La première raison, et non négligeable, est que la signature « qualifiée » provoque une rupture dans la chaîne digitale car le signataire doit se faire préalablement reconnaitre « physiquement », par un représentant de l’organisme de signature, même si c’est par écran interposé. Cela réduit alors les bénéfices d’un parcours de souscription digitalisé et vient réinjecter de la complexité dans un processus voulu simple et agile.
La signature « qualifiée » est plus onéreuse que la signature « avancée », de l’ordre de six à dix fois. C’est un budget non négligeable à intégrer, surtout si plusieurs signatures sont apposées sur le bulletin de souscription.
Pour répondre à ces problématiques et proposer le meilleur dispositif à ses clients, Mipise a développé un protocole d’authentification forte à deux entrées, à la connexion de l’investisseur à son espace utilisateur et au moment de la signature. Par conséquent, les raisons du choix des clients Mipise à privilégier la signature « avancée » sont multiples. L’outil est doté d’un haut dispositif de sécurisation, propose un usage investisseur « user friendly » tout en demeurant moins onéreux.
En utilisant la signature « avancée », les clients Mipise répondent aux attentes de leurs investisseurs d’aller vers des processus de souscription fluides, simples et sécurisés.