Bonjour à tous,
Voici une réponse à une sollicitation de @Voltrush sur plusieurs projets, qui pourraient concerner certains d'entre vous également.
LE CARROUSEL :
-Les porteurs nous ont indiqué et transmis en début d'année 2025 une décision d'EPORA de préempter les terrains et en réaliser l'acquisition au cours du mois de juillet. Puis, au cours du mois de juillet, les porteurs de projet nous ont indiqué que EPORA faisait preuve de lenteur sur leur traitement du dossier, retardant la vente en bloc des lots.
Puis, fin juillet, les porteurs nous ont indiqué qu'EPORA avait finalement abandonné la préemption du bien.
Suite à ce point, les porteurs nous ont fait parvenir les nouvelles suivantes :
"Sur Communay :
• Le premier terrain, dont la revente devait être finalisée en janvier avant la préemption, était sous compromis pour un montant de 175 000 €. La date de signature devait générer un reversement de 120 000 € pour LPB courant aout et le reliquat aurait été en octobre au plus tard.
• Le second terrain, précédemment sous promesse, restait en bonne voie. Avec une réitération sur fin d'année.
Sur Chaponnay :
• Concernant le terrain initialement prévu à la vente entre le 15 et le 31 janvier, la signature avait été décalée en raison de la préemption exercée puis abandonnée par le service de la mairie (EPORA), occasionnant un retard de 4 à 5 mois. Depuis, le hangar a été démoli et le terrain est désormais viabilisé.
• Le second terrain était sous compromis à 280 000 €, après une baisse de 70 000 €. L’accord final restait conditionné à l’obtention du permis de construire."
Au cours du mois de septembre, les porteurs nous ont indiqué que la vente du terrain à bâtir de Communay devait intervenir et qu'ils reverseraient le prix net vendeur à La Première Brique.
En parallèle, ils sollicitaient La Première Brique pour un financement de leurs fonds propres sur leur prochaine opération. Compte tenu de la mauvaise communication et de la situation brouillonne de Carrousel, nous avons refusé l'accompagnement de leur nouvelle opération.
Fin septembre, après deux relances des opérateurs, ces derniers nous indiquent que la vente a été passée, mais que l'argent aurait été redirigé par la banque vers le notaire accompagnant leur opération et a été consommé dans leurs fonds propres.
Ne pouvant croire cet exposé de la situation et supposant d'une mauvaise foi des opérateurs ne fournissant aucun justificatif, nous avons entamé semaine dernière des discussions pré-contentieuses avec les porteurs les obligeant a rapidement trouvé une solution.
Les discussions sont toujours en cours, le courtier les accompagnant nous a indiqué faire refinancer la dette La Première Brique. De notre côté, nous ne tolérerons pas le comportement des opérateurs vis-à-vis de nos investisseurs et préparons une mise en demeure de ces derniers.
LA MOUSSE :
Dernièrement, nous vous présentions les différentes actions engagées par nos porteurs de projet afin d’accélérer la résolution du dossier, notamment la mise en vente du bien des Issambres, la cession de plusieurs actifs de promotion, ainsi que des démarches de refinancement et de cession de parts de SCI. L’objectif restait inchangé : permettre un remboursement structuré et progressif de la dette.
Aujourd’hui, les avancées se poursuivent.

Une offre à 650 000 € a été reçue oralement, elle a été jugée trop basse par rapport au prix d’achat. En parallèle, un acheteur suisse s’est manifesté : il fait actuellement chiffrer les travaux avant de formuler sa proposition.Le bien est affiché à 885 000 € frais d’agence inclus (dont 35 000 € d’honoraires).Côté administratif, le permis de construire a été délivré et purgé depuis le 2 octobre 2024, confirmant la conformité du projet.

Les porteurs de projet restent déterminés à obtenir la meilleure offre possible, tout en privilégiant une vente rapide pour permettre la suite des discussions et définir les modalités de sortie avec les associés et La Première Brique.Nous vous tiendrons informés de la suite des évènements.
L'HERCULE
Nous avons dû réagir face au mutisme du porteur.
Pour être factuel :
Notre chargé d'affaires relance par tous les moyens, et depuis plusieurs semaines, le porteur sans réponse de sa part. De fait, notre service juridique lui a fait parvenir une mise en demeure, avant poursuites si besoin.
Nous ne manquerons pas de revenir vers vous lorsque nous en saurons plus.
Excellente journée à tous,