Manu215
Contributeur régulier
Certes, certes...NicoNoclaste a dit:Bonsoir
Monsieur de La Palice n’eût pas dit mieux, mais je crains bien que beaucoup d’investisseurs entrés après l’affaire Terlat n’aient pas conscience de ce risque, ou inconsciemment le nient, confortés en cela par le taux quasi-nul de défaut jusqu’à présent ;

Mais c'est comme pour tout : il est parfois bon de rappeler l'essentiel!
Je te rejoins complètement là-dessus, ceux qui râlent le plus dès le petit retard ici ou là oublient le principal, considérant que les taux de réussite observés jusqu'à maintenant sont la norme, ce qui est faux évidemment.
Concernant le calcul du rendement, tu ne dois pas être loin de ce qui se pratique. Je pense néanmoins qu'il y a sans doute un peu plus de critères. Ce calcul est, comme tu le suggères, un numéro d'équilibriste.
Enfin sur l'immobilier dans les grandes métropoles, tu as sans doute raison, et pour aller plus loin, je me pose cette question depuis longtemps au sujet de l'attrait des régions hors grandes villes (car c'est comme l'oeuf ou la poule) : ce qui fait l'attrait d'un endroit, d'une région, d'une ville, est-ce la population qui s'y installe faisant venir peu à peu des commerces, les centres d'intérêts, ou cela passe d'abord par la logistique, en particulier le réseau de transports qui, eux sont décidés par les pouvoirs publics?
Autrement dit, qui entraîne l'autre?
Dans le cas de la désertification d'une région par les plus jeunes habitants (attirés par là où se trouve le boulot, forcément), la fermeture des commerces, puis du bureau de poste, puis de l'hôpital le plus proche, et enfin de la gare qui signe l'arrêt de mort, tout cela entraîne une chute du prix immobilier conséquente. Mais pour une ville "qui monte", qu'est-ce qui fait qu'elle monte?
Peut-être que tout est mêlé... Je ne sais pas...
Peut-être que notre ami @moietmoi saurait répondre à cette interrogation nocturne....