Bref, les entreprises les plus risquées ou aux prévisions les plus fantaisistes.
Attention, comme je le dis dans mon post d'entrée de file, tu as raison c'était le cas au début dans la naïveté et l'allégresse, à laquelle j'ai moi-même succombé. Depuis de l'eau est passée sous les ponts de la Garonne et pas que.
Un exemple: la société COMWATT à Montpellier (boitier de smart-grids électriques pour particuliers), a pour principal actionnaire Bertin Nahum le fondateur de MEDTECH, revendue y'" à 4 ans qq dizaines de millions. Hé bien COMWATT a été (co-) financée par Wiseed.
=> ce que je veux dire c'est que:
1°) le secteur a gagné en maturité et professionnalisme, ça se sait à l'extérieur
2°) Il y a maintenant des sociétés de stade elles-même plus matures qui y viennent; parfois plus par esprit que réels besoin de gfinancement
exemple récent: EkWateur qui est un opérateur d'énergie qui a réservé une poche de finct (hausse de capital) à ses clients par la P-F SOWEFUND. EkWateur revendique 450 000 Clients enFrance et est une Licorne, qui soit rachètera des concurrents, soit se fera racheter: il y a peu de chance que je perde ma mise.
Le problème reste de savoir particulièrement bien choisir: pour une entreprise qui fait x10, il faut avoir investi dans moins de 4 autres entreprises ayant fait faillite pour obtenir un maigre x2 ! (x2 en 10 ans, c'est une rentabilité anuelle de 7%, c'est à dire proche de ce qu'on trouve sur les marchés de larges cap, donc trop bas étant donné le profil de risque du crowd-equity)
Certes.
Sous réserves de ce que j'ai dit plus haut: ristourne IR et imputation des MV.
Après je n'oppose pas les cotées au non-cotées. Les unes se nourrissent des autres et vice-versa.
Le débat PME / ETI / Grosses boites est d'ailleurs très stérile de ce point de vue.
C'est un autre débat.