Marioux
Contributeur régulier
Merci baboune !baboune a dit:Bonjour,
Marioux a tout loisir de supprimer son post avec les fonctions éditer ou supprimer
à lui seul reviens donc l'acte d'auto-censure ou de correction.
Cdt
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Merci baboune !baboune a dit:Bonjour,
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à lui seul reviens donc l'acte d'auto-censure ou de correction.
Cdt
baboune a dit:Marioux a tout loisir de supprimer son post avec les fonctions éditer ou supprimer
=> Incompétence ou désinformation.........ou bien les deux à la fois ???Article R312-2 [lien réservé abonné] code consommation
L'indemnité éventuellement due par l'emprunteur, prévue à l'article L. 312-21 [lien réservé abonné] en cas de remboursement par anticipation, ne peut excéder la valeur d'un semestre d'intérêt sur le capital remboursé au taux moyen du prêt, sans pouvoir dépasser 3 % du capital restant dû avant le remboursement.
Dans le cas où un contrat de prêt est assorti de taux d'intérêts différents selon les périodes de remboursement, l'indemnité prévue à l'alinéa précédent peut être majorée de la somme permettant d'assurer au prêteur, sur la durée courue depuis l'origine, le taux moyen prévu lors de l'octroi du prêt.
https://www.moneyvox.fr/forums/fil/jurisprudence-annee-lombarde.35089/page-405
Aristide a dit:=> Cela me hérisse le poil !!![\quote]
Et, personnellement, je regrette que la modération ne s'attache qu'à la forme des posts et pas du tout au fond ce qui laisse la place à toutes "fake news" et autres inexactitudes pouvant induire les lecteurs en erreurs et nuire au sérieux - pourtant revendiqué - de ce forum [\quote]
Je partage tout à fait ton avis et d'autant que l'auteur des inexactitudes reconnaît son erreur et qu'il lui serait facile de faire corriger, ce qui ne semble pas encore avoir été fait.
Wait and see
vivien a dit:Dans l'exemple pour le calcul du Taux de Période et du TEG, on peut noter l'oubli du taux conventionnel qui est une donnée obligatoire pour un contrat de prêt (Art. 1907 du Code Civil)
Bonjour vivien,vivien a dit:Dans cet exemple le taux conventionnel est de 3.60 %
Car, enfin, me semble-t-il, même si le prêteur abandonne les 0,00.344.583.00€ pour arrondir le montant global des intérêts, il reste que l'emprunteur paie 121 280,74€, valeur supérieure de 1,54€ à la valeur de 121 279,20€ découlant des hypothèses ! :Marioux a dit:Là, je suis beaucoup moins d’accord car dans les hypothèses, il est aussi précisé en toutes lettres :
"Type d’échéance : Constante" !
Il y a donc lieu, de respecter cette autre hypothèse, comme la précédente, en n’ajustant pas, justement, le montant de la dernière échéance ! :
Montant constant de l'échéance mensuelle, hors assurance : 1 755,33€ ;
Montant annuel remboursé par échéances constantes, hors assurance : 1 755,33€ x 12 = 21 063,96€ ;
Montant global remboursé par échéances constantes, hors assurance : 21 063,96€ x 20 = 421 279,20€ ;
Montant calculé de l’intérêt stipulé, contracté : 421 279,20€ - 300 000,00€ = 121 279,20€, au centime d’€uro près,
et non 121 280,74.344.583.00€ (Au cent millionième de centime d’€uro ! ...), selon la cellule F252 du tableau EXCEL Ex d’Aristide .
Aristide ne devrait-il pas, à son tour, le reconnaître et rectifier en présentant ses excuses ? : Ce ne peut être à sens unique ! : N'est-ce pas ?Aristide a dit:2) - Cependant, bien qu'ingénieur en informatique, son calcul est inexact car:
+ Ne tient pas compte de la valeur réelle de la dernière échéance d'ajustement.
Les batailles d'ego sont lassantes. Je pensais avoir posé quelques questions pertinentes concernant l'arrêt du 9 septembre, en vain...Marioux a dit:Bonjour vivien,
Pour mon erreur :
J'ai pris bonne note de votre avis et de vos échanges avec baboune ;
Je vais réfléchir à la façon dont je vais éventuellement la traiter : Pour l'instant, je l'ai admise, sans délai, ce qui était la moindre des choses ! ;
J'ai reconnu que le bien fondé de ses formules !
Pour l'exemple de M. RAHUEL :
Je le répète,: Oui, je suis bien d'accord avec le contenu de cet l'article !
Son objectif était de calculer le Taux de Période et le TEG (Annuel) sur la base des échéances dont le montant constant se déduisait des hypothèses que je rappelle, ici :
Montant emprunté : 300 000 €
Nombre de périodes : 240
Nombre de période par an : 12
Frais de dossier : 2800 €
Assurance mensuelle obligatoire : 100 €
Type d’échéance : constante
Montant de l’échéance hors assurance : 1755.33 €
D'où le montant constant des échéances y compris assurance obligatoire : 1 755,33€ + 100€ = 1 855,33€ !
Pour le taux de l'intérêt conventionnel :
Effectivement, il ne figure pas dans le rapport de M. RAHUEL, mais tout simplement parce qu'il ne s'était pas donné comme objectif de calculer des intérêts !
De votre côté, pouvez-vous nous préciser l'origine de cette valeur de 3,60% qu'Aristide, votre ami que vous défendez tant, semble partager puisqu'il l'utilise dans son tableau EXCEL Ex.xlsx au post #4050 ? !
D'ailleurs, vous ne nous avez pas dit ce que vous pensez de la constatation suivante :
Car, enfin, me semble-t-il, même si le prêteur abandonne les 0,00.344.583.00€ pour arrondir le montant global des intérêts, il reste que l'emprunteur paie 121 280,74€, valeur supérieure de 1,54€ à la valeur de 121 279,20€ découlant des hypothèses ! :
L'emprunteur ne doit sans doute pas y trouver son compte ! Qu'en pensez-vous ?
Selon vous, Aristide et Vous, ne devriez-vous pas nous expliquer cette divergence ?
Et si, par hasard, au bout du compte, on retrouvait bien les valeurs suivantes de M. RAHUEL :
Taux de période : 0,362015805571925 %
Taux annuel : 4.34418966686 %
après avoir affirmé, en égarant le Lecteur :
Aristide ne devrait-il pas, à son tour, le reconnaître et rectifier en présentant ses excuses ? : Ce ne peut être à sens unique ! : N'est-ce pas ?
Cdt.
Marioux a dit:De votre côté, pouvez-vous nous préciser l'origine de cette valeur de 3,60% qu'Aristide, votre ami que vous défendez tant, semble partager puisqu'il l'utilise dans son tableau EXCEL Ex.xlsx au post #4050 ? !
Ma question n'est pas le fruit du hasard, j'ai un nouveau prêt immobilier depuis quelques mois et je me suis rendu compte après édition du TA définitif et vérification du montant de la première échéance d'intérets intercalaires que mon nouvel établissement bancaire calcule les intérets en base 360. J'ai demandé quelques explications et j'ai reçu un joli courrier de la direction crédit France expliquant diviser par 36000....hallucinant !vivien a dit:A ma connaissance il y a une banque mutualiste dans le Nord de France qui calcule les intérêts sur crédit immobilier sur des années civiles (365 ou 366).
Dans votre étude, pour avoir confirmation de l'utilisation de l'année de 360 jours, vous pourriez aussi ajouter :
- les clients qui ont fait des remboursements anticipés (totaux ou partiels) en dehors de leur date prévisionnelle d'amortissement.
Il est quand même surprenant que des banques continuent de percevoir des intérêts peu ou prou importants en retenant une année 360 Jours, car il y a quand même un grand nombre de décisions qui ont reconnu que la formule n'était pas bonne !
Ne serait ce pas la confirmation de la mauvaise foi des banques ?
Désolé pour les digressions; mais j'ai le sentiment que par vos remarques antérieures vous aviez déjà largement anticipé ma mise au point.crapoduc a dit:Les batailles d'ego sont lassantes. Je pensais avoir posé quelques questions pertinentes concernant l'arrêt du 9 septembre, en vain...
Sur cette insertion "ainsi que pour celui du taux débiteur" peut-être n'est-il pas inutile de relire ce qu'un magistrat sollicité par JLC75 en dit page 3202 ci-dessus:crapoduc a dit:Et enfin l'annexe 2 [lien réservé abonné] de l'article R.314-3 [lien réservé abonné]indique en sa partie II petit c que :
"L'écart entre les dates utilisées pour le calcul du TAEG, ainsi que pour celui du taux débiteur, est exprimé en années ou en fractions d'années. Une année compte 365 jours, ou, pour les années bissextiles, 366 jours, 52 semaines ou 12 mois normalisés. Un mois normalisé compte 30,416 66 jours (c'est-à-dire 365/12), que l'année soit bissextile ou non ;"
CdtCet ajout « ainsi que pour celui du taux débiteur », sur lequel la notice du décret reste muette (« Le présent décret comporte des dispositions d’application notamment relatives aux modalités d’offre, de distribution et d’exécution des contrats de crédit immobilier ainsi qu’à l’assiette et au calcul du taux annuel effectif global (TAEG). » est un "cavalier juridique" qui n'a rien à faire dans ce texte ; sa présence s'explique à l'évidence par la volonté de valider l'usage du mois normalisé pour le calcul des échéances pleines ; en 2016, les tribunaux n'avaient pas encore compris que l'année lombarde n'était illicite que pour les échéances brisées et les intérêts intercalaires de la période de préfinancement, et le ministère des finances, auteur du décret, a voulu prêter main-forte aux banques menacées par une jurisprudence délirante. Il faut donc limiter la portée de cet ajout au seul paragraphe concerné, et ne pas l’étendre au-delà, et notamment aux intérêts de l’échéance brisée".
https://www.moneyvox.fr/forums/fil/jurisprudence-annee-lombarde.35089/page-321#post-362974
Oui mais c'est la méthode de calcul du TAEG.crapoduc a dit:Il est bien question ici d'échéances brisées. Si elle est plus longue d'une période c'est la période (normalisée, 1/12, 30/360 ce que vous voulez) + nb jours exact/ 365 ou 366, si c'est plus court qu'une période c'est nb jours exact/ 365 ou 366.
Peut-être; je ne sais pas.crapoduc a dit:Je crois que le magistrat dont vous parlez est le même qui a écrit dans son article intitulé "Fin de la prohibition de l'année lombarde" suite à l'avis du 10 juin 2020 :"Les prêteurs peuvent donc impunément utiliser un taux débiteur clandestinement majoré de 1,39 % sur les échéances brisées et les périodes de préfinancement. Les emprunteurs en seront-ils réduits à opter pour la voie
pénale ? La mention d’un TEG et d’un taux débiteur exacts constitue une obligation pénalement réprimée (C. consom., art. L. 341-49 et L 341-37), et la chambre criminelle serait certainement moins indulgente que la première chambre envers les calculs approximatifs des établissements de crédit."
Aristide a dit:Oui mais c'est la méthode de calcul du TAEG.
Ainsi vous pouvez très bien avoirs les intérêts compris dans une échéance brisée calculés en "exact/360" mais que l'équation d'actualisation des échéances (y compris cette première échéance brisée mal calculée) qui conduit au calcul du TAEG soit conforme au texte que vous citez.
Il s'agit de deux choses/calculs différents.
C'est "l'exemple 5 bis" de l'annexe que vous citez.
Dès lors le TEG en tant que tel sera correctement calculé; ce sont les intérêts de la première échéance brisée qui ne le seront pas.
Peut-être; je ne sais pas.
Cdt
Oui.crapoduc a dit:Je comprends de cette annexe, tout comme ce juge éminent (le magistrat que nous citons est le même, il s'agit du juge Biardeaud) que les intérêts intercalaires doivent être calculés :
Sur ce point je pense que nous sommes d'accord. On verra si ma plainte aboutit et intéresse le procureur.
- si la durée est supérieure à une période : les intérêts de la période + jours exacts/année civile pour les jours en plus.
- si la durée est inférieure à une période : jours exacts/année civile
Je laisse le soins aux professionnels compétents de répondre.crapoduc a dit:En quoi, la cour d'appel de Limoges a t-elle mal appliqué le droit ??? C'est la cour de cassation qui ne respecte pas le droit et cela n'émeut personne (si un peu Messieurs @JLC75 et le juge Biardeaud).
crapoduc a dit:Ma question n'est pas le fruit du hasard, j'ai un nouveau prêt immobilier depuis quelques mois et je me suis rendu compte après édition du TA définitif et vérification du montant de la première échéance d'intérets intercalaires que mon nouvel établissement bancaire calcule les intérets en base 360. J'ai demandé quelques explications et j'ai reçu un joli courrier de la direction crédit France expliquant diviser par 36000....hallucinant !
Pour rappel l'article L341-49 [lien réservé abonné] du code de la consommation dispose que le fait de ne pas respecter les dispositions de l'article L. 314-5 [lien réservé abonné] est puni d'une amende de 150 000 euros.
L'article L. 314-5 [lien réservé abonné] indique que le taux effectif global déterminé selon les modalités prévues aux articles L. 314-1 à L. 314-4 [lien réservé abonné] est mentionné dans tout écrit constatant un contrat de prêt régi par la présente section.
Et enfin l'annexe 2 [lien réservé abonné] de l'article R.314-3 [lien réservé abonné]indique en sa partie II petit c que :
"L'écart entre les dates utilisées pour le calcul du TAEG, ainsi que pour celui du taux débiteur, est exprimé en années ou en fractions d'années. Une année compte 365 jours, ou, pour les années bissextiles, 366 jours, 52 semaines ou 12 mois normalisés. Un mois normalisé compte 30,416 66 jours (c'est-à-dire 365/12), que l'année soit bissextile ou non ;"
et en partie III :
"c) L'écart entre les dates utilisées pour le calcul du TAEG, ainsi que pour celui du taux débiteur, est exprimé en années ou en fractions d'années. Une année compte 365 jours, ou, pour les années bissextiles, 366 jours, 52 semaines ou 12 mois normalisés. Un mois normalisé compte 30,416 66 jours (c'est-à-dire 365/12), que l'année soit bissextile ou non.
Lorsque l'écart entre les dates utilisées pour le calcul ne peut être exprimé en nombre entier de semaines, de mois ou d'années, il est exprimé en nombre entier de l'une de ces périodes en combinaison avec un nombre de jours. En cas d'utilisation de jours :
i) chaque jour est compté, y compris les weekends et les jours fériés ;
ii) l'intervalle de temps est calculé par périodes normalisées et ensuite par jours en remontant jusqu'à la date du prêt initial ;
iii) la durée en jours est obtenue en excluant le premier jour et en incluant le dernier et elle est exprimée en années en divisant le nombre obtenu par le nombre de jours (365 ou 366) de l'année complète en remontant du dernier jour au même jour de l'année précédente ;"
Si jamais je venais à perdre mon procès (actuellement en appel) j'aimerais au moins que cette pratique inadmissible cesse. Une plainte vient donc d'être déposée auprès du procureur de la république. Si d'autres sont dans le même cas je tiens ma plainte à disposition.
El crapo