Sluwp
Contributeur régulier
Je constatais simplement qu'il existait un décalage significatif entre le prix auquel la SCI paye un bien et le prix auquel la SCI valorise ensuite immédiatement ce bien à son bilan. Donc soit les acheteurs de viagers sont en position de force sur le marché, soit la table de mortalité utilisée pour valoriser les biens au bilan comptable sous-estime la durée de vie des personnes. Je pense qu'il y a un peu des deux.De mémoire, sluwp, n'avais tu pas évoqué une révision des tables de mortalité ? quelle conséquence ? Et puis, aucun placement n'est sans risque...
Si demain l'AMF dit que pour valoriser les biens au bilan il faut désormais prendre une table avec des durée de vies plus longues (ou alors prendre le prix réellement payé par la sci à l'achat), alors oui la valeur des biens diminuera du jour au lendemain. Ce risque n'existe pas sur les sci non viagers.
Les frais d'entrée sont appliqués sur la VL ce qui fait apparaître une moins-value dès l'investissement. Sur la SCPI c'est en gros la même chose, la différence peut-être c'est qu'avec les SCI/OPCI les frais sont plutôt acquis au fonds, alors qu'avec les SCPI ces frais partent dans les poches de la société de gestion et du courtier.Julien954 a dit:Petite question : est-ce que les frais d'entrée sur une SCI sont déduits pour le calcul de la plus-value lors d'un rachat ?
Les droits d'entrée sur versement n'étant pas déductibles, en est-il de même pour ceux propres au support (SCI, OPCI, etc.) ?
Perso je suis pas fan d'une SCI immo qui ne met en place aucun mécanisme pour prévenir les entrées/sorties du fonds (ex pythagore), car ce sont alors les autres associés qui en supportent le coût.