JDN:
L’indemnité d’immobilisation versée au propriétaire représente généralement 5 à 10 % du prix de vente du bien. Ce montant, qui résulte d’une négociation entre les deux parties, doit être clairement précisé dans la
promesse de vente [lien réservé abonné].
Capital :
Afin d’équilibrer ce type d’opération, il est d’usage de prévoir une indemnité que le bénéficiaire verse au vendeur. Elle compense l’immobilisation du bien durant la période d’option. Si le bénéficiaire lève l’option et acquiert le bien, cette somme vient en déduction du prix d’acquisition. S’il ne lève pas l’option et renonce à acquérir le bien, cette somme est acquise au bénéfice du vendeur en compensation de la durée d’immobilisation du bien. Cette indemnité correspond habituellement à
5 à 10 % de la valeur du bien.
Ooreka :
Nature de l'indemnité d'immobilisation
Le bénéficiaire d'une promesse de vente dispose d'un délai imparti pour vérifier si l'acquisition du bien correspond bien à ses attentes et à son budget. En quelque sorte, il s'agit du coût de l'exclusivité temporaire de la vente.
En contrepartie de ce laps de temps lui réservant l'immeuble, l'acheteur est censé verser au vendeur une somme représentant entre 5 % et 10 % du prix de vente. Elle est souvent réclamée au moment de la signature de la promesse unilatérale de vente.
Etc..etc... beaucoup font allusion à une somme allant de 5 à 10 %.
Trouvez-vous cela normal de m'imposer 10 % sans même qu'on se soit entendu à ce sujet sachant que visiblement cette somme doit etre vue entre les parties et que pour le coup on nous a rien demandé mais imposer.
Donc verser cette somme oui mais pas au max de 10 % j'aimerais pouvoir négocier et donner mon avis j'aimerais qu'on puisse se mettre d'accord sur un montant 5 % par exemple