Jeune_padawan
Top contributeur
Toujours en direct d'Indianapolis, nous retrouvons notre reporteur JP Don'tspeakenglish.
Eli Lilly vient de publier les résultats d'une étude pour changer non pas sur le Mounjaro mais sur un traitement contre la maladie de Crohn.
L'étude de phase III VIVID-1 aurait montré que le mirikizumab donné à des patients atteints de la maladie de Crohn active modérément à sévèrement, avec ou sans échec biologique antérieur, ont obtenu des résultats statistiquement significatifs et cliniquement améliorations significatives sur plusieurs critères cliniques et endoscopiques vis à vis du placebo.
La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l'intestin associée à des lésions intestinales progressives, à un handicap et à une diminution de la qualité de vie.
Dans le détail, le candidat médicament répond différemment suivant que le patient a suivi un traitement biologique précédemment (en échec biologique) ou non (bio-naïfs).
39,3 % des patients bionaïfs et 36,7 % des patients en échec biologique prenant du mirikizumab ont obtenu une réponse clinique à la semaine 12 et une réponse endoscopique à la semaine 52, contre 11,8 % et 6,2 % du placebo, respectivement.
À un an, une rémission clinique et une réponse endoscopique ont été obtenues respectivement chez 54,1 % et 48,4 % des patients sous mirikizumab. Notamment, parmi les patients ayant reçu du mirikizumab, 56,7 % des patients bionaïfs et 51,2 % des patients en échec biologique ont obtenu une rémission clinique à la semaine 52.
Le mirikizumab est un anticorps monoclonal qui se lie à la sous-unité p19 de l’interleukine-23. L’interleukine-23 fait partie de la famille des cytokines qui sont synthétisées principalement en réponse à un signal activateur et permettent aux cellules d'agir à distance sur d'autres cellules.
Le médicament est déjà autorisé en France pour le traitement de la rectocolite hémorragique.
Source : [lien réservé abonné]
Les anticorps monoclonal sont une classe sur laquelle les labos misent beaucoup car ils appliquent le principe du serach and destroy soit recherche et destruction : ils foncent sur leur(s) antigène(s) cible(s) en ignorant le reste.
Évidemment j'ai quelques notions de biologie (le diabète je comprends) mais pas fait médecine donc soyez indulgents sur les possibles erreurs.
Eli Lilly vient de publier les résultats d'une étude pour changer non pas sur le Mounjaro mais sur un traitement contre la maladie de Crohn.
L'étude de phase III VIVID-1 aurait montré que le mirikizumab donné à des patients atteints de la maladie de Crohn active modérément à sévèrement, avec ou sans échec biologique antérieur, ont obtenu des résultats statistiquement significatifs et cliniquement améliorations significatives sur plusieurs critères cliniques et endoscopiques vis à vis du placebo.
La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l'intestin associée à des lésions intestinales progressives, à un handicap et à une diminution de la qualité de vie.
Dans le détail, le candidat médicament répond différemment suivant que le patient a suivi un traitement biologique précédemment (en échec biologique) ou non (bio-naïfs).
39,3 % des patients bionaïfs et 36,7 % des patients en échec biologique prenant du mirikizumab ont obtenu une réponse clinique à la semaine 12 et une réponse endoscopique à la semaine 52, contre 11,8 % et 6,2 % du placebo, respectivement.
À un an, une rémission clinique et une réponse endoscopique ont été obtenues respectivement chez 54,1 % et 48,4 % des patients sous mirikizumab. Notamment, parmi les patients ayant reçu du mirikizumab, 56,7 % des patients bionaïfs et 51,2 % des patients en échec biologique ont obtenu une rémission clinique à la semaine 52.
Le mirikizumab est un anticorps monoclonal qui se lie à la sous-unité p19 de l’interleukine-23. L’interleukine-23 fait partie de la famille des cytokines qui sont synthétisées principalement en réponse à un signal activateur et permettent aux cellules d'agir à distance sur d'autres cellules.
Le médicament est déjà autorisé en France pour le traitement de la rectocolite hémorragique.
Source : [lien réservé abonné]
Les anticorps monoclonal sont une classe sur laquelle les labos misent beaucoup car ils appliquent le principe du serach and destroy soit recherche et destruction : ils foncent sur leur(s) antigène(s) cible(s) en ignorant le reste.
Évidemment j'ai quelques notions de biologie (le diabète je comprends) mais pas fait médecine donc soyez indulgents sur les possibles erreurs.