Maurice63
Contributeur régulier
Pardon je parlais de ceux qui ont fait des études ..moneymoneymaker a dit:Non en général ils galèrent ou on trouvé des boulots qui payent pas vraiment
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Pardon je parlais de ceux qui ont fait des études ..moneymoneymaker a dit:Non en général ils galèrent ou on trouvé des boulots qui payent pas vraiment
Beaucoup d’activités, autrefois purement « manœuvrières » se sont fortement transformés et exigent de maitriser des outils complexes ainsi que d’intégrer des normes ( sécurité, éthique) nombreuses et évolutives.moneymoneymaker a dit:On a une vraie étude solide qui justifie concrètement le fait de faire des études en dehors de tout ce qui touche à la médecine et l'ingénierie ?
Oui moi aussiMaurice63 a dit:Pardon je parlais de ceux qui ont fait des études ..
Bac +5 dans une filière sans réel débouché je veux bien l’admettre. Ensuite avec ce niveau d’études rien ne vous empêche d’être aussi ´´patron’´ .moneymoneymaker a dit:Oui moi aussi
Des bacs +5 qui arrivent à peine à 2500€ net par mois.
Quand dans le même temps certains qui ont arrêté à 16 ans sont patrons dans le bâtiment ou d’autres avec des BTS s’en sortent mieux.
L'INSEE affirme pourtant qu'il y a une corrélation entre le revenu salarial et le niveau de diplôme.moneymoneymaker a dit:Ok pour ces exemples. Simplement dans mon entourage je constate que ceux qui ont les meilleures situations sont ceux qui ont fait le moins d'études ^^
Voir moins que 2500€ net par mois avec un bac +5... J'en connais beaucoup.moneymoneymaker a dit:Oui moi aussi
Des bacs +5 qui arrivent à peine à 2500€ net par mois.
Quand dans le même temps certains qui ont arrêté à 16 ans sont patrons dans le bâtiment ou d’autres avec des BTS s’en sortent mieux.
bac+5 c'est devenu quasiment la norme . ça ne veut rien dire tout dépend bac+5 quelle spécialité ....niklos a dit:avec un bac +5...
en 2026 je vais fêter les 50ans de mon Bac ...Buffeto a dit:bac+5 c'est devenu quasiment la norme . ça ne veut rien dire tout dépend bac+5 quelle spécialité ....
Ha, vous n’êtes donc plus un pioupiou de l’année alors ?pipiou a dit:Je fête cette année les 60 ans de mon bac Maths Elem comme on disait à l'époque . (Les Maths et la physique-Chimie représentaient 13 de coefficient sur un total de 20 ! ) . 165000 candidats pour toutes les séries , 61 % de réussite , 11.5 % de la tranche d'age est bachelière .
Direct à la corbeille alors ?pipiou a dit:Et non ! Achat de ma 1 ère action en 69 ( la majorité nécessaire était alors de 21 ans )
Je crois que vous mélangez un peu tout.Axiles a dit:Attention au vocabulaire trompeur. L'impôt est de 20%, mais la fiscalité, dans la grande majorité des cas concernés, est de 38% (CSG & co inclus). Sur ce niveau de revenus, ce sont largement des revenus venant de sociétés, via la flat tax.
Et 38%, par dessus l'impôt sur les sociétés de 25% et sans même compter tout le reste (TVA, impôts divers), ce n'est clairement pas le même tableau.
On parle désormais donc de quasi 40% pour quelques dizaines de milliers de personnes (je crois, pas vérifié) qui ont les moyens de changer de pays sans difficultés. Je suis prêt à parier que les revenus réels seront TRES loin de ce qui est attendu.
Option 1 : remplacer le système par répartition
Car sans suspense, « s’il est question de substituer le système par répartition par de la capitalisation, c’est tout bonnement idiot. Ou en tout cas impossible, souligne Florence Legros, économiste et directrice générale de l’ICN Business School. Si je vous dis qu’à partir de maintenant, vous faites une retraite par capitalisation, vous allez mettre votre argent sur un compte à votre nom. En revanche, votre grand-mère qui est à la retraite, elle, n’a plus rien ! »
Option 2 : ajouter un pilier « capitalisation » obligatoire
Une autre piste consisterait à rendre obligatoire un pilier « capitalisation », à côté de celui de la retraite de base et de la complémentaire donc, comme l’ont fait de nombreux pays, à l’image de la Suède. Mais là encore, la faisabilité interroge, notamment concernant le financement.
« Substituer des cotisations voudrait donc dire diminuer les ressources actuelles du régime par répartition [dont on déplore déjà le déficit, ndlr] et baisser le revenu des retraités, indique Patrick Aubert. C’est mathématique : si on enlève 20 % à 25 % des ressources actuelles pour de la capitalisation, ça veut dire qu’il faut baisser de 20 à 25 % le niveau moyen de pensions des retraités actuels. »
Option 3 : inciter davantage
La dernière option que pourrait défendre le Medef consisterait à encourager davantage les individus à « capitaliser », avec des incitations fiscales. Cela signifie que des personnes acceptent que des fonds de pension gèrent leur capital, avec les risques de marché afférents.
« En Australie, lors de la crise de 2008, les retraités ont vu fondre leur capital retraite. Et un certain nombre d’entre eux ont dû reculer l’âge de départ à la retraite, parce qu’ils n’avaient plus assez », rappelle Elvire Guillaud, maître de conférences en économie à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
« On se retrouve face à une "dualisation de la protection sociale", c’est-à-dire que les taux de remplacement baissent avec la protection sociale de base, et cette baisse n’est compensée que pour ceux qui étaient déjà gagnants : les plus riches, qui décident d’épargner et ceux qui sont dans les "bonnes boîtes" », avertit Bruno Palier.
Je connais un artisan peintre qui a largement dépassé les 70 ans et qui travaille encore.Al56 a dit:Les diplômes te permettent en théorie d'accéder à des emplois moins pénibles donc ça se discute...
Il ne me semble pas qu'@Axiles mélange un peu tout.agra07 a dit:Je crois que vous mélangez un peu tout.
Si je prends l'exemple d'un président de SASU que je connais: en tant que personne physique il se verse un salaire qu'il a choisi en fonction de la capacité financière de sa société et de ses besoins personnels.
Sur ce salaire, qui est une charge pour sa societe, il paie des cotisations sociales et l'impôt sur les revenus des personnes physiques.
S'il souhaite augmenter ses revenus une année il peut soit se verser des primes salariales soit des dividendes. Ces derniers seront alors imposés à la flat-tax.
Quant à sa société, en tant que personne morale elle est imposée à 25% sur les bénéfices si tant est qu'il en reste.
Dans ce schéma, bien évidemment, on voit qu'entre le chiffre d'affaire de la SASU et le revenu net de son président, l'état se sert à tous les niveaux.
Mais c'est un autre débat.
Je voulais dire qu'au moment de partir à la retraite on se pose toutes sortes de question plus ou moins existentielles (que vais je faire de tout ce temps libre?, est ce que mes futurs revenus (connus avec une assez bonne précision) seront suffisants? ne devrais-je pas travailler encore un an ou deux?......etc) MAIS on ne se demande pas à quel âge on a commencé à travailler; en tout cas ce n'est pas un critère décisionnel.darkmilou a dit:Avec l'appli mon compte retraite ça te donne pas un petit récapitulatif ?
Petit hors sujet : tu est de l'Ardèche ?
Vous confondez chiffre d'affaire et bénéfice.jabsol a dit:Il ne me semble pas qu'@Axiles mélange un peu tout.
Vous dites que le présVousident de sasu peut soit se payer un supplément de salaire avec des primes ou des dividendes, ce qui est tout à fait exact.
Toutefois le montant des dividendes ne sera connu qu'une fois les bénéfices de l'entreprise connus et les impots de 25% prélevés.
Tout dividende est donc un revenu potentiel qui a donc déjà subit au préalable une ponction de 25% de l'état, et ensuite il y a la flat taxe.
Si l'entreprise était basée aux bahamas et le président de société aussi, ca serait 0% et 0%!