Impact de la crise sur l'immobilier

moietmoi a dit:
, c'est encore hors de prix...
oui mais bon , quand on regarde tes photos . dejà l'exterieur est assez " class" donc ca semble etre du quartier " bon niveau " non?
 
Je ne sais toujours pas ou c’est, ils ne lâchent rien😁
 
Tornado05 a dit:
Je ne sais toujours pas ou c’est, ils ne lâchent rien😁
Bah... d'après les agences immobilières qui ont mis les panneaux, c'est à Paris du côté du 11ème et 12ème ;)
 
Paris, inutile de regarder pour un quelconque investisseur, rentabilité plus que médiocre
 
Tornado05 a dit:
Paris, inutile de regarder pour un quelconque investisseur, rentabilité plus que médiocre
La rentabilité locative faciale certes.

Mais le rendement global est composite du rendement locatif ET de la plus-value à terme, (nette de fiscalité et de PS qui plus est)
 
CharlyBgood a dit:
La rentabilité locative faciale certes.

Mais le rendement global est composite du rendement locatif ET de la plus-value à terme, (nette de fiscalité et de PS qui plus est)
Pour une RP bien sûr mais pas pour un investisseur. Un investisseur ne doit pas regarder l’immobilier à Paris.
 
J'ai un collégue de taf qui bosse aussi chez IAD dans ses heures de repos.
il est dans le secteur pyrénéen moyenne montagne.
il me disait hier que les 3/4 de ses biens sont achetés par des gens des métropoles style bordeaux ou Toulouse, paiement CASH, et pas des petites sommes, jusqu'a 280 k€.
inversement beâucoup, mais beaucoup de difficultés à rentrer de nouveau biens... il est quasi à sec, comme ses collègues.

pour résumer, ceux qui ont de l'argent dans les banques veulent les sortir, ceux qui ont des biens ne veulent pas les vendre pour se retrouver avec des liquidités dans leurs comptes.
Le tout sans augmentation de prix toutefois.

A contrario, beaucoup de bien à vendre en appartement dans les stations de ski, et pour cause ...
On est dans la crise sanitaire, reste à voir ce que donnera la crise financière qui suivra.
 
Dernière modification:
yop1025 a dit:
inversement beâucoup, mais beaucoup de difficultés à rentrer de nouveau biens... il est quasi à sec, comme ses collègues
Idem pour 1 pote sur Annecy: faut être très introduit en amont dans le “off-market”
 
CharlyBgood a dit:
Idem pour 1 pote sur Annecy: faut être très introduit en amont dans le “off-market”
d'après les notaires en Ile de France le nombre de ventes à baisser de 12 à 16% pour le grand Paris..
 
C'est un fait, sur les secteurs que je suis, pénurie de nouveaux biens.
 
Cela fait un an que ce sujet a été créé. On dirait que la catastrophe prévue n'a pas eu lieu. J'y vois plusieurs raisons:
- le nombre de transactions, même si il a un peu chuté, ne s'est pas effondré,
- l’état, par un soutien massif à l'economie, a accompagné la crise et evité un choc plus important,
- l'épargne des francais a augmenté.

Aujourd'hui, il me semble que les prix se sont plutôt maintenus. On dirait que ca commence à coincer dans certaines grandes villes alors que la hausse des prix continue dans d'autres. J'ai un peu du mal à trouver des chiffres fiables... par exemple qu'en est-il a Toulouse ?
Sur les secteurs que je suis, je trouve qu'il y a quand meme un certain blocage : peu de nouveaux biens sur le marché alors que d'autres sont en vent depuis bien longtemps.

De quoi sera faite la suite ? Hausse des taux ? Baisse des prix à Paris et hausse ailleurs ?

Quels sont vos avis ?
 
wwolf1 a dit:
Cela fait un an que ce sujet a été créé. On dirait que la catastrophe prévue n'a pas eu lieu. J'y vois plusieurs raisons:
- le nombre de transactions, même si il a un peu chuté, ne s'est pas effondré,
- l’état, par un soutien massif à l'economie, a accompagné la crise et evité un choc plus important,
- l'épargne des francais a augmenté.

Aujourd'hui, il me semble que les prix se sont plutôt maintenus. On dirait que ca commence à coincer dans certaines grandes villes alors que la hausse des prix continue dans d'autres. J'ai un peu du mal à trouver des chiffres fiables... par exemple qu'en est-il a Toulouse ?
Sur les secteurs que je suis, je trouve qu'il y a quand meme un certain blocage : peu de nouveaux biens sur le marché alors que d'autres sont en vent depuis bien longtemps.

De quoi sera faite la suite ? Hausse des taux ? Baisse des prix à Paris et hausse ailleurs ?

Quels sont vos avis ?

Plutôt ok avec ton analyse. Perso pour évaluer l'évolution des prix dans les villes, j'utilise deux sites: Celui des notaires (avec 1T de retard au moins) et MeilleursAgents, par exemple sur Toulouse: [lien réservé abonné]
 
Ah oui j'avais un peu oublié ce site: ce ne sont pas des chiffres 'officiels' mais ils sont interessants. On note bien une baisse des prix dans cette ville sinistrée par la COVID.
 
wwolf1 a dit:
peu de nouveaux biens sur le marché alors que d'autres sont en vent depuis bien longtemps.
Comment vois-tu cela? Des biens ne restent pas longtemps, voire ne sont même pas publiés sur seloger.com par exemple. Il y a par contre beaucoup de biens en vente depuis longtemps, et les agences les rafraîchissent parfois l'annonce en faisant croire une "nouveauté", alors que bon, on vient bien par les photos que ce n'est pas le cas.
 
Je suis en details differents secteurs donc je connais l'etat du marché. Mais c'est très localisé..
 
Quoiqu'il en soit, aucun bien à la vente actuellement, je suis en alerte sur LBC dans mon secteur, la ou c'etait à foison il y a encore peu, là, c'est 0 pointé, et 1 rarement....
 
yop1025 a dit:
Quoiqu'il en soit, aucun bien à la vente actuellement, je suis en alerte sur LBC dans mon secteur, la ou c'etait à foison il y a encore peu, là, c'est 0 pointé, et 1 rarement....
Quelle région ?
 
streetroots a dit:
Quelle région ?
65 region Tarbes alertes sur les appartements T2 et T3 - de 100.000 euros
 
Idem dans le Doubs..
 
yop1025 a dit:
Quoiqu'il en soit, aucun bien à la vente actuellement, je suis en alerte sur LBC dans mon secteur, la ou c'etait à foison il y a encore peu, là, c'est 0 pointé, et 1 rarement....

A voir si ce constat est ou non plus général.

Si les vendeurs se mettent en position d'attente et diffèrent leur projet de vente, c'est dans l'immédiat un facteur de hausse du fait de la raréfaction des biens. Cependant, cela peut aussi être à moyen terme un moteur de baisse, si on assiste en sortie de crise à un afflux de biens sur le marchés (flux normal, gonflé de toutes les ventes qui ont été différées le temps de la crise).

En tout cas, il apparaît clair que pour le moment la catastrophe annoncée ne s'est pas produite et rien ne semble la présager tant que les taux restent bas (ce qui devrait être le cas pendant plusieurs années).
 
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