Aristide
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yannou79 a dit:Ce que vous reprochez au différé interne peut se reprocher (en partie) à la mise en amortissement immédiate. Si les déblocages tardent et que la construction prend du retard, l'effort d'épargne demandé sera de plus en plus important.
Si les déblocages sont retardés, dans l'amortissement immédiat, l'effort d'épargne sera certes un peu plus important mais il portera sur une durée moins longue.
Dans le fichier Excel joint, pour exemple, j'ai retardé le dernier déblocage de 40.000€ de 12 mois à 18 mois.
Sur la dernière pérode la mensualité augmente de =/= 4,50€ mais, in fine tant le coût du crédit simple que le coût du crédit corrigé diminue (6 mois de moins d'intérêts sur le dernier déblocage de 40.000€ et durée toujours égale à 240 mois)
Je continue d'affirmer qu'a durée/taux de prêt égaux, il vaut mieux réinjecter l'effort d'épargne qu'on pourrait mettre dans un amortissement immédiat en apport, eu égard au gain sur l'assurance éventuelle sur CI. Votre fichier que j'ai légèrement modifier illustre bien mon propos.
Après, je vous concède sans soucis qu'un prêt sur 240 mois aura un meilleur coût corrigé qu'un prêt similaire sur 252 mois, mais il s'agit là pour moi d'enfoncer des portes ouvertes
Il n'y a pas débat sur le fait qu'une bonne comparaison voudrait qu'elle soit faite à durée égale.
Ce que j'ai voulu faire ressortir est que - en pratique -avec un différé interne de 12 mois, ce décalage à 18 mois dans l'exemple aurait été impossible.
Il faut alors utiliser la technique du différé externe et c'est ce que les banques font.
Dès lors la comparaison '"à durée égale" n'est plus possible et le coût réel est donc forcément plus important (intérêts + assurances)
Cdt
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