synthèse SCI/SCPI en AV

Richard 1er a dit:
@sbene t'a répondu avant moi. Moi, je ne sais pas. Trop peur de te dire encore une ineptie que j'aurais eu ensuite à rattraper. Ce genre d'émotion n'est plus de mon âge. :biggrin:
Merci @Richard 1er, c'est très subjectif...on à l'âge que l'on veut bien se donner, c'est à dire vieux en raisonnement à 30 ans, et jeune en allant à plus de soixante-dix ans...je dit ça..je ne dit rien..😄😄
 
sbene a dit:
Ils devraient (logiquement ?) la communiquer en même temps que l'annonce de la baisse de Primopierre et Patrimmo Croissance...
@sbene De grâce laissez-nous y croire encore un peu !! Si couperet il y a..nous aurons tout le temps de pleurer nos pertes !!!😅😅
 
lariflette1976 a dit:
Merci @Richard 1er, c'est très subjectif...on à l'âge que l'on veut bien se donner, c'est à dire vieux en raisonnement à 30 ans, et jeune en allant à plus de soixante-dix ans...je dit ça..je ne dit rien..😄😄
L'ami @Richard 1er est un homme grand par l'âge puisque c'est lui qui le dit, mais encore plus grand par le cœur pour ceux qui le connaissent....
 
Ah en voilà du beau phrasé...et bien c'est tout à son honneur...mes respects du jour à @
 
@Richard 1er ......
 
sbene a dit:
Ils devraient (logiquement ?) la communiquer en même temps que l'annonce de la baisse de Primopierre et Patrimmo Croissance...
Merci @sbene, je pense que cette question est naturellement sur toutes les lèvres en regard des obligations fixées par l'AMF pour les SCPI cette année (si j'ai bien compris)
 
Pour Primopierre et Croissance, je pense que l'affaire est entendue

Pour Primovie, j'espère que ça tiendra au moins jusqu'à la prochaine campagne de valorisation...
 
D-Jack a dit:
Plafonné à 30K par contrat, ce qui laisse de la marge tout de même
...Je me réponds à moi même à propos de "Silver Avenir" ... c'est aussi l'opportunité de faire coup double et de profiter de l'opération "Bonus" sur le fonds € "Opportunités" du contrat Linxea Avenir (ou sur d'autres contrats ?):
50% du versement sur "Opportunités" + 30% sur Silver Avenir ... il ne reste que 20% à dispatcher..
un peu sur un ETF World ?, un peu le fond structuré "Exigence 19" (avant le 26 Septembre), ou sur d'autres le choix est large :unsure:
 
sbene a dit:
Pour Primopierre et Croissance, je pense que l'affaire est entendue

Pour Primovie, j'espère que ça tiendra au moins jusqu'à la prochaine campagne de valorisation...
Faute ! Ha là je vous tiens : ne confondez pas Patrimmo Commerce et Patrimmo Croissance, cher Môssieur.

Bon, je blague. Mais comme quoi toi le monde peut avoir un moment de distraction.
 
En espérant ne pas avoir ce genre de moment de distraction au moment de vendre les "mauvaises" SCPI ! :eek: :ROFLMAO:
 
Moi j’ai mis les 20% sur territoires avenir
 
Bon pour le coup, mes plans d'investissement sont contrarié...mise en place de la posture "wait and see"..décantation du marché de l'immobilier à venir..qui vivra..verra..et par extension saura..🙄😶
 
[lien réservé abonné] du macro-économiques à ce propos..
 
lariflette1976 a dit:
Bon pour le coup, mes plans d'investissement sont contrarié...mise en place de la posture "wait and see"..décantation du marché de l'immobilier à venir..qui vivra..verra..et par extension saura..🙄😶
Comme @lariflette1976 est un spécialiste du verbe (sur une autre file), j'en profite :

Le monde des SCPI est difficile à conjuguer, ...."son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif et son futur toujours conditionnel" - Jean Cocteau.

@Richard 1er , tu nous fais une transformation de Cabaret avec ton avatar ?
 
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lariflette1976 a dit:
[lien réservé abonné] du macro-économiques à ce propos..
l'article des Echos du 6 Sept -

Immobilier : une crise mondiale aux multiples visages

Partout de la France aux Etats-Unis en passant par l'Allemagne, la Chine ou le Royaume-Uni, la remontée des taux d'intérêt d'emprunt immobilier ou les secousses économiques produisent des effets sur le marché du logement. Avec tout de même des spécificités locales.

Les évolutions économiques récentes - inflation et hausse des taux d'intérêt d'emprunt qui pèsent sur le pouvoir d'achat immobilier des ménages - mettent le marché de l'immobilier résidentiel sous pression aux quatre coins de la planète. Et si la crise s'avère plus ou moins violente selon les contextes locaux, elle est bel et bien étendue à de nombreux pays du monde.

En Europe, le marché s'est fissuré, avec des ventes qui dégringolent. Des baisses de prix sont observées un peu partout, en particulier en Europe du Nord où elles oscillent entre 6 % et 10 % sur un an - tandis que pour l'heure, les prix résistent encore en Italie et en Espagne.

Aggravation de problèmes anciens

Mais là où les prix - qui avaient souvent beaucoup augmenté après l'épidémie de Covid - ont entamé leur décrue, « cette baisse ne compense pas la hausse des taux d'intérêt. Donc beaucoup de gens ne peuvent plus acheter. Ils se reportent sur le marché de la location, ce qui crée de fortes tensions », souligne Christophe André, économiste à l'OCDE, l'Organisation de coopération et de développement économiques. Tandis que l'offre de logement social reste souvent insuffisante pour amortir le choc pour les plus modestes.

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En fait, « la hausse des taux aggrave une crise du logement qui était déjà là », poursuit le spécialiste. Il souligne qu'auparavant déjà, 10 % des ménages dans l'Union européenne dépensaient plus de 40 % de leurs revenus pour se loger. Et qu'à l'exception de la Finlande, tous les pays du Vieux Continent ont vu le nombre de sans-abri augmenter ces dernières années.

Dans cette Europe où les difficultés sont grandissantes pour se loger, le Royaume-Uni se distingue par une situation encore plus difficile. Outre-Manche, « l'offre de logements n'a pas du tout suivi la demande. On n'a pas assez construit. Des ceintures vertes ont été instaurées autour des villes qui empêchent de les étendre. Les prix de l'immobilier sont très élevés et très volatils », poursuit Christophe André.

Effet plus ou moins brutal

Le pays a aussi subi une inflation plus brutale [lien réservé abonné] . Et là-bas, les taux d'intérêt ont dépassé les 6 % (à comparer à un peu plus de 4 % en moyenne dans la zone euro). Ils sont en outre variables pour un quart des emprunteurs. Leur hausse affecte non seulement les nouveaux acquéreurs, mais aussi les ménages déjà détenteurs d'un crédit. Les ventes de logements devraient retomber à leur plus bas niveau depuis 2012.

De ce point de vue, la France - où les taux sont fixes et ont été contenus en dessous de 3,5 % - est plus protégée. Mais à fin août, la chute de la production de crédits y atteignait tout de même 43 % sur un an [lien réservé abonné] . De quoi peser fortement sur les ventes de logements. Ce qui fragilise les agences immobilières et les mandataires indépendants.

En outre, note Henry Buzy-Cazaux, président de l'Institut du management des services immobiliers (Imsi), « l'inflation générale, en ce qu'elle éprouve les finances des ménages, et l'inflation des taux ont fait apparaître la cherté des logements français par rapport aux logements allemands, par exemple ». Même si l'Allemagne a aussi subi ces dernières années d'importantes hausses de prix.

Défaillances de promoteurs

Si les corrections sont plus lentes en Italie ou en Espagne, c'est que « les pays d'Europe du Sud avaient beaucoup souffert de la crise de 2008 et que les prix de l'immobilier y étaient moins élevés », note l'économiste de l'OCDE. La hausse des taux y produit là aussi ses effets, mais ils ne sont pas de la même ampleur.

Du côté du logement neuf, la hausse du coût des matières premières a mis à mal l'équilibre financier des promoteurs européens. Qui doivent aussi intégrer des normes environnementales de construction coûteuses. Les promoteurs ont également vu, comme les agences immobilières, la demande des clients se rétracter sous le coup du renchérissement du crédit.

Les défaillances de promoteurs commencent à se multiplier. En France - même si les poids lourds du secteur résistent pour le moment - et plus encore en Allemagne. Derrière, la filière du BTP retient son souffle. Et outre-Rhin comme dans l'Hexagone, le nombre de permis de construire accordés pour les logements est en chute libre. Alors même que le besoin ne fait que s'accroître, du fait de la hausse du nombre de ménages [lien réservé abonné] , entre vieillissement de la population et augmentation du nombre de divorces.

La Chine, un cas à part

Plus loin de nous, les Etats-Unis ont été frappés plus tôt par la hausse des taux, qui ont même dépassé les 7 % cet été [lien réservé abonné] , soit le niveau le plus élevé depuis plus de vingt ans. Cela a grippé le marché, les ménages rechignant à vendre pour racheter, au risque de contracter un prêt extrêmement onéreux. Mais le marché s'est adapté et le stock de logements à céder étant faible, les prix ont commencé à remonter malgré un volume de vente qui reste bas.

Et aux Etats-Unis, « on a moins qu'en Europe ce problème d'offre de long terme. Hormis dans certaines villes déjà très denses, on peut construire », note Christophe André. Rien à voir avec le cas de la France qui poursuit désormais l'objectif ZAN [lien réservé abonné] , pour « zéro artificialisation nette » des sols.

Le cas de la Chine - où la crise s'est déclarée plus tôt pour des raisons différentes - est à part. Les mesures prises depuis 2020 par le gouvernement pour limiter l'endettement des promoteurs ont entraîné une vague de faillites, à commencer par celle d'Evergrande [lien réservé abonné] il y a deux ans. La fin de la politique « zéro Covid » n'a pas relancé l'activité.
 
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Richard 1er a dit:
Bonjour,

Je ne pense pas que vous ayez du souci à vous faire pour Primovie. Il faut arrêter avec cette sinistrose ambiante qui a tendance à nous gagner toutes et tous. Primovie et le secteur Santé se portent plutôt bien, toutes proportions gardées.

Un TD de 4.5% en 2022, ce n'est évidemment pas la lune, mais il y a pire, n'est-ce pas ?
J'en possède pas mal aussi depuis 2017, même après m'en être partiellement délesté au profit de Pierval Santé début décembre 2022, juste avant (coup de bol ! :giggle:) sa réévaluation du 31 décembre 2022.

La revalorisation à la baisse de Primovie me paraît hautement improbable (du moins cette année), Primonial ayant suffisamment de chats à fouetter avec Patrimmo Commerce et Primopierre, qui paraissent encore plus surcotées au 31/12/2022 que Primovie. On constate des surcotes au 31/12/22 de respectivement -8.69% pour Patrimmo Commerce et -2.08% pour Primopierre, contre -1.24% pour Primovie, mais aussi des TOF respectifs de 90.1 %, pour Patrimmo Commerce et 87.6% pour Primopierre, à comparer avec celui bien meilleur de Primovie avec 97.6%.

Mais il faut surtout se dire que (sans mauvais jeu de mots), la Santé se porte bien mieux que les bureaux ou le commerce de centre-ville depuis la Covid. Un comble !!
J’espère que vous avez raison. Cela dit, les cliniques privées, qui avaient pour certaines des rendements à deux chiffres il y a encore qq années, ont vu leurs profits baisser ++ Augmentation des salaires et des charges, diminution des financements sécu ( qui ne font commencer). Par ailleurs la médecine est devenue majoritairement ambulatoire surtout dans le privé et les hospitalisations sont réduites au minimum ( et pas uniquement pour des raisons financières mais d’abord de qualité et sécurité des soins). Et je pense que, comme toute entreprise, c’est l'immobilier qui sera sacrifié en premier, d’autant qu’il n’y a pas de marge ailleurs.
 
Moneypenny75 a dit:
J’espère que vous avez raison. Cela dit, les cliniques privées, qui avaient pour certaines des rendements à deux chiffres il y a encore qq années, ont vu leurs profits baisser ++ Augmentation des salaires et des charges, diminution des financements sécu ( qui ne font commencer). Par ailleurs la médecine est devenue majoritairement ambulatoire surtout dans le privé et les hospitalisations sont réduites au minimum ( et pas uniquement pour des raisons financières mais d’abord de qualité et sécurité des soins). Et je pense que, comme toute entreprise, c’est l'immobilier qui sera sacrifié en premier, d’autant qu’il n’y a pas de marge ailleurs.
Revenons en aux faits.
Les cliniques privées sont plutôt l'apanage d'Icade Santé, que Primonial a par ailleurs racheté à la Caisse des Dépôts, avec la promesse de rendements de 6 à 6.5% pour 2023 et 2024 [La détermination du prix à payer par Primonial contenait cette clause] Et je vous ferai remarquer que même de plus en plus ambulatoire, la médecine se pratique encore dans de beaux locaux qu'il faut équiper. Pas sous une tente de campagne.

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Avant de vous angoisser comme vous le faites, je vous suggère de mieux vous renseigner.
 
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Je les garde de toute façon.
 
Moneypenny75 a dit:
Je les garde de toute façon.
Ha ! Content d'avoir pu vous convaincre .. Moi aussi je garde mes parts, conforté par le Bulletin Trimestriel d'Information du 2ème trimestre, que je communique à nouveau pour ceux qui ne l'auraient pas vu :

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Richard 1er a dit:
Revenons en aux faits.
Les cliniques privées sont plutôt l'apanage d'Icade Santé, que Primonial a par ailleurs racheté à la Caisse des Dépôts, avec la promesse de rendements de 6 à 6.5% pour 2023 et 2024 [La détermination du prix à payer par Primonial contenait cette clause] Et je vous ferai remarquer que même de plus en plus ambulatoire, la médecine se pratique encore dans de beaux locaux qu'il faut équiper. Pas sous une tente de campagne.

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Avant de vous angoisser comme vous le faites, je vous suggère de mieux vous renseigner.
Je ne suis pas fan des thématiques (en revanche les géographiques, oui). L'immobilier thématique, c'est pratique à vendre commercialement. Mais être à la mode, c’est le meilleur moyen d’être démodé un jour.

C’est aussi le meilleur moyen d’acheter trop cher : la logistique pendant le covid. Or, la logistique se prend un petit gadin sur les valorisations, montées bien trop haut avant 2022. Par effet de mode ? Je le pense.

Pour la santé, ne pas oublier qu’on n’achète pas l’exploitation de l’établissement (normal), on achète du béton sur un terrain, et un bail. Et qui plus est, un immeuble assez monovalent.
C’est pour cela qu’acheter 2x plus cher le m² de santé que le logement voisin comme on l’observe sur des transactions récentes en province, c’est s’exposer à un risque ultime : que l’exploitant se fasse construire pas loin la clinique "up to date", car c’est lui qui a les autorisations d’exploitation. Et vous, vous retrouvez avec un truc inutilisable, à raser et dont le prix de revient est sensiblement supérieur aux immeubles voisin. Et quand bien même l’exploitant n’aurait pas l’idée de construire ailleurs (parce que c’est vrai que ça peut couter cher), il va, comme pour le LMNP hôtelier, faire un chantage au départ, car ils connaissent ce rapport de force. Vous faites quoi ? Vous acceptez le recalage.

Une foncière immo, il achète avant tout du foncier et un actif. Quand on fait trop pari sur son usage, quand on croit qu’on capture la valeur créée par son usage, je pense qu’on se trompe. Sinon, on fait comme les US, qui ont des fonds de private equity : les murs ET l’exploitation.

Prêt à en débattre !
 
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