Prochaine crise 2025 dette/économique/sociale: faire son marché

Jeune éffronté

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Pas de gouvernement, crise de la dette souveraine qui arrive au galop, crise économique qui est deja là et qui va péter encore plus fort (multiples secteurs deja sinistrés et qui ne sont plus financés, licenciement à gogo), crise sociale… Qu’est ce que vous achèteriez/arbitreriez quand tout va péter (au moins en France)?
Actions US? Immo et actions francaises opportunistiquement une fois que ca va chuter? Bitcoin/or?
Il y a des valeurs actions francaises plus résistantes que d’autres pour arbitrage de précaution?
 
Bonsoir,
je tente une réponse, en restant humble sur les perspectives.

Les crises sont une zone de risque pour certains, mais sont aussi une zone d'opportunités pour d'autres ..... chacun avec ses verres de lunettes, et son appréciation du risque, sur le court terme, et le long terme.

La France se trouve effectivement proche d'une "tempête financière" pour reprendre les termes du 1e Ministre, avec une Assemblée Nationale fracturée voir hostile, sans possibilité de majorité, avec un budget qui fait forcement mal que ce soit sur le plan des recettes ou des dépenses, et contraint par l’état du déficit.

Le gouvernement devra très probablement passer par le 49.3 avec risque de censure.
Résultat d'une dette abyssale, des marchés tendus avec une confiance qui s'affaiblit.
Crise politique, crise sociétale, crise financière, dans un contexte de croissance dégradé, avec des plans sociaux en perspectives, des agriculteurs en survie (à l'aube de signature du Mercosur), un pouvoir d'achat en berne des dépenses en terme de décarbonation/climat .....
L’Allemagne aussi en crise politique et industrielle.
Une situation géopolitique fragile (crise ukrainienne, politique US protectionniste à venir, Taiwan/la Chine, Israel/Gaza et Liban) .... Pas top tout ça !

--> Que faire sur les placements ? c'est la grande question.

Une proposition pour débattre (ça ne vaut pas conseil)

- S’éloigner "temporairement" des fonds obligataires à longue duration avec part française importante ou fonds europeens, des actions francaises ou européennes, des fonds bancaires Coco AT1 (?)
- Miser sur le dollar ? obligations US ? marché US ? , mais n'ont t-ils pas déjà trop montés ?
- Revenir 'temporairement" sur du monétaire ou du fonds Euros, pour une part du portefeuille, le temps de passer la crise ? pour les plus frileux.
- SCPI / SCI a condition d'etre sélectif et à % limité, vu hémorragie du secteur, et l'engagement sur une durée min.

Ce n'est pas la 1e fois qu'on traverse une crise. On se relèvera .....

Juste mon avis, je ne prétends pas avoir raison, intéressé par l'avis des autres membres. :unsure:


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Dernière modification:
Et comme sur le forum, on a aussi la culture du verbe,..... On va le dire comme ça :

L'optimiste regarde la rose et ne voit pas les épines, tandis que le pessimiste regarde les épines et ne voit pas la rose.
 
Dernière modification:
Je ne serais pas surpris de voir l'année 2025 récompenser un marché français actions qui aura beaucoup souffert et sanctionner un marché US qui aura beaucoup, beaucoup, beaucoup, profité, et je laisse à votre sagacité cette célèbre citation de Sir John Templeton :

"Les marchés haussiers naissent dans le pessimisme, grandissent dans le scepticisme, mûrissent dans l'optimisme et meurent dans l'euphorie."
 
Je partage ces inquiétudes sur la France et l'Europe. On n'a plus d'argent, et littéralement aucun espoir d'une amélioration. On n'a pas de resources naturelles, on est à la rue sur l'éducation, nos industries qui ne sont pas compétitives, et on n'est totalement incapable de faire la moins réforme. Reste le tourisme et notre patrimoine qui servira à éponger la dette, au moins initialement.

Comme toujours, je pense qu'il faut diversifier... même si en pratique, je trouve que ce n'est pas si facile, surtout si on veut des placements peu volatiles. C'est assez simple de diversifier avec des ETFs. Mais sur des actifs peu risqués ? quels sont les possibilités ? personnellement, j'ai 15% sur des ETFs, et le reste, fonds euros, fonds monétaires, un petit peu de SCPI et de fonds obligataires. J'ai énormément de mal à mettre des grosses sommes sur des choses volatiles ou que je comprends mal. Et les placements peu volatiles style fonds euros sont exposés sur l'Europe j'imagine.
 
Philomene a dit:
Je partage ces inquiétudes sur la France et l'Europe. On n'a plus d'argent, et littéralement aucun espoir d'une amélioration. On n'a pas de resources naturelles, on est à la rue sur l'éducation, nos industries qui ne sont pas compétitives, et on n'est totalement incapable de faire la moins réforme. Reste le tourisme et notre patrimoine qui servira à éponger la dette, au moins initialement.
👍 Une petite prescription de notre modo préféré @Buffeto 🤔🤣
Philomene a dit:
Comme toujours, je pense qu'il faut diversifier... même si en pratique, je trouve que ce n'est pas si facile, surtout si on veut des placements peu volatiles. C'est assez simple de diversifier avec des ETFs. Mais sur des actifs peu risqués ? quels sont les possibilités ? personnellement, j'ai 15% sur des ETFs, et le reste, fonds euros, fonds monétaires, un petit peu de SCPI et de fonds obligataires. J'ai énormément de mal à mettre des grosses sommes sur des choses volatiles ou que je comprends mal. Et les placements peu volatiles style fonds euros sont exposés sur l'Europe j'imagine.
👍 La règle de base : jamais tous les oeufs dans le même panier 😉
Et la 2eme : faire le dos rond, ne pas réaliser ses pertes (ne pas sortir d'un placement quand on y est en perte 😉 à moins d'y être obligé 😕)
 
J'amène un contre point de vue : [lien réservé abonné]
 
Bidulos a dit:
Je ne serais pas surpris de voir l'année 2025 récompenser un marché français actions qui aura beaucoup souffert et sanctionner un marché US qui aura beaucoup, beaucoup, beaucoup, profité, et je laisse à votre sagacité cette célèbre citation de Sir John Templeton :

"Les marchés haussiers naissent dans le pessimisme, grandissent dans le scepticisme, mûrissent dans l'optimisme et meurent dans l'euphorie."
A voir jusqu'où le marché français peut baisser avant de rebondir et c'est pas facile. Quand il y a un fort mouvement psychologique baissier, la logique fondamentale peut ne plus etre pertinente, d'où l'analyse technique, j'ai toujours du mal à arbitrer entre analyse fondamentale et analyse technique.
 
Jeune éffronté a dit:
Pas de gouvernement, crise de la dette souveraine qui arrive au galop, crise économique qui est deja là et qui va péter encore plus fort (multiples secteurs deja sinistrés et qui ne sont plus financés, licenciement à gogo), crise sociale… Qu’est ce que vous achèteriez/arbitreriez quand tout va péter (au moins en France)?
Pour l'instant je reste liquide.
Je ne touche pas à mon immobilier.
Pour mon PEA pareil je ne bouge pas trop et je garde une poche de liquidité pour profiter d'éventuelles opportunités. ( Genre TTE qui retomberait sur 30 € )
 
JackieChan a dit:
A voir jusqu'où le marché français peut baisser avant de rebondir et c'est pas facile. Quand il y a un fort mouvement psychologique baissier, la logique fondamentale peut ne plus etre pertinente, d'où l'analyse technique, j'ai toujours du mal à arbitrer entre analyse fondamentale et analyse technique.

Pas vraiment justement, ça fait plus de 2 semaines sur le CAC 40 par exemple qu'on travaille la même zone autour des 7200 points, sans que les vendeurs arrivent à prendre la main sur les acheteurs. La situation est clairement neutralisée pour le moment.

Il faudra véritablement un nouveau catalyseur négatif pour que ça cède, genre le gouvernement tombe, et rien n'est moins sûr.
 
Philomene a dit:
Je partage ces inquiétudes sur la France et l'Europe. On n'a plus d'argent, et littéralement aucun espoir d'une amélioration. On n'a pas de resources naturelles, on est à la rue sur l'éducation, nos industries qui ne sont pas compétitives, et on n'est totalement incapable de faire la moins réforme. Reste le tourisme et notre patrimoine qui servira à éponger la dette, au moins initialement.

Comme toujours, je pense qu'il faut diversifier... même si en pratique, je trouve que ce n'est pas si facile, surtout si on veut des placements peu volatiles. C'est assez simple de diversifier avec des ETFs. Mais sur des actifs peu risqués ? quels sont les possibilités ? personnellement, j'ai 15% sur des ETFs, et le reste, fonds euros, fonds monétaires, un petit peu de SCPI et de fonds obligataires. J'ai énormément de mal à mettre des grosses sommes sur des choses volatiles ou que je comprends mal. Et les placements peu volatiles style fonds euros sont exposés sur l'Europe j'imagine.

On est surtout toujours à coté de la plaque.

Vient de sortir la carte prépayée de 20 à 50 euros pour les étudiants [lien réservé abonné].

Pour les étudiants qui ne sont pas proches de l'un des 1000 restaurants CROUS en France.

Donc pour les étudiants qui sont dans une si petite formation dans un bled si petit qu'il n'y a pas de CROUS.

Donc pour aller au bout de la logique de l'implantation du master Culture et communication, option danse contemporaine, à Rodez. Ah non, il y a bien pire.

Donc pour aller au bout de la logique de l'élu qui demande un centre universitaire sans lien avec l'économie du territoire juste pour dynamiser sa ville avec les impôts nationaux et pour faire plaisir aux électeurs qui ne veulent pas que fifille aille dans une grande ville.

Dans la même série, une effrayante étude qui montre la discrimination territoriale en France avec une minorité d'habitants de la Creuse à proximité d'un réseau de transports en commun en site propre. Vite, des fonds pour un métro à Guéret.

Dans la même série, des subventions pour lutter contre la vie chère dans les DROM avec des filiales d'approvisionnement opaques qui se gavent au passage.

Bien entendu, ce sont les politiques qui font les politiques. Mais dans un pays de râleurs où personne ne discute vers un compromis d'intérêt général, c'est usant et dispendieux.

Le moment énervé...
 
PepeR a dit:
On est surtout toujours à coté de la plaque.

Vient de sortir la carte prépayée de 20 à 50 euros pour les étudiants [lien réservé abonné].

Pour les étudiants qui ne sont pas proches de l'un des 1000 restaurants CROUS en France.

Donc pour les étudiants qui sont dans une si petite formation dans un bled si petit qu'il n'y a pas de CROUS.

Donc pour aller au bout de la logique de l'implantation du master Culture et communication, option danse contemporaine, à Rodez. Ah non, il y a bien pire.

Donc pour aller au bout de la logique de l'élu qui demande un centre universitaire sans lien avec l'économie du territoire juste pour dynamiser sa ville avec les impôts nationaux et pour faire plaisir aux électeurs qui ne veulent pas que fifille aille dans une grande ville.

Dans la même série, une effrayante étude qui montre la discrimination territoriale en France avec une minorité d'habitants de la Creuse à proximité d'un réseau de transports en commun en site propre. Vite, des fonds pour un métro à Guéret.

Dans la même série, des subventions pour lutter contre la vie chère dans les DROM avec des filiales d'approvisionnement opaques qui se gavent au passage.

Bien entendu, ce sont les politiques qui font les politiques. Mais dans un pays de râleurs où personne ne discute vers un compromis d'intérêt général, c'est usant et dispendieux.

Le moment énervé...
La réduction des dépenses, personne ne sait faire en France. Et surtout personne ne veut faire d'effort : moi moi moi...
Mais je pense que cette discussion peut se poursuivre au bar :)
 
Jeune éffronté a dit:
Pas de gouvernement, crise de la dette souveraine qui arrive au galop, crise économique qui est deja là et qui va péter encore plus fort (multiples secteurs deja sinistrés et qui ne sont plus financés, licenciement à gogo), crise sociale… Qu’est ce que vous achèteriez/arbitreriez quand tout va péter (au moins en France)?
Actions US? Immo et actions francaises opportunistiquement une fois que ca va chuter? Bitcoin/or?
Il y a des valeurs actions francaises plus résistantes que d’autres pour arbitrage de précaution?

Merci d'avoir crée la file adéquate.

Je mets en hold tous les achats européens et je vends les positions toujours en bénéfice.

Des membres moneyvox m'ont conseillé des courtiers actions US, marché que je ne connais pas mais on apprend vite ;)

Donc direction les US pour les actions, ETF , facile à lire. Le programme de Trump est limpide et il ne s'entoure pas de mous anesthésistes cette fois ci .

Actions françaises, pourquoi ? Pour remplir son PEA pour la fiscalité mais à part cela ?

Je copie/paste cet article de Meilleur Taux auquel j’adhère... :

Le cocktail du moment est assez explosif, entre tensions politiques en France et menaces commerciales avec les États-Unis de Trump. La dynamique est clairement baissière pour les places européennes, et les investisseurs fuient les actifs français. Pourquoi cette défiance ? La menace d'une censure gouvernementale sur le budget 2025 sème le doute, tandis que l’écart entre les taux français et allemands atteint des sommets inédits depuis 2012.
D’ailleurs, on revient dans cette édition sur un triste record que vient d’atteindre la France. Les financières françaises sont en première ligne : AXA dégringole de 4,3%, Société Générale de 3,5%, Crédit Agricole de 1,3%, et BNP Paribas de 1,2%. Dans ce contexte de défiance, la décision de S&P Global Ratings sur la note de la dette française, attendue vendredi, est déjà dans tous les esprits.

...

De l’autre côté de l’Atlantique, Wall Street fait fi des menaces de droits de douane de Donald Trump. Le S&P 500 a enregistré son 52ème record annuel hier, le Dow Jones et le Nasdaq poursuivant également leur ascension. Cet après-midi, quelques prises de bénéfices les font légèrement plier dans les premiers échanges, avant Thanksgiving. Les marchés américains, rassurés par les données solides sur la croissance et la consommation, continuent de bénéficier de la posture accommodante de la Fed, qui maintient sa stratégie de baisse progressive des taux selon son rapport publié hier soir.


L’inflation américaine est comme prévu ressortie à 2,3% sur un an en octobre, en ligne avec les attentes (vs 2,1% en septembre). Hors prix de l’énergie et de l’alimentation : 2,8% comme attendu pour octobre, contre 2,7% le mois antérieur. Le contraste entre Paris et Wall Street n’a jamais été aussi criant. Alors que la Bourse américaine célèbre ses records, la France s’enlise dans ses incertitudes politiques et économiques. Le message est clair, pour reconquérir la confiance des investisseurs, il va falloir des réponses rapides et convaincantes.

Voilà, c'est facile en ce moment de prendre une décision.
 
PepeR a dit:
On est surtout toujours à coté de la plaque.

Vient de sortir la carte prépayée de 20 à 50 euros pour les étudiants [lien réservé abonné].

Pour les étudiants qui ne sont pas proches de l'un des 1000 restaurants CROUS en France.

Donc pour les étudiants qui sont dans une si petite formation dans un bled si petit qu'il n'y a pas de CROUS.

Donc pour aller au bout de la logique de l'implantation du master Culture et communication, option danse contemporaine, à Rodez. Ah non, il y a bien pire.

Donc pour aller au bout de la logique de l'élu qui demande un centre universitaire sans lien avec l'économie du territoire juste pour dynamiser sa ville avec les impôts nationaux et pour faire plaisir aux électeurs qui ne veulent pas que fifille aille dans une grande ville.

Dans la même série, une effrayante étude qui montre la discrimination territoriale en France avec une minorité d'habitants de la Creuse à proximité d'un réseau de transports en commun en site propre. Vite, des fonds pour un métro à Guéret.

Dans la même série, des subventions pour lutter contre la vie chère dans les DROM avec des filiales d'approvisionnement opaques qui se gavent au passage.

Bien entendu, ce sont les politiques qui font les politiques. Mais dans un pays de râleurs où personne ne discute vers un compromis d'intérêt général, c'est usant et dispendieux.

Le moment énervé...
Je ne suis pas trop d'accord avec toi. Cette carte me semble être une bonne idée. Ça m'aurait concerné à une époque d'ailleurs.

Ce qui est sur, c'est qu'on pourrait baisser les dépenses facilement un peu partout. Si on était vraiment au bord du gouffre, on pourrait facilement identifier des dépenses non nécessaires. Je ne sais pas, fermons les piscines publiques, arrêtons de fleurir les parcs, d'entretenir des terrains de foot, de mettre des décoration de noel. Sauf que chaque dépense est aussi un revenu, donc ce n'est peut-etre pas si simple.
 
Philomene a dit:
Ce qui est sur, c'est qu'on pourrait baisser les dépenses facilement un peu partout. Si on était vraiment au bord du gouffre, on pourrait facilement identifier des dépenses non nécessaires. Je ne sais pas, fermons les piscines publiques, arrêtons de fleurir les parcs, d'entretenir des terrains de foot, de mettre des décoration de noel. Sauf que chaque dépense est aussi un revenu, donc ce n'est peut-etre pas si simple.
On peut baisser les dépenses sur le facilement, c'est à voir. Ce sont des choix politiques qui sont parfois impopulaires (ex : éteindre les lampadaires la nuit, etc.). Les maires sont globalement anti-ZAN alors que dans les faits l'étalement urbain coute cher en aménagement. Les exemples sont nombreux dans les contradictions.
 
lebadeil a dit:
Bonsoir,
je tente une réponse, en restant humble sur les perspectives.

Les crises sont une zone de risque pour certains, mais sont aussi une zone d'opportunités pour d'autres ..... chacun avec ses verres de lunettes, et son appréciation du risque, sur le court terme, et le long terme.

La France se trouve effectivement proche d'une "tempête financière" pour reprendre les termes du 1e Ministre, avec une Assemblée Nationale fracturée voir hostile, sans possibilité de majorité, avec un budget qui fait forcement mal que ce soit sur le plan des recettes ou des dépenses, et contraint par l’état du déficit.

Le gouvernement devra très probablement passer par le 49.3 avec risque de censure.
Résultat d'une dette abyssale, des marchés tendus avec une confiance qui s'affaiblit.
Crise politique, crise sociétale, crise financière, dans un contexte de croissance dégradé, avec des plans sociaux en perspectives, des agriculteurs en survie (à l'aube de signature du Mercosur), un pouvoir d'achat en berne des dépenses en terme de décarbonation/climat .....
L’Allemagne aussi en crise politique et industrielle.
Une situation géopolitique fragile (crise ukrainienne, politique US protectionniste à venir, Taiwan/la Chine, Israel/Gaza et Liban) .... Pas top tout ça !

--> Que faire sur les placements ? c'est la grande question.

Une proposition pour débattre (ça ne vaut pas conseil)

- S’éloigner "temporairement" des fonds obligataires à longue duration avec part française importante ou fonds europeens, des actions francaises ou européennes, des fonds bancaires Coco AT1 (?)
- Miser sur le dollar ? obligations US ? marché US ? , mais n'ont t-ils pas déjà trop montés ?
- Revenir 'temporairement" sur du monétaire ou du fonds Euros, pour une part du portefeuille, le temps de passer la crise ? pour les plus frileux.
- SCPI / SCI a condition d'etre sélectif et à % limité, vu hémorragie du secteur, et l'engagement sur une durée min.

Ce n'est pas la 1e fois qu'on traverse une crise. On se relèvera .....

Juste mon avis, je ne prétends pas avoir raison, intéressé par l'avis des autres membres. :unsure:


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Pour ceux qui sont assujettis à l’IFI, le sénat a voté hier soir pour en élargir l’assiette aux fonds monétaires, liquidités, livrets etc. « fortune improductive » (cf Les Echos)
 
Moneypenny75 a dit:
Pour ceux qui sont assujettis à l’IFI, le sénat a voté hier soir pour en élargir l’assiette aux fonds monétaires, liquidités, livrets etc. « fortune improductive » (cf Les Echos)
donc retour de l'ISF ......
 
Moneypenny75 a dit:
Pour ceux qui sont assujettis à l’IFI, le sénat a voté hier soir pour en élargir l’assiette aux fonds monétaires, liquidités, livrets etc. « fortune improductive » (cf Les Echos)
On ne va donc pas augmenter les impôts, mais on va quand même les augmenter..... Agitation du drapeau rouge pour faciliter une motion de censure par l'ensemble des députés ?
 
Il faut quand même noter que le patrimoine des français augmente plus vite que la dette publique, notamment celui des plus riches. Il y a vraisemblablement un problème de collecte d'impôt et de redistribution des richesses.
 
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