Piste Etoilé
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Bonjour à tous,
La Direction du Pôle Immobilier se penche désormais sur la question, afin de redéfinir une solution qui soit selon mon courtier "envisageable pour le LCL et acceptable pour vous". Je ne suis pas dupe et sait déjà que cette solution ne sera pas l'amortissement immédiat demandé et auquel l'offre initiale nous avait fait pensé que nous avions accédé en l'absence de toute mention d'utilisation progressive, de franchise partielle ou totale. En résumé, j'ai l'impression d'avoir été un client recruté par le biais d'une fausse promesse, et il évident que je vais tout faire pour que nous ne restions pas ni 20, ni 22 ans dans cette banque, mais en sortir bien avant que 2020 ne sonne, de manière à ce qu'à son tour le LCL n'obtienne pas ce qu'il croyait obtenir au travers de ses manoeuvres teintées au choix d'incompétence ou de malhonnêté, je ne le saurais probablement jamais. Je vais m'occuper de diminuer le coût du crédit à ma manière.
Maintenant, en admettant que nous partions pour l'approche de l'avenant, à savoir une utilisation progressive en franchise totale, soit la pire solution de notre point de vue, ce que je trouve assez génial, c'est que bien entendu, la capitalisation des intérêts différés venant s'ajouter aux échéances, je ne suis même pas en mesure de connaître celle-ci mais sait déjà que nous serions bien au-dessus des 1 671,06 que nous avions à notre sens contractualisé. Tout va dépendre des appels de fonds, mais j'estime déjà entre 80 et 100 €, le surcoût de mensualité. C'est ça la vraie vie tout d'un coup, on ne parle plus de TEG qui baisse ici, parce que l'avenant bien-entendu ne prend pas en compte les coûts initiaux de l'opération! Pour mon amie qui gagne à peu près deux fois moins que moi, c'est fantastique comme je vous laisse l'imaginer. Pour en revenir au TEG d'ailleurs, voir au taux, en réintégrant les intérêts différés sur 20 ans, nous nous retrouvons avec un taux d'intérêt et un TEG qui n'ont plus rien à voir avec notre offre initiale. J'ai donc beau retourner le sujet dans tous les sens, nous nous sommes bien fait avoir. Le point positif c'est que je ne pourrai pas me faire avoir deux fois comme ça.
Je me pose d'autres questions aussi relatives au crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunts :
- si le remboursement commence effectivement en 2013, pouvons-nous déclarer cette année aux impôts comme année de départ de notre amortissement et bénéficier de 7 ans (BBC inside) de remise d'impôts, jusqu'en 2018 inclus (si nous ne sommes pas partis avant)?
- si dans ses nouvelles manoeuvres le LCL nous propose de commencer à amortir les déblocages de fond mais de manière partielle uniquement, pouvons-nous tout de même choisir l'année 2013 comme première année de remise d'impôts? Car si nous ne remboursons que partiellement sur 2011 et 2012, nous risquons d'être en-dessous du montant d'intérêt nous permettant de maximiser la remise d'impôts.
Tous vos éclairages sont les bienvenus. Merci encore à vous.
La Direction du Pôle Immobilier se penche désormais sur la question, afin de redéfinir une solution qui soit selon mon courtier "envisageable pour le LCL et acceptable pour vous". Je ne suis pas dupe et sait déjà que cette solution ne sera pas l'amortissement immédiat demandé et auquel l'offre initiale nous avait fait pensé que nous avions accédé en l'absence de toute mention d'utilisation progressive, de franchise partielle ou totale. En résumé, j'ai l'impression d'avoir été un client recruté par le biais d'une fausse promesse, et il évident que je vais tout faire pour que nous ne restions pas ni 20, ni 22 ans dans cette banque, mais en sortir bien avant que 2020 ne sonne, de manière à ce qu'à son tour le LCL n'obtienne pas ce qu'il croyait obtenir au travers de ses manoeuvres teintées au choix d'incompétence ou de malhonnêté, je ne le saurais probablement jamais. Je vais m'occuper de diminuer le coût du crédit à ma manière.
Maintenant, en admettant que nous partions pour l'approche de l'avenant, à savoir une utilisation progressive en franchise totale, soit la pire solution de notre point de vue, ce que je trouve assez génial, c'est que bien entendu, la capitalisation des intérêts différés venant s'ajouter aux échéances, je ne suis même pas en mesure de connaître celle-ci mais sait déjà que nous serions bien au-dessus des 1 671,06 que nous avions à notre sens contractualisé. Tout va dépendre des appels de fonds, mais j'estime déjà entre 80 et 100 €, le surcoût de mensualité. C'est ça la vraie vie tout d'un coup, on ne parle plus de TEG qui baisse ici, parce que l'avenant bien-entendu ne prend pas en compte les coûts initiaux de l'opération! Pour mon amie qui gagne à peu près deux fois moins que moi, c'est fantastique comme je vous laisse l'imaginer. Pour en revenir au TEG d'ailleurs, voir au taux, en réintégrant les intérêts différés sur 20 ans, nous nous retrouvons avec un taux d'intérêt et un TEG qui n'ont plus rien à voir avec notre offre initiale. J'ai donc beau retourner le sujet dans tous les sens, nous nous sommes bien fait avoir. Le point positif c'est que je ne pourrai pas me faire avoir deux fois comme ça.
Je me pose d'autres questions aussi relatives au crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunts :
- si le remboursement commence effectivement en 2013, pouvons-nous déclarer cette année aux impôts comme année de départ de notre amortissement et bénéficier de 7 ans (BBC inside) de remise d'impôts, jusqu'en 2018 inclus (si nous ne sommes pas partis avant)?
- si dans ses nouvelles manoeuvres le LCL nous propose de commencer à amortir les déblocages de fond mais de manière partielle uniquement, pouvons-nous tout de même choisir l'année 2013 comme première année de remise d'impôts? Car si nous ne remboursons que partiellement sur 2011 et 2012, nous risquons d'être en-dessous du montant d'intérêt nous permettant de maximiser la remise d'impôts.
Tous vos éclairages sont les bienvenus. Merci encore à vous.










