jeanine83
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Bonjour Monsieur le Président
Indirectement membre de la Faprah puisque adhérente à une association faisant partie de celles citées sur votre blog, j'ai bien lu votre réponse à Gicorca sur le blog fédéral mais je découvre maintenant le courrier que cette Association vous avez envoyé pour clarifier ses propos et montrer qu'elle n'avait rien contre le fonctionnement de la Fédération qu'elle respecte et qu'elle était prête à y adhérer. Elle désirait seulement un droit de réponse consultable par tous. Ce droit de réponse selon mes informations a été également censuré sur le blog des LMNP dont le gestionnaire fait partie du bureau Fédéral.
Aujourd'hui je m'aperçois que quelques grandes lignes de fonctionnement qui réussissent à Angers par simple constat de résultats ont été reprises par les juristes qui se sont associés à vous mais avec moins de réussites(accords de délai de paiement par ex). C’est surprenant mais aussi intéressant dans le sens où cela inspire .Je m’en réjouis évidemment puisque propriétaire dans deux résidences qui je le souhaite me permettront des revenus m’accordant un répit avant l’auspice et la vente de mes biens.
J’attends des résultats, mon temps est compté. Vous nous avez proposé des services et des informations parfois payantes, utiles oui mais pas de quoi justifier autant de remue-ménage.
Mes questions sont simples, pourquoi ne pas avoir publié le droit de réponse de Gicorca ? Votre analyse des idées portées par cette association dans votre texte publié sur le site Faprah est détournée au regard de leur droit de réponse et leurs idées.
Pourquoi ne pas avoir tenu compte de l’idée qu’il existait plusieurs types de résidences : les rentables et les moins ou pas rentables ? L’idée d’une tête solide(les résidences rentables) et finalement influentes pour négocier avec Appart-city n’aurait que tiré vers le haut les négociations de baux engagées sur les résidences en fin de bail…
Je ne désire pas une réponse privée, ce sujet est d’utilité publique et chacun doit pouvoir échanger et critiquer sans pour autant entrer dans le pugilat.
Jeanine
Indirectement membre de la Faprah puisque adhérente à une association faisant partie de celles citées sur votre blog, j'ai bien lu votre réponse à Gicorca sur le blog fédéral mais je découvre maintenant le courrier que cette Association vous avez envoyé pour clarifier ses propos et montrer qu'elle n'avait rien contre le fonctionnement de la Fédération qu'elle respecte et qu'elle était prête à y adhérer. Elle désirait seulement un droit de réponse consultable par tous. Ce droit de réponse selon mes informations a été également censuré sur le blog des LMNP dont le gestionnaire fait partie du bureau Fédéral.
Aujourd'hui je m'aperçois que quelques grandes lignes de fonctionnement qui réussissent à Angers par simple constat de résultats ont été reprises par les juristes qui se sont associés à vous mais avec moins de réussites(accords de délai de paiement par ex). C’est surprenant mais aussi intéressant dans le sens où cela inspire .Je m’en réjouis évidemment puisque propriétaire dans deux résidences qui je le souhaite me permettront des revenus m’accordant un répit avant l’auspice et la vente de mes biens.
J’attends des résultats, mon temps est compté. Vous nous avez proposé des services et des informations parfois payantes, utiles oui mais pas de quoi justifier autant de remue-ménage.
Mes questions sont simples, pourquoi ne pas avoir publié le droit de réponse de Gicorca ? Votre analyse des idées portées par cette association dans votre texte publié sur le site Faprah est détournée au regard de leur droit de réponse et leurs idées.
Pourquoi ne pas avoir tenu compte de l’idée qu’il existait plusieurs types de résidences : les rentables et les moins ou pas rentables ? L’idée d’une tête solide(les résidences rentables) et finalement influentes pour négocier avec Appart-city n’aurait que tiré vers le haut les négociations de baux engagées sur les résidences en fin de bail…
Je ne désire pas une réponse privée, ce sujet est d’utilité publique et chacun doit pouvoir échanger et critiquer sans pour autant entrer dans le pugilat.
Jeanine