Crowdfunding / Dette privée immobilière - plateformes, projets et avis

djio101 a dit:
Riez pas, ils sont sérieux (ou veulent le faire croire !!) :
Ceci étant, je préfère recevoir ce type de message plutôt qu'un message annonçant que Raizers arrête son activité la semaine prochaine, à l'exemple de ce qu'a pu faire Koregraf en avril.
Là, je me dis qu'on a gagné du temps, de 6m à 1an, c'est toujours ça de pris, peut-être le temps de déboucler 1 ou 2 de mes opérations en rade....
 
Delouves a dit:
Ceci étant, je préfère recevoir ce type de message plutôt qu'un message annonçant que Raizers arrête son activité la semaine prochaine, à l'exemple de ce qu'a pu faire Koregraf en avril.
Là, je me dis qu'on a gagné du temps, de 6m à 1an, c'est toujours ça de pris, peut-être le temps de déboucler 1 ou 2 de mes opérations en rade....
Même si il y a des difficultés pour de nombreux dossiers, j’ai davantage de versements de Raizers que d’autres plateformes comme Homunity où c’est le néant qui est totalement inactif dans le recouvrement. Pour autant, Raizers nous balade sur de nombreux dossiers
 
Bv75 a dit:
La plateforme qui balance des chiffres sans faire de ratio = à la poubelle
Elles le font toute maintenant (dixit LPB, Wiseed, ...)
Des chiffres positifs en cachant au placard la réalité bancale et la santé financière sombre des plateformes derrière
 
Benji57 a dit:
Même si il y a des difficultés pour de nombreux dossiers, j’ai davantage de versements de Raizers que d’autres plateformes comme Homunity où c’est le néant qui est totalement inactif dans le recouvrement. Pour autant, Raizers nous balade sur de nombreux dossiers
Totalement d'accord. Homunity fait partie des pires plateformes en matière de communications, de suivi des projets, de réponses, d'actions, de défense des investisseurs...
 
djio101 a dit:
Totalement d'accord. Homunity fait partie des pires plateformes en matière de communications, de suivi des projets, de réponses, d'actions, de défense des investisseurs...
Comment Homunity fait pour avoir des levées de fonds et frôle actuellement 800 millions avec très peu de remboursements?
 
[Le bartholomé][LPB]

LPB va officialiser la première perte de son histoire avec ce projet. Ca ne sera pas la dernière...
le bien a été vendu aux enchères 535000e pour une levée de fonds de 1000000e +316000e du porteur de projet.

Bref, au moins, ils ne cachent pas la vérité comme les autres mais bon c'est pas terrible, surtout qu'on ne devrait pas récupérer beaucoup, entre les frais, les autres potentielles dettes.....

Nous vous revenons dans le cadre du projet Le Bartholomé (93).
L’audience d’adjudication de l’ensemble immobilier, objet du projet, s’est tenue mardi 11 mars après-midi auprès du Tribunal de Bobigny. Pour rappel, le bien a été adjugé pour un montant de 535 000 € et aucune surenchère n’est intervenue. La société ayant remporté cette enchère dispose maintenant d’un délai de 3 mois pour verser le prix de vente.
À l’issue de cette vente judiciaire, nous avons organisé un webinaire pour vous accompagner au mieux et être présent face aux enjeux rencontrés sur ce dossier.
Notre engagement à vos côtés implique de communiquer avec la même transparence les bonnes nouvelles et celles qui sont plus délicates : ce dossier constituera probablement la première perte en intérêt et capital en bientôt 6 ans d’existence et plus de 100 millions reversés. C’est par conséquent un moment important et l’occasion d’affirmer plus que jamais que nous sommes à vos côtés quoi qu’il arrive.
Aussi, nous souhaitons vous apporter tous les éléments d’informations possibles, notamment en matière fiscale.
Pour rappel, les intérêts versés sont soumis à l’impôt sur le revenu, mais après imputation des pertes en capital constatées sur ces mêmes investissements, ce qui permet de réduire l’assiette fiscale imposable et d’étaler l’impact sur plusieurs années.
Le régime fiscal prévoit que les personnes physiques peuvent imputer uniquement les pertes en capital pour les prêts participatifs consentis à compter du 1er janvier 2016.
Cette perte imputable est constituée par la différence entre le montant prêté et le montant du capital remboursé in fine. (Exemple : pour 1000 € investi et 300 € de récupéré, la perte imputable est de 700 €) Le droit à imputation est limité au montant de la perte effectivement supportée, soit 700 €.
Pour les prêts consentis à compter du 1er janvier 2017, le droit à imputation est soumis à un plafond annuel de 8.000 €.
L’imputation de la perte en capital est opérée au titre de l’année au cours de laquelle la créance devient définitivement irrécouvrable au sens de l’article 272 du Code Général des Impôts ou des 5 années suivantes.
Il est à noter que la preuve de l’irrécouvrabilité résulte, du constat de l’échec des poursuites intentées par un créancier contre son débiteur. Or, dans le dossier le Bartholomé ce n’est pas le cas dans la mesure où nous continuons les poursuites à l’encontre de la société emprunteuse dans le cadre de la liquidation.
Pour que cette perte puisse être imputée sur l’imposition, il faudra
attendre à minima le jugement de clôture de la liquidation judiciaire, ainsi que l’épuisement des voies de recours à l’encontre de la caution.
Selon toute hypothèse, l’imputation des pertes sera à réaliser sur l’année 2026.
La perte en capital supportée en cas de non-remboursement d'un prêt participatif consenti à compter du 1er janvier 2017 s'impute, indistinctement, sur le montant des intérêts générés par d'autres prêts participatifs.
Nous tenons à préciser que cette analyse ne peut en aucun remplacer les conseils d’un avocat spécialisé en droit fiscal et n’avons pas vocation à nous substituer à de tels conseils.
 
Bonsoir, avez vous tous vos projets en retard ?
100% de retard ou redressement et même en voie de liquidation me concernant et 1 annulé dès l'inscription 11 euros de perdu
 
Trackers a dit:
Bonsoir, avez vous tous vos projets en retard ?
100% de retard ou redressement et même en voie de liquidation me concernant et 1 annulé dès l'inscription 11 euros de perdu
Oui
 
Pour les prêts consentis à compter du 1er janvier 2017, le droit à imputation est soumis à un plafond annuel de 8.000 €.
L’imputation de la perte en capital est opérée au titre de l’année au cours de laquelle la créance devient définitivement irrécouvrable au sens de l’article 272 du Code Général des Impôts ou des 5 années suivantes.

Il va être content le fisc, avec l'avalanche de déductions d'impôts à venir.
L'appel aux économies des retraités pour compenser ce manque à gagner vertigineux devient inéluctable.
Regarde bien tes sous. Rien dans les mains, rien dans les poches, abracadabra, ils sont plus là !
 
Trackers a dit:
Bonsoir, avez vous tous vos projets en retard ?
100% de retard ou redressement et même en voie de liquidation me concernant et 1 annulé dès l'inscription 11 euros de perdu
6 projets en retard (dont 1 au contentieux) sur 13 en cours pour ma part.
Pas de RJ ni de LJ.
 
Raug a dit:
Il va être content le fisc, avec l'avalanche de déductions d'impôts à venir.
L'appel aux économies des retraités pour compenser ce manque à gagner vertigineux devient inéluctable.
Regarde bien tes sous. Rien dans les mains, rien dans les poches, abracadabra, ils sont plus là !
Ben pas forcément.
Comme les pertes en capital sont imputables sur les seuls intérêts, encore faut-il avoir des intérêts sur lesquels imputer...
 
gros panda a dit:
[Le bartholomé][LPB]

LPB va officialiser la première perte de son histoire avec ce projet. Ca ne sera pas la dernière...
le bien a été vendu aux enchères 535000e pour une levée de fonds de 1000000e +316000e du porteur de projet.

Bref, au moins, ils ne cachent pas la vérité comme les autres mais bon c'est pas terrible, surtout qu'on ne devrait pas récupérer beaucoup, entre les frais, les autres potentielles dettes.....

Nous vous revenons dans le cadre du projet Le Bartholomé (93).
L’audience d’adjudication de l’ensemble immobilier, objet du projet, s’est tenue mardi 11 mars après-midi auprès du Tribunal de Bobigny. Pour rappel, le bien a été adjugé pour un montant de 535 000 € et aucune surenchère n’est intervenue. La société ayant remporté cette enchère dispose maintenant d’un délai de 3 mois pour verser le prix de vente.

À l’issue de cette vente judiciaire, nous avons organisé un webinaire pour vous accompagner au mieux et être présent face aux enjeux rencontrés sur ce dossier.
Notre engagement à vos côtés implique de communiquer avec la même transparence les bonnes nouvelles et celles qui sont plus délicates : ce dossier constituera probablement la première perte en intérêt et capital en bientôt 6 ans d’existence et plus de 100 millions reversés. C’est par conséquent un moment important et l’occasion d’affirmer plus que jamais que nous sommes à vos côtés quoi qu’il arrive.

Aussi, nous souhaitons vous apporter tous les éléments d’informations possibles, notamment en matière fiscale.
Pour rappel, les intérêts versés sont soumis à l’impôt sur le revenu, mais après imputation des pertes en capital constatées sur ces mêmes investissements, ce qui permet de réduire l’assiette fiscale imposable et d’étaler l’impact sur plusieurs années.
Le régime fiscal prévoit que les personnes physiques peuvent imputer uniquement les pertes en capital pour les prêts participatifs consentis à compter du 1er janvier 2016.
Cette perte imputable est constituée par la différence entre le montant prêté et le montant du capital remboursé in fine. (Exemple : pour 1000 € investi et 300 € de récupéré, la perte imputable est de 700 €) Le droit à imputation est limité au montant de la perte effectivement supportée, soit 700 €.
Pour les prêts consentis à compter du 1er janvier 2017, le droit à imputation est soumis à un plafond annuel de 8.000 €.
L’imputation de la perte en capital est opérée au titre de l’année au cours de laquelle la créance devient définitivement irrécouvrable au sens de l’article 272 du Code Général des Impôts ou des 5 années suivantes.
Il est à noter que la preuve de l’irrécouvrabilité résulte, du constat de l’échec des poursuites intentées par un créancier contre son débiteur. Or, dans le dossier le Bartholomé ce n’est pas le cas dans la mesure où nous continuons les poursuites à l’encontre de la société emprunteuse dans le cadre de la liquidation.
Pour que cette perte puisse être imputée sur l’imposition, il faudra
attendre à minima le jugement de clôture de la liquidation judiciaire, ainsi que l’épuisement des voies de recours à l’encontre de la caution.
Selon toute hypothèse, l’imputation des pertes sera à réaliser sur l’année 2026.
La perte en capital supportée en cas de non-remboursement d'un prêt participatif consenti à compter du 1er janvier 2017 s'impute, indistinctement, sur le montant des intérêts générés par d'autres prêts participatifs.
Nous tenons à préciser que cette analyse ne peut en aucun remplacer les conseils d’un avocat spécialisé en droit fiscal et n’avons pas vocation à nous substituer à de tels conseils.
Il ne faut pas mettre en gras "au titre de l’année au cours de laquelle la créance devient définitivement irrécouvrable" mais "au titre de l’année au cours de laquelle la créance devient définitivement irrécouvrable au sens de l’article 272 du Code Général des Impôts"
 
Trackers a dit:
Bonsoir, avez vous tous vos projets en retard ?
100% de retard ou redressement et même en voie de liquidation me concernant et 1 annulé dès l'inscription 11 euros de perdu
Forcément puisqu'on a arrêté d'investir, le backlog ne peut plus qu'être en retard o_O

InvestisseurInquiet a dit:
Il ne faut pas mettre en gras "au titre de l’année au cours de laquelle la créance devient définitivement irrécouvrable" mais "au titre de l’année au cours de laquelle la créance devient définitivement irrécouvrable au sens de l’article 272 du Code Général des Impôts"
L'article 272 n'évoque que la TVA ou je n'ai pas compris ?
 
[Clubfunding] HK Group / La Riviera

Suivi de projet :
À ce jour, plusieurs actions ont été engagées pour assurer le recouvrement des sommes dues. Ci-après le récapitulatif de l’ensemble des diligences réalisées par notre département ainsi que nos avocats :
- Représentation des obligataires dans le cadre de la procédure de liquidation judiciaire :
• Déclaration de créances de la masse des obligataires auprès du liquidateur judiciaire, par l’intermédiaire de nos avocats ;
• Courriers en réponse aux courriers de contestations des créances de la masse des obligataires. En effet, le liquidateur judiciaire, aux fins de faire baisser le passif de la société, a contesté les créances des obligataires. Notre avocat suit cette procédure et représentera les intérêts des obligataires lors de l’audience qui se tiendra devant le juge-commissaire.
- Procédure judiciaire initiée à l’encontre de la caution aux fins de le voir condamner au paiement de l’ensemble des sommes dues aux obligataires. Le dossier sera plaidé par nos avocats courant du mois de juin 2025.
Nos avocats suivent activement ce dossier et nous vous tiendrons informés de toute évolution particulière et notamment de la décision obtenue dans le cadre de la procédure initiée à l'encontre de la caution.
Contestation de créance par le liquidateur judiciaire ? C'est habituel ?
 
InvestisseurInquiet a dit:
Ben pas forcément.
Comme les pertes en capital sont imputables sur les seuls intérêts, encore faut-il avoir des intérêts sur lesquels imputer...

Cela dépend du type des intérêts (2TT ou 2TR), non ?

Édition : je veux dire, même en ayant des intérêts par d’autres projets qui se terminent, ce n’est pas sur ceux-ci que les pertes sont imputables dans le cas d’intérêts déclarés en 2TR.
 
Dernière modification:
InvestisseurInquiet a dit:
Ben pas forcément.
Comme les pertes en capital sont imputables sur les seuls intérêts, encore faut-il avoir des intérêts sur lesquels imputer...

Très juste, tout est clairement et officiellement expliqué là :

RPPM - Revenus de capitaux mobiliers, gains et profits assimilés - Modalités d'imposition à l'impôt sur le revenu - Règles d'assiette - Détermination du revenu imposable - Revenus et gains de cession de créances, dépôts, cautionnements, comptes courants [lien réservé abonné]​

 
DamsD a dit:
De mon côté, tous les projets dans lesquels j'ai investi ont désormais leur espace "questions" fermé mais il est possible que cela ne soit pas le cas de tous les projets.

Ceci étant, peut-être que je me trompe dans mon analyse, mais il me semble que la fermeture de ce espace n'est un avantage pour la plateforme que lorsqu'elle veut mettre les problèmes de recouvrement de la créance sous le tapis afin de ne pas décourager les investisseurs qui viennent d'arriver. En temps normal, cet espace permet en théorie de faire de gagner du temps à tous: la plateforme n'a à répondre qu'à une seule question pour que tout le monde soit au courant, et l'investisseur a souvent simplement à parcourir cet espace au lieu de prendre le temps d'écrire un mail.

NB: bien évidemment, on a reçu un mail aujourd'hui retardant l'échéance de Limonest. Sur le site, le projet est désormais en pré-contentieux. Pourquoi ne suis-je pas surpris? :loufoque:
:biggrin: la fermeture est certainement un avantage pour eux, car ils ne répondent en faite que très rarement, et donc on des dialogue à faire sur plusieurs Q/R
 
Trackers a dit:
Bonsoir, avez vous tous vos projets en retard ?
100% de retard ou redressement et même en voie de liquidation me concernant et 1 annulé dès l'inscription 11 euros de perdu
13 restants, 13 en retard ! Champagne ! Après, ceux avec Capelli, Soremi ou Jac transactions finiront certainement en LJ, donc 20K dans les dents. Pour le reste, comme pour beaucoup d'entre-nous, ça sent très, mais vraiment très mauvais...
 
gros panda a dit:
[Le bartholomé][LPB]

LPB va officialiser la première perte de son histoire avec ce projet. Ca ne sera pas la dernière...
le bien a été vendu aux enchères 535000e pour une levée de fonds de 1000000e +316000e du porteur de projet.

Bref, au moins, ils ne cachent pas la vérité comme les autres mais bon c'est pas terrible, surtout qu'on ne devrait pas récupérer beaucoup, entre les frais, les autres potentielles dettes.....

Nous vous revenons dans le cadre du projet Le Bartholomé (93).
L’audience d’adjudication de l’ensemble immobilier, objet du projet, s’est tenue mardi 11 mars après-midi auprès du Tribunal de Bobigny. Pour rappel, le bien a été adjugé pour un montant de 535 000 € et aucune surenchère n’est intervenue. La société ayant remporté cette enchère dispose maintenant d’un délai de 3 mois pour verser le prix de vente.

À l’issue de cette vente judiciaire, nous avons organisé un webinaire pour vous accompagner au mieux et être présent face aux enjeux rencontrés sur ce dossier.
Notre engagement à vos côtés implique de communiquer avec la même transparence les bonnes nouvelles et celles qui sont plus délicates : ce dossier constituera probablement la première perte en intérêt et capital en bientôt 6 ans d’existence et plus de 100 millions reversés. C’est par conséquent un moment important et l’occasion d’affirmer plus que jamais que nous sommes à vos côtés quoi qu’il arrive.

Aussi, nous souhaitons vous apporter tous les éléments d’informations possibles, notamment en matière fiscale.
Pour rappel, les intérêts versés sont soumis à l’impôt sur le revenu, mais après imputation des pertes en capital constatées sur ces mêmes investissements, ce qui permet de réduire l’assiette fiscale imposable et d’étaler l’impact sur plusieurs années.
Le régime fiscal prévoit que les personnes physiques peuvent imputer uniquement les pertes en capital pour les prêts participatifs consentis à compter du 1er janvier 2016.
Cette perte imputable est constituée par la différence entre le montant prêté et le montant du capital remboursé in fine. (Exemple : pour 1000 € investi et 300 € de récupéré, la perte imputable est de 700 €) Le droit à imputation est limité au montant de la perte effectivement supportée, soit 700 €.
Pour les prêts consentis à compter du 1er janvier 2017, le droit à imputation est soumis à un plafond annuel de 8.000 €.
L’imputation de la perte en capital est opérée au titre de l’année au cours de laquelle la créance devient définitivement irrécouvrable au sens de l’article 272 du Code Général des Impôts ou des 5 années suivantes.
Il est à noter que la preuve de l’irrécouvrabilité résulte, du constat de l’échec des poursuites intentées par un créancier contre son débiteur. Or, dans le dossier le Bartholomé ce n’est pas le cas dans la mesure où nous continuons les poursuites à l’encontre de la société emprunteuse dans le cadre de la liquidation.
Pour que cette perte puisse être imputée sur l’imposition, il faudra
attendre à minima le jugement de clôture de la liquidation judiciaire, ainsi que l’épuisement des voies de recours à l’encontre de la caution.
Selon toute hypothèse, l’imputation des pertes sera à réaliser sur l’année 2026.
La perte en capital supportée en cas de non-remboursement d'un prêt participatif consenti à compter du 1er janvier 2017 s'impute, indistinctement, sur le montant des intérêts générés par d'autres prêts participatifs.
Nous tenons à préciser que cette analyse ne peut en aucun remplacer les conseils d’un avocat spécialisé en droit fiscal et n’avons pas vocation à nous substituer à de tels conseils.
Bonjour,
comment la perte imputable se traduit-elle fiscalement si on déclare, comme dans l'exemple 700 euros ? ce n'est pas clair pour moi. Merci de votre éclairage.
 
Trackers a dit:
Bonsoir, avez vous tous vos projets en retard ?
100% de retard ou redressement et même en voie de liquidation me concernant et 1 annulé dès l'inscription 11 euros de perdu
Oui malheureusement
 
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