Stratégie PEA - CTO Mon-Professeur

Bonsoir, la plupart de ces titres sont dans mon PF. Je publie dans chaque point les dix premières pondérations, mais vous lisez souvent le nombre total de ligne (environ 20 en ce moment).
 
Une belle séance aujourd'hui. Performance PEA remonte à -8,6%.
Renfort BX4 pour atteindre 8500 titres. Mon pari est que l'euphorie est excessive et le rallye vient d'avoir lieu (+12% sur CAC) et qu'une respiration devrait avoir lieu, il faudrait viser 7400 à ce stade. Le marché price une baisse rapide des taux, mais un hiatus avec le rythme réel devrait arriver à mon sens. Tout en conservant la tendance haussière de fond. Le reste de mon PF est long bien entendu, ce qui fait que je continue de bénéficier de la hausse (jolis rattrapages sur Valeo, RCO, Pernod, Kering, TEP, mes principales lignes comme vous le savez).
 
Et si par hasard les perspectives de la FEDet de la BCE étant très favorable, les investisseurs vont remettre le pied à l'étrier, et si les indices Flambent ça va être compliqué pour le BX4....
EEn tout cas pour ma part, je vois plutôt les choses positivement, et si les taux baissent, les valeurs de croissance vont reprendre, les investisseurs vont retrouver la confiance, et ça peut monter pourquoi pas assez haut.
Tout ça pour dire, que pour moi le BX4 est quand même très compliqué à gérer.
 
"Et si par hasard les perspectives de la FEDet de la BCE étant très favorable, les investisseurs vont remettre le pied à l'étrier, et si les indices Flambent ça va être compliqué pour le BX4...."
A mon sens, tout cela ce sont les trois dernières semaines ! Car le marché anticipe !
 
Je vous joins une analyse qui m'avait intéressé récemment dans cette optique :

"Si l’inflation n’est pas cassée, alors il ne faut pas s’attendre à un repli des taux dans les prochains mois. Il faut sérieusement considérer cette hypothèse pour la zone euro. Un simple regard sur l’inflation générale semble pourtant la balayer d’emblée. En un an environ, la hausse des prix est tombée d’un pic à 10,6% à 2,4% en novembre dernier, soit un niveau proche de la cible de la BCE. Ce reflux s’explique cependant largement par la désinflation alimentaire et encore plus par la déflation côté énergie.

Pour sa part, la hausse des prix hors énergie et aliments transformés, c’est-à-dire l’inflation fondamentale ou sous-jacente, a beaucoup moins fléchi. Elle demeure au-dessus du plafond autorisé par l’institution de Francfort et surplombe d'environ 2 points l’inflation totale. Or, l’étude sur les 20 dernières années du cycle des prix en Europe révèle une même séquence. Elle se déroule en trois actes :

• Le premier, la flambée des cours des matières premières, plus particulièrement de l’énergie et de l’alimentaire, provoque un choc inflationniste. L’inflation générale passe alors au-dessus de l’inflation hors énergie et aliments non-transformés. Ce schéma s’est répété à quatre reprises ces 20 dernières années. Chaque envolée des matières premières a ainsi tiré la hausse générale des prix au-dessus de l’inflation sous-jacente.
• Le deuxième acte, c’est celui du reflux des prix de l’énergie et de l’alimentation qui pousse cette fois-ci l’inflation totale en dessous de l’inflation sous-jacente. Cette deuxième phase s’est également reproduite quatre fois depuis le milieu des années 2000.
• Mais c’est un effet de base transitoire. Une fois disparu, l’inflation totale remonte au niveau de l’inflation fondamentale. Ce troisième acte se joue ou va bientôt se jouer pour la zone euro. C’est donc l’inflation sous-jacente qui donne actuellement la bonne température de la hausse des prix, et elle est plus proche de 4% que de 2% et restera élevée l’année prochaine. En cause, la hausse persistante des salaires à un niveau élevé. Quant à leur décélération en 2024, elle sera minime car le marché du travail reste tendu : les difficultés de recrutements sont moins pressantes mais toujours importantes ; malgré son repli, le taux d’emplois vacants demeure proche de ses sommets et au-dessus de sa moyenne de long terme ; enfin, le taux de chômage se situe à son plus bas historique. Il faudra donc du temps avant que le marché du travail se soit suffisamment retourné pour inverser le rapport de force entre salariés et employeurs.

La productivité est également à intégrer dans l’équation. Aucun signe de redressement ne se dessine, or son amélioration est une condition essentielle à l’expansion non-inflationniste d’une économie. Sa trajectoire pour 2024 reste très incertaine. D’un côté, certains facteurs conjoncturels baissiers vont perdre de leur intensité. Il s’agit pêle-mêle de la fin du maintien en activité de sociétés sous-productives avec la cessation des mesures de soutien héritées de la période Covid, une moindre rétention de la main d’œuvre au sein des entreprises liée aux craintes de ne pas pouvoir embaucher ultérieurement et enfin l’arrêt probable de la baisse de la durée du temps de travail. Cependant, des facteurs structurels subsistent et pèsent : vieillissement accéléré de la population active, engagement moindre des nouveaux employés, insuffisance des investissements dans les nouvelles technologies et la R&D ; modification de la structure de l’emploi au profit d’emplois peu qualifiés, peu productifs. La remontée de la productivité n’est donc pas assurée. Au mieux, elle sera faible.

Hausse des salaires et fléchissement de la productivité, ce cocktail rejaillit directement sur le coût salarial unitaire. La hausse des coûts salariaux par unité de valeur ajoutée produite pénalise et pénalisera les entreprises. Avec un double effet : une compression de leurs marges et de fortes pressions pour augmenter leurs tarifs.

Il faut donc s’attendre à un léger rebond technique de l’inflation au début de 2024, et surtout à une résistance de cette dernière au-dessus de sa cible. Dans ce cas, la baisse des taux d’intérêt, ce n’est pas pour demain."


Lien complet :
[lien réservé abonné]


Autre analyse qui va dans le même sens et répond à votre position sur les valeurs de croissance @polo88

"Alors pourquoi pas les valeurs de croissance me direz-vous si la FED est conciliante ?
Après tout, quand l’argent coute moins cher demain, les profits futurs sont mieux valorisés ?
Tout simplement car contrairement aux apparences Powell et la FED même en baissant les taux ne sont pas dovish.

Vous voyez, il semble ne plus faire de doutes pour personne que l’inflation va revenir autour des 2% voire qu’on reparlera déflation. Que l’économie US tout du moins évitera la récession avec 1% de croissance. Et que les taux vont baisser donc de 0,75% soit revenir allez on arrondis à 4%.
Voyez-vous, même revenir à 4% de taux quand vous avez une inflation à 2%, pour moi c’est toujours une politique contraignante. Il faudrait que l’inflation soit au-dessus des taux ou les taux en dessous de l’inflation c’est comme vous voulez. Mais pas au-dessus. la courbe reste inversée surtout si la croissance reste certes positive mais faible.
"

A suivre !
 
Merci pour ce partage.
A suivre comme vous dites..
Personne ne connaît l'avenir
 
Par pur plaisir je vous joins le graphique du BX4 :

Screenshot 2023-12-14 at 15-44-05 Amundi CAC 40 Daily (-2x) Inverse UCITS ETF Acc - EUR Cours ...png
Le BX4 a perdu 21% en un mois. Il est clairement en survente au contraire du CAC qui lui est en surachat forcené (RSI à 78 ce qu'on n'a pas vu depuis... novembre 2021 !).

Je vous rejoins sur la difficulté de ce type de produit, ceci étant j'essaye d'expliciter ma stratégie pour que l'on comprenne pourquoi j'en fais ma première ligne de portefeuille en ce moment, et dans quelle visée : une consolidation, dans une tendance de fond qui reste haussière !
Et à 25% BX4, j'ai quand même 75% du PF qui bénéficie de la hausse, donc bien comprendre que je ne suis pas baissier pour autant !

A bientôt,
 
Comme vous j'ai du bx4 (1600 titres) acquis quand le CAC était à 7400. J'ai déjà une petite moins value mais je ne compte pas renforcer. Je ne sais pas si l'euphorie va continuer ou pas, mais je liquiderai ma ligne dès que possible. Par principe je préfère ne pas garder longtemps tout ce qui est "produit à levier".
Qui sait le CAC va peut être atteindre les 8000 points...?

Édit: je viens de voir après coup votre post ci dessus. Merci pour le graphique
 
J'ai renforcé le BX4 pour arriver à 7600 titres avec prix de revient 0.831 euro et la vérité est que je ne sais pas si me donner un objectif de cours ou de temps pour m'en débarrasser.

On va à devenir schizophréniques. D'un coté on achète le BX4 et d'un autre on prend Air Liquide le même jour. o_O
 
Bravo @sorcier pour votre PRU sur le BX4. Sans aucun doute il vous sera utile, et en plus c'est une belle ligne. A conserver au chaud, car c'est quand c'est l'euphorie qu'il est intéressant de préparer la baisse !
Bien sûr cet avis n'engage que moi (8750 titres BX4).
Merci @nelson_a pour votre retour également.
 
Bonsoir à tous,

Un petit point de fin de semaine.
Le marché est calme, Noël approche.
Je vous souhaite à tous, lecteurs déclarés ou restés dans l'ombre, bonheur et prospérité familiale. Que la Fête de la Paix qu'est Noël puisse vous rappeler à l'essentiel, la compassion !
 
PEA :

La performance remonte légèrement, à -7,6%. Ces dernières séances ont enchaîné les petites remontées.
Je suis toujours dans une optique de biais haussier, avec en ligne de mire une consolidation. Toujours pleinement investi, avec une grosse part BX4. Cette semaine j'ai renforcé le BX4, allégé RCO et Pernod qui ont bien remonté ainsi que TEP, globalement peu de mouvements. J'ai aussi pris un petit peu de LVC au cas où on aurait une poursuite du rallye... Mais globalement je suis plutôt équilibré. Nexity a bien remonté et figure désormais au top 10.

Voici la composition mise à jour (top 12) :
BX4 - 28,7 % :star:
AIR LIQUIDE - 12,7 %
LVMH - 7,9 %
TELEPERFORMANCE - 6,7 %
:rose_fane:
REMY COINTREAU - 4,9 % :rose_fane:
PERNOD - 4,6 % :rose_fane:
AIRBUS - 4 %
ENGIE - 3,5 %
LVC - 3,4 % :star:
RUBIS - 3,3 %
VALEO - 3,2 %
NEXITY - 3,1 % :star:


Je vous ferai le point de fin d'année d'ici début janvier !
A suivre,
 
Bonne fête de la Paix à vous également @Mon-Professeur
🙏🎄
 
Bilan de l'année 2023

Quelle année !
Si sur le plan professionnel elle aura été aussi dure que passionnante, elle a été sur le plan boursier médiocre pour moi, malgré de très belles opportunités et une puissance haussière.
En effet, l'année s'achève sur une performance de -6,8%. Elle aura permis tout de même de voir le versement de 10 000,00 EUR. Sur 2023, nous avons encaissé très exactement 1 052,03 EUR de dividendes. Le rendement des versements est donc de +3,51% sur l'année. Il faut compter que la plupart des versements sont arrivés en fin d'année, après le gros des dividendes. En réalité, on est au-dessus des +4% de rendement net. A noter également que le plus gros coupon a été reçu de Bouygues avec 126,00 EUR.
Voici le graphique de l'année écoulée (attention janvier et février sont ajoutés, peut-être que la valorisation aura varié d'ici-là.
1703885336499.png

La performance du PEA depuis l'ouverture début 2021 se situe ainsi à -7,8%. Avec donc un total de 30 000,00 EUR versés depuis l'ouverture et une valorisation avoisinant 27 700,00 EUR.

Les raisons de cet échec de 2023 sont claires : une déviation de la stratégie pour des raisons psychologiques principalement, de mauvais arbitrages dus aux appels de marge.
Le gros de la perte a eu lieu sur la baisse de trois valeurs qui m'ont coûté environ 4 000,00 EUR de baisse.
- Worldline, que j'avais accumulée avant la forte baisse et que j'ai soldée en forte perte.
- Voltalia, dont je suis sorti avec forte moins-value avant le rebond, pour besoin de liquidités
- Enfin, TEP. J'ai accumulé fortement cette valeur, démarrant des achats vers 150. J'ai finalement réussi à faire baisser le PRU, qui a été descendu à 129. Aujourd'hui, je serais à l'équilibre. Mais j'ai été obligé de saborder la position, beaucoup trop déséquilibrée. Dans la baisse. Avec notamment des ventes sous 100... Une moins value de plus de 2 500,00 EUR rien que sur cette ligne. Or je le disais, si on relit les points précédents, il faut hold car le rebond serait puissant (et il l'a été). Malheureusement je n'ai pas tenu la pression psychologique et j'ai dû liquider pour me sauver d'une éventuelle capitulation qui aurait été pire encore.

J'en retiens tout de même beaucoup de positif.

1) La meilleure connaissance du marché, de la macro-économie (que j'ai par ailleurs démarré d'enseigner en grande école cette année), des mécanismes économiques.

2) Un travail sur l'anticipation, qui met du temps à être intégré.

3) Plus de familiarité avec les excès haussiers comme baissiers.

4) Une analyse graphique plus pointue et qui fonctionne un petit peu mieux.

5) Une capacité à gérer 30k, ce qui est le triple de ce que je gérais début 2022. Ce n'est pas un gros portefeuille, mais je suis content d'avoir atteint ce palier. Je trouve cela très positif de verser peu à peu et de s'habituer graduellement. Je pense que cet apprentissage est nécessaire. De plus, les lignes sont ainsi plus solides au fur et à mesure.

6) Bon suivi du cœur de la stratégie : stock-picking autour de quelques lignes fortes (cf. top 10 du portefeuille publié à chaque point), avec un début de DCA sur ETF Japon cette année. Stratégie avec valeurs de croissance françaises exclusivement à ce stade, de nouvelles lignes (j'ai enfin pris LVMH que je n'avais pas eue, je suis resté sur Kering). Fidélisation chez Air Liquide également à noter. Et suivi de la stratégie initiale sur le rendement des dividendes. Enfin, j'ai pu diversifier en termes sectoriels.

7) Une vision plus ESG, car je considère que je n'ai aucune envie que mes profits potentiels proviennent de ce contre quoi je lutte à titre personnel. Donc rien en pétrole, rien en business douteux (Orpea, S30...), rien sur les Etats-Unis qui nous cyborgisent, que des valeurs qui à mon sens sont assez saines ou peuvent le devenir plus. D'où l'intérêt très fort du stock-picking pour moi, pour ce paramètre éthique.

8) Faire moins de mouvements, hold plus sereinement.

9) Un travail sur l'indice avec BX4 et LVC qui a été fructueux (notamment le krach SVB de début d'année où le portefeuille était plus de moitié BX4). Néanmoins, cela est perfectible et largement.

Voilà, il y a beaucoup de choses à améliorer et je sous-performe largement le marché, mais je crois que l'apprentissage lui donnera sa valeur long terme à cette stratégie pensée sur plus de dix ans. Une troisième année qui laissera place donc à la quatrième année de ce PEA. Objectifs ? Constance et riguer !
 
Bilan des trois premières années de la stratégie (2021-2022-2023)
Versements 2021 : 10 000,00 EUR. Performance 2021 : +3,0%
Versements 2022 : 10 000,00 EUR. Performance 2022 : -2,9%
Versements 2023 : 10 000,00 EUR. Performance 2023 : -6,8%
Performance depuis la création de la stratégie : -7,8%.
Voici le graphique des trois dernières années écoulées (attention janvier, février, mars et avril sont ajoutés, peut-être que la valorisation aura varié d'ici-là).
1703886105793.png

Voyons les dividendes à présent.
L'évolution est satisfaisante. Je vise un rendement entre +4% et +5%.
2024 : je vise 1 500,00 EUR de dividendes.

1703886231603.png
1703886254502.png

La stratégie n'est pas optimale. Nous verrons l'année prochaine ce qu'il en sera.
En tout cas, vous serez informés ici si cela plaît à Dieu !

Bonne fin d'année, portez-vous bien !
 
Bonsoir,
Merci pour la partage.

Juste une remarque sur le point numéro 7 de votre réflexion :
Mon-Professeur a dit:
7) Une vision plus ESG, car je considère que je n'ai aucune envie que mes profits potentiels proviennent de ce contre quoi je lutte à titre personnel. Donc rien en pétrole, rien en business douteux (Orpea, S30...), rien sur les Etats-Unis qui nous cyborgisent, que des valeurs qui à mon sens sont assez saines ou peuvent le devenir plus. D'où l'intérêt très fort du stock-picking pour moi, pour ce paramètre éthique.
Pourquoi pas avoir des critère "ESG", qui pour moi ne veulent pas dire grand chose soit dit en passant, mais admettons que vous ayez des critères de choix "responsables" dans vos investissements pourquoi ignorer les États-Unis dans leur ensemble ?

A titre d'exemples; le Cac 40 a gagné 16,5% en 2023 quand l'indice S&P 500 termine l'année avec un gain de près de 24 % !

Certes le SP500 a été, en grande partie, tractée par quelques grosses cap mais tout de même, c'est dommage de ne pas s’intéresser au plus grand marché mondial.
Il y a l'embarras du choix en termes d'investissements "ESG" ou non.
 
2024 commence avec la consolidation tant méritée.

@nelson_a @sorcier : alors, ce BX4, il couvre bien la baisse ?
De mon côté je ne regrette pas d'avoir 30% de mon PF en BX4 (10 100 titres), cela permet d'encaisser la baisse. J'en ai vendu un petit peu aujourd'hui. Repris 1 Kering, 10 Valeo, 1 TEP, 2 Pernod, 2 RCO, 25 ORA... mais on reste prudents à ce stade.
Objectif 7310-7350 pour moi, cela correspond aux 38,2% de Fibonacci de la hausse 6800-7600.
La MM100 et la MM50 peuvent servir également de soutien (entre 7200 et 7300).
Ces moyennes sont haussières donc la tendance de fond reste haussière malgré cette consolidation qui peut faire peur si on ne l'avait pas anticipée.

Voici le graphique du CAC avec les deux MM citées.
Screenshot 2024-01-03 at 16-47-22 CAC 40 Cours Indice PX1 Cotation Bourse Euronext Paris - Bou...png

@Theblueline : je comprends vos arguments de rentabilité, mais à ce stade je n'ai pas très envie d'investir mes économies aux Etats-Unis. Bonne année à vous également !

A suivre,
 
Mon-Professeur a dit:
alors, ce BX4, il couvre bien la baisse ?
Haha... c'est drôle j'ai pensé à vous justement 😉
Non ça couvre à peine, le bx4 ne fait que 2% de PV. C'est pas grand chose par rapport à la baisse générale. Mais c'est pas bien grave. J'en ai profité pour renforcer 2 valeurs, j'ai hésité à prendre une action TEP également mais ça me paraît encore trop tôt.
 
Mon-Professeur a dit:
2024 commence avec la consolidation tant méritée.

@nelson_a @sorcier : alors, ce BX4, il couvre bien la baisse ?

C'est intéressant. J'ai allégé du BX4 pour prendre 1 LVMH et 1 Kering. Un peu trop tôt probablement. Quand j'ai vu l'évolution du CAC, me suis limité à conserver les positions. C'était par contre rassurant voir comment l'augmentation du BX4 arrivait à compenser mes pertes sur Air Liquide et LVMH :p

Maintenant ma position sur le BX4 n'arriverait pas à compenser complétement une novelle baisse comme aujourd'hui sur LVMH, Kering et Air Liquide, mais il aiderait beaucoup. Donc, je garde les choses comme elles sont. Je voudrais renforcer L’Oréal et entrer dans Hermès pour finir de mettre en place un portefeuille long terme et arrêter les arbitrages.

En tout cas, une journée positive pour moi.
 
Dernière modification:
Merci pour vos retours.
Pour LVMH, je pense qu'on peut attendre un potentiel nouveau test de 650 si on veut être prudent. Si on y va, je prendrai un 4e titre.
Pour Air Liquide, il me semble trop tôt.
Pour Kering, j'en ai pris une aujourd'hui vers 380, on peut attendre 350 si le marché veut y aller.
 
Retour
Haut