Anonyme
Les pays se livrent actuellement à une guerre des monnaies farouche.
Chacun fait baisser sa monnaie et ses taux d'emprunts, pour que l'Etat continue de jeter des brouettes de billets au feu, que les banques ne perdent pas leur chemise, que les entreprises exportent plus facilement etc...
C'était une mauvaise idée au départ, mais bon, les banques n'ont pas coulé, ont renforcé leurs bilans, les entreprises ont profité de la période pour renforcer leurs structures et leurs marges également (nombreux programmes de réduction de coûts...)
Les Etats, eux, n'ont rien fait (France, Italie, Grèce, US, Japon, même GB au niveau budgétaire ça reste très mauvais)
- L'UE est passée à la vitesse supérieure, avec un timing complètement à côté de la plaque.
- Le Japon est englué dans ses pbs de dette massive sans croissance (situation qui dure depuis 20 ans, c'est notre avenir, ça donne envie)
- Les US continuent la collectivisation du pays à marche forcée, ce qui ne se voit pas trop sur le déficit avec la croissance actuelle, mais ça promet.
- La Suisse a réalisé combien l'arrimage à l'Euro coutait et aller couter à l'avenir. Elle a décidé d'arrêter les frais. Résultat, la bourse a complètement décroché.
- Les économies scandinaves ont décidé de suivre le mouvement de l'Euro.
Donc ça continue de bloquer. En plus on a rajouté un effet "le premier qui bouge a perdu". Tout le monde a peur que sa monnaie trop forte pénalise l'économie.
On a une situation assez paradoxale finalement où chacun fait tourner sa planche à billets, on arrose la planète de monnaie de singe, et l'inflation se fait attendre. Ce qui démontre quand même un gros souci sur la pérennité du système d'une part, et d'autre part sur la confiance des acteurs économiques en leurs gouvernements/leurs banques centrales / la situation éco en général...
Chacun fait baisser sa monnaie et ses taux d'emprunts, pour que l'Etat continue de jeter des brouettes de billets au feu, que les banques ne perdent pas leur chemise, que les entreprises exportent plus facilement etc...
C'était une mauvaise idée au départ, mais bon, les banques n'ont pas coulé, ont renforcé leurs bilans, les entreprises ont profité de la période pour renforcer leurs structures et leurs marges également (nombreux programmes de réduction de coûts...)
Les Etats, eux, n'ont rien fait (France, Italie, Grèce, US, Japon, même GB au niveau budgétaire ça reste très mauvais)
- L'UE est passée à la vitesse supérieure, avec un timing complètement à côté de la plaque.
- Le Japon est englué dans ses pbs de dette massive sans croissance (situation qui dure depuis 20 ans, c'est notre avenir, ça donne envie)
- Les US continuent la collectivisation du pays à marche forcée, ce qui ne se voit pas trop sur le déficit avec la croissance actuelle, mais ça promet.
- La Suisse a réalisé combien l'arrimage à l'Euro coutait et aller couter à l'avenir. Elle a décidé d'arrêter les frais. Résultat, la bourse a complètement décroché.
- Les économies scandinaves ont décidé de suivre le mouvement de l'Euro.
Donc ça continue de bloquer. En plus on a rajouté un effet "le premier qui bouge a perdu". Tout le monde a peur que sa monnaie trop forte pénalise l'économie.
On a une situation assez paradoxale finalement où chacun fait tourner sa planche à billets, on arrose la planète de monnaie de singe, et l'inflation se fait attendre. Ce qui démontre quand même un gros souci sur la pérennité du système d'une part, et d'autre part sur la confiance des acteurs économiques en leurs gouvernements/leurs banques centrales / la situation éco en général...