sven
Contributeur régulier
Elaphus,
Ce serait plus simple que vous commenciez par lire le rapport du collectif, peut-être déformeriez-vous moins mes propos. Ou peut-être pas, la répétition montre que c'est volontaire, et je continue à vous répondre...
Les prêts sont trompeurs et les pratiques anti-concurrentielles. Le client n'avait aucune chance de comprendre que le prêt n'était pas moins onéreux que dans les autres banques. Certaines personnes (une minorité en réalité) ont vu leur projet devenir réalisable avec la simulation du CF, il s'agit là d'un défaut de mise en garde et vous le savez. Quand vous achetez une chose que votre budget vous permet, vous n'êtes coupable de rien. Quand il y a un vice caché non plus.
S'il y a un coupable à la spéculation immo, ce ne peut-être que la banque qui, elle, savait exactement ce qu'elle faisait et se targue même d'un rôle social en facilitant l'accession à la propriété. L'Etat l'en félicite régulièrement et ça c'est honteux (tout le monde sait que notre Président voulait aller encore plus loin...).
En réalité ce système reporte le paiement de la dette le plus possible ce qui est très rémunérateur. C'est le seul intérêt de ces prêts. En comparant avec les autres types de prêt, c'est le plus onéreux de tous, et le moins sécurisant.
On pourrait se poser la question de les interdire. En réalité tout le problème est dans le défaut d'information, en le résolvant les prêts ne se venderaient plus. En France les clients préfèrent attendre et ne pas prendre de risque avec un variable non sécurisé, c'est culturel et de notoriété publique.
Comment ce système a-t-il pu être opaque? Posez-vous cette question. Certaines réponses ont déjà été données.
Pour la loi Scrivener, le député Lefebvre a fini par comprendre que c'était une partie du problème, mais trop tard, sinon il aurait agit différemment (ça vous donnera un motif pour dénigrer mais qu'importe c'est la vérité). Il aurait fallu dans son amendement qu'il prévoit des simulations suivant plusieurs scénarii dès le stade préalable. C'était la seule solution pour informer le client (accompagné d'un TEG exact, donc sans taux d'appel trompeur). A défaut de loi, les banques se sont "engagées" sur l'honneur à le faire (après 10 gages il y aura une remontrance...).
Pour conclure, Elaphus, vous donnez l'impression que vous faites partie des gens qui sont convaincus que tout combat est toujours perdu d'avance et qui arrivent toujours à trouver les arguments pour s'en persuader. Ce serait dommage pour vous sur le plan personnel.
Ce serait plus simple que vous commenciez par lire le rapport du collectif, peut-être déformeriez-vous moins mes propos. Ou peut-être pas, la répétition montre que c'est volontaire, et je continue à vous répondre...
Les prêts sont trompeurs et les pratiques anti-concurrentielles. Le client n'avait aucune chance de comprendre que le prêt n'était pas moins onéreux que dans les autres banques. Certaines personnes (une minorité en réalité) ont vu leur projet devenir réalisable avec la simulation du CF, il s'agit là d'un défaut de mise en garde et vous le savez. Quand vous achetez une chose que votre budget vous permet, vous n'êtes coupable de rien. Quand il y a un vice caché non plus.
S'il y a un coupable à la spéculation immo, ce ne peut-être que la banque qui, elle, savait exactement ce qu'elle faisait et se targue même d'un rôle social en facilitant l'accession à la propriété. L'Etat l'en félicite régulièrement et ça c'est honteux (tout le monde sait que notre Président voulait aller encore plus loin...).
En réalité ce système reporte le paiement de la dette le plus possible ce qui est très rémunérateur. C'est le seul intérêt de ces prêts. En comparant avec les autres types de prêt, c'est le plus onéreux de tous, et le moins sécurisant.
On pourrait se poser la question de les interdire. En réalité tout le problème est dans le défaut d'information, en le résolvant les prêts ne se venderaient plus. En France les clients préfèrent attendre et ne pas prendre de risque avec un variable non sécurisé, c'est culturel et de notoriété publique.
Comment ce système a-t-il pu être opaque? Posez-vous cette question. Certaines réponses ont déjà été données.
Pour la loi Scrivener, le député Lefebvre a fini par comprendre que c'était une partie du problème, mais trop tard, sinon il aurait agit différemment (ça vous donnera un motif pour dénigrer mais qu'importe c'est la vérité). Il aurait fallu dans son amendement qu'il prévoit des simulations suivant plusieurs scénarii dès le stade préalable. C'était la seule solution pour informer le client (accompagné d'un TEG exact, donc sans taux d'appel trompeur). A défaut de loi, les banques se sont "engagées" sur l'honneur à le faire (après 10 gages il y aura une remontrance...).
J'aurais aimé comprendre au moins le principe (peut-être n'en ai-je pas les capacités intellectuelles?). Un lien aurait été le bienvenu, et je reste frileux avec les annonces puisque vous n'avez pas pu confirmer la dernière (proportion par rapport au taux initial).Plus rien à comprendre (y compris pour la question de la cause, si complexe), juste à en tenir compte.
Pour conclure, Elaphus, vous donnez l'impression que vous faites partie des gens qui sont convaincus que tout combat est toujours perdu d'avance et qui arrivent toujours à trouver les arguments pour s'en persuader. Ce serait dommage pour vous sur le plan personnel.
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