)

A quoi bon? me diras tu? eh: bien! il y aura des recettes fiscales et sociales!!

Ainsi que rappelé ci-dessus, tu sembles oublier que nous sommes désormais dans une économie mondialisée.

Cdt
 
Manu215 a dit:
C'est un peu facile de toujours accuser les autres d'avoir des avantages que vous n'avez pas. Si vous n'êtes pas content de votre sort, que vous êtes mal lotis, que vous payez trop d'impôts et que vous avez l'impression que vous les payez pour les sales fonctionnaires, eh bien allez travailler dans la fonction publique, et on en reparlera...

certes, alors vous serez d'accord avec moi pour dire :
- augmentons les salaires fonctionnaires (enfin traitements ça se dit je crois)
- imposons leur en contrepartie des objectifs de productivité ciblés et raisonnables (pas du rabot national qui ne veut rien dire)
- séparons ce qui doit être rentable de ce qui ne peut pas l'être (et c'est pas grave c'est un service public), mais obligeons la partie censée être rentable à l'être. (un peu comme SNCF qui doit etre rentable et RFF qui ne peut pas l'être).
- alignons tous les régimes quitte a augmenter les salaires des fonctionnaires, toutes ces niches sont illisibles et contribuent à se monter les uns contre les autres.
- sortons du tabou "emploi à vie" par des "emplois pour 10 ans renouvelables", ce qui laisse le temps au dit fonctionnaire de redresser la barre si la performance n'est pas au rendez-vous.

le clientélisme, le corporatisme et le syndicalisme (qui en France ne sert aucune cause) empêchera tout cela, il faudrait un dictateur, mais ça a d'autres inconvénients.
 
Manu215 a dit:
eh bien allez travailler dans la fonction publique, et on en reparlera...

je crois que je suis bien placé pour parler de ce sujet puisque j'ai, autrefois ,travaillé dans la fonction publique ( hospitalière ) ....

il ne m'a fallut que 6 mois pour savoir que je n'y ferai pas carrière et 6 autres mois pour intégrer une formation qui me permette de démissionner .
à la fin de ma formation j'aurais pu retourner dans la fonction publique mais j'ai choisi directement d’être mon propre employeur en tant que professionnel indépendant ....

et je ne l'ai jamais regretté ( ca fait 31ans que j'exerce en tant qu'entrepreneur individuel ) :clin-oeil:
 
Membre33312 a dit:
Les allocations chômage ne sont pas une aide mais une assurance.
Faudrait voir à pas l'oublier...

En tout cas c'est sur cette idée que ce système a été construit.
En pratique,de plus en plus de salariés considèrent ces allocations ni comme une assurance ni comme une aide, mais comme un dû. Une cagnotte qui leur appartient et qu'ils doivent récupérer d'une façon ou d'une autre ("j'ai cotisé tant, je dois récupérer tant).
 
Doolittle a dit:
En tout cas c'est sur cette idée que ce système a été construit.
En pratique,de plus en plus de salariés considèrent ces allocations ni comme une assurance ni comme une aide, mais comme un dû. Une cagnotte qui leur appartient et qu'ils doivent récupérer d'une façon ou d'une autre ("j'ai cotisé tant, je dois récupérer tant).

pire!!! ils la considèrent comme un "salaire", et ne comprennent pas qu'un banquier refuse de prendre en compte ce "salaire" pour calculer leur capacité d'endettement!!!
 
ZRR_pigeon a dit:
certes, alors vous serez d'accord avec moi pour dire :
- augmentons les salaires fonctionnaires (enfin traitements ça se dit je crois)
Non, sûrement pas. Il y a au sein des fonctionnaires, des inégalités flagrantes non seulement en terme de salaires, mais aussi en termes d'avantages de toutes sortes. Il faut néanmoins sortir des régimes spéciaux, sauf pour certaines catégories de professions (militaires, danseurs de l'Opéra, etc...) dont la carrière est tout à fait particulière.
ZRR_pigeon a dit:
- imposons leur en contrepartie des objectifs de productivité ciblés et raisonnables (pas du rabot national qui ne veut rien dire)
Pourquoi pas, mais je crois que pas mal de structures ont déjà mis en place ces objectifs. Je ne peux parler pour ce que je ne connais pas, mais les objectifs devraient être définis par des professionnels qui savent de quoi ils parlent, et non par des comptables qui ne savent lire que des bilans financiers et qui en tirent des objectifs erronés et dangereux.
ZRR_pigeon a dit:
- séparons ce qui doit être rentable de ce qui ne peut pas l'être (et c'est pas grave c'est un service public), mais obligeons la partie censée être rentable à l'être. (un peu comme SNCF qui doit etre rentable et RFF qui ne peut pas l'être).
Pour le milieu hospitalier, c'est très difficile de définir ce qui est rentable de ce qui ne l'est pas. Disons qu'on peut le faire pour pas mal d'activités chirurgicales, mais quoi faire de ces patients qui se compliquent considérablement, et qui finissent à l'hôpital public car le privé ne sait plus comment les prendre en charge, et qu'ils leur coûtent trop chers... L'hôpital public a bon dos dans ce cas-là, et cela a des conséquences assez délétères en terme de coût car ils ne rentrent plus "dans la norme".
Et lorsqu'on parle rentabilité, on parle souvent de mutualisation des moyens. Dans mon hôpital par exemple, il n'y a plus de cardiologie, car elle a été mutualisée dans un autre hôpital, ce qui signifie que le patient se balade d'un hôpital à l'autre. C'est un choix qui n'est pas toujours très heureux.
ZRR_pigeon a dit:
- alignons tous les régimes quitte a augmenter les salaires des fonctionnaires, toutes ces niches sont illisibles et contribuent à se monter les uns contre les autres.
Alignons les régimes, tout à fait d'accord, sans pour autant augmenter tous les fonctionnaires. Cela dit, l'augmentation assez "humiliante" de 1,2% (en deux fois de 0,6%!) cette année est un geste purement électoral, mais sinon les salaires n'ont pas été revus depuis 2010. Il faudrait ré-équilibrer le système, et payer les gens à hauteur de leurs responsabilités. A mes yeux (déformation professionnelle???), une infirmière ne peut pas être payée comme une employée du service des Impôts.
ZRR_pigeon a dit:
- sortons du tabou "emploi à vie" par des "emplois pour 10 ans renouvelables", ce qui laisse le temps au dit fonctionnaire de redresser la barre si la performance n'est pas au rendez-vous.
C'est une idée intéressante à laquelle j'adhère, mais je ne suis pas sûr que ce soit très populaire....:sourire:
 
ZRR_pigeon a dit:
si la performance n'est pas au rendez-vous..

le gros problème est là .....comment mesurer la performance ?

ma femme est fonctionnaire ( nul n'est parfait :clin-oeil: ) . elle est " évaluée " chaque année .

le souci c'est qu'elle est évaluée par son supérieur hiérarchique et là se pose le problème du jugement et des rapports humains ( copinage , pas copinage , syndicat , pas syndicat, rapports de " sympathie " ou non ( chez nous on dirait lèche-botte ou pas léche-botte ) etc....)
 
buffetophile a dit:
le gros problème est là .....comment mesurer la performance ?

ma femme est fonctionnaire ( nul n'est parfait :clin-oeil: ) . elle est " évaluée " chaque année .

le souci c'est qu'elle est évaluée par son supérieur hiérarchique et là se pose le problème du jugement et des rapports humains ( copinage , pas copinage , syndicat , pas syndicat, rapports de " sympathie " ou non ( chez nous on dirait lèche-botte ou pas léche-botte ) etc....)
Chez les fonctionnaires comme dans le privé d'ailleurs.
A part dans les jobs où on peut clairement mettre un objectif chiffré, pour les autres la notation est toujours assez subjective.

Par ailleurs, tant qu'un manager aura intérêt à avoir une grosse équipe, il n'ira jamais dire que son équipe est en sous-charge: il risquerait de perdre un subordonné et ferait ainsi un pas de plus vers la porte...
 
buffetophile a dit:
je crois que je suis bien placé pour parler de ce sujet puisque j'ai, autrefois ,travaillé dans la fonction publique ( hospitalière ) ....

il ne m'a fallut que 6 mois pour savoir que je n'y ferai pas carrière et 6 autres mois pour intégrer une formation qui me permette de démissionner .
à la fin de ma formation j'aurais pu retourner dans la fonction publique mais j'ai choisi directement d’être mon propre employeur en tant que professionnel indépendant ....

et je ne l'ai jamais regretté ( ca fait 31ans que j'exerce en tant qu'entrepreneur individuel ) :clin-oeil:

Mais ce choix est tout à fait honorable, rien à redire...:sourire:
Il faut l'assumer jusqu'au bout ce choix, c'est tout.

De la même manière, j'ai travaillé également dans le privé (lorsque j'étais interne) et j'ai fait le choix de travailler dans le public pour l'intérêt quotidien de mon travail. Je l'assume parfaitement, en sachant très bien que dans le privé je gagnerais sans doute deux fois plus.

Mais choisir une voie professionnelle, et se plaindre ensuite "du voisin qui a tous les avantages", bin fallait y réfléchir avant!
 
buffetophile a dit:
je crois que je suis bien placé pour parler de ce sujet puisque j'ai, autrefois ,travaillé dans la fonction publique ( hospitalière ) ....

il ne m'a fallut que 6 mois pour savoir que je n'y ferai pas carrière et 6 autres mois pour intégrer une formation qui me permette de démissionner .
(...)
et je ne l'ai jamais regretté ( ca fait 31ans que j'exerce en tant qu'entrepreneur individuel ) :clin-oeil:
Belle illustration du fait que le statut de fonctionnaire n'est pas la panacée que certains aiment à décrire.
 
Pour moi l'avantage de la fonction publique c'est la garantie de l'emploi, après c'est une histoire d'homme et de femmes, malheureusement certains profiterons des failles du système.
Il est clair que si on comparent les deux systèmes ont va y trouver des avantages et des inconvénients dans les deux systèmes.

Mais comme l'a soulevait Manu, on a le même problème dans le privé avec une disparité d'avantages selon la société qui vous emploi.
 
dodo1 a dit:
Mais comme l'a soulevait Manu, on a le même problème dans le privé avec une disparité d'avantages selon la société qui vous emploi.

sauf que dans le privé, si tu n'es pas performant, tu te fais lourder.
et quand tu es vieux et cher, (même bon) tu te fais lourder.
et quand l'entreprise décide de faire d'autres produits, elle embauche des nouveaux et lourde les autres.

donc oui la précarité du privé représente un risque et le risque se rémunère, donc le privé paye plus (normalement mais au final pas systématiquement) que le privé.
 
ZRR_pigeon a dit:
sauf que dans le privé, si tu n'es pas performant, tu te fais lourder.
et quand tu es vieux et cher, (même bon) tu te fais lourder.
et quand l'entreprise décide de faire d'autres produits, elle embauche des nouveaux et lourde les autres.
Ah, ah, ah, ah, ah !

Dans le privé, il y a de tout: notamment des entreprises ou les gens sont indéboulonnable, mêmes s'ils ne font rien, et même s'ils ne sont pas managers... Et là, je ne parle pas que des gros mastodontes type banques ou assurances... dans certains petits commerces, c'est exactement la même chose.

Et même dans les entreprises privées un petit plus exigeantes sur la "performance", il suffit de boire régulièrement un verre avec son boss pour être relativement tranquille...

A l'époque, j'ai quitté une boite qui en était à son 3ème plan de départ volontaire... quasiment aucun licenciement entre deux.
Et un plan de départ volontaire, c'est le contraire d'un licenciement: ce sont les bons, les performants qui partent (enfin, au premier... au deuxième ce sont les moyens et au troisième... ce qui reste)
 
ZRR_pigeon a dit:
sauf que dans le privé, si tu n'es pas performant, tu te fais lourder.
et quand tu es vieux et cher, (même bon) tu te fais lourder.
et quand l'entreprise décide de faire d'autres produits, elle embauche des nouveaux et lourde les autres.

donc oui la précarité du privé représente un risque et le risque se rémunère, donc le privé paye plus (normalement mais au final pas systématiquement) que le privé.
tu as oublié tu as des soucis de santé et tu es souvent malade tu te fais lourder.

c'est bien pour ça que j'ai dit que le grand avantage c'est la garantie de l'emploi, mais bon pour combien de temps ?
 
Membre33312 a dit:
Ah, ah, ah, ah, ah !

Dans le privé, il y a de tout: notamment des entreprises ou les gens sont indéboulonnable, mêmes s'ils ne font rien, et même s'ils ne sont pas managers... Et là, je ne parle pas que des gros mastodontes type banques ou assurances... dans certains petits commerces, c'est exactement la même chose.
tout a fait, certains font du cirage de pompe et sont intouchable.
Il y a aussi des personnes que l'on ne peut pas lourder parce que cela coute trop cher en indemnité.
 
dodo1 a dit:
tout a fait, certains font du cirage de pompe et sont intouchable.
Il y a aussi des personnes que l'on ne peut pas lourder parce que cela coute trop cher en indemnité.
Même pas.
Dans mon ancienne boite, quasi-personne ne se faisait virer.

Au départ en retraite d'un de mes chefs (N+3), il nous a avoué n'avoir virer qu'une personne dans toute sa carrière: une personne qui n'est pas venue pendant plusieurs mois.
 
ZRR_pigeon a dit:
sauf que dans le privé, si tu n'es pas performant, tu te fais lourder.
et quand tu es vieux et cher, (même bon) tu te fais lourder.
et quand l'entreprise décide de faire d'autres produits, elle embauche des nouveaux et lourde les autres.

Ben oui, dodo1 l'a clairement dit dès le début de son post ("la garantie de l'emploi, l'avantage du public").:clin-oeil:

donc le privé paye plus (normalement mais au final pas systématiquement) que le privé.

Oups.:langue:

Deux erreurs en 5 lignes. Pas très performant.
Heureusement qu'on est sur le forum public. Sur le forum privé, tu te serais fait lourder.:ironie:
 
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