Bonjour à toutes et à tous, bon à vous lire, assez peu utilisent les cartes virtuelles et, contrairement à ce que semble dire ou pensent certains, c'est en constante augmentation. Si Bourosbank y est allé, croyez-moi c'est pas pour faire plaisir aux clients "retraités"... Y a de l'oseille à se faire...
Reste que la carte dite "prête à l'emploi" n'est pas taillée pour la sécurité du client, mais pour la facilité de gestion de la banque. On est chez Boursobank, ne l'oublions pas. C'est le modèle "Revolut", facile, pas cher, mais au premier pépin, il n'y a plus personne....
Une carte prête à l'emploi, c'est le montant de la demande d'autorisation de retrait, faite par le commerçant, qui va fixer le montant maximum pour cette carte.
À partir de là, seul le commerçant qui a fait la demande d'autorisation va pouvoir utiliser cette carte et ce jusqu'au montant demandé. Je le redis, de toute évidence, il va pouvoir se faire payer en plusieurs fois. (cas des commandes fractionnées)
Donc, pour répondre à @attentif, c'est donc bien le commerçant qui décide du montant maximum de la carte à concurrence bien évidemment de 200 €. Chez la concurrence française (LBP, SG, CM, Monabanq, Fortuneo,..), c'est l'émetteur de la carte qui fixe le montant maximum de la carte. C'est beaucoup plus sécure.
De plus on n'a accès au montant de la demande d'autorisation que si 3S Secure se déclenche. Sinon, on ne le sait pas. C'est le cas par exemple des distributeurs automatiques de carburant.
Pour ma part, je ne génèrerai que des cartes sur mesure. Le plafond maximum de la carte est beaucoup plus sûr que l'usage unique. Il est surtout opposable si, par malheur, la carte était utilisée frauduleusement.