Augmentation des impôts, en avant

Évidemment que c'est plein de gauchos l'EN.
Des gens qui veulent bien bosser dans
l'intérêt général pour des clopinettes, souvent au contact des pauvres et des immigrés, ça se recrute pas dans l'électorat LR ^^
 
greygandalf a dit:
aucun amalgame, mais certains sont très forts pour se créér des films avec le petit vélo qui tourne dans leur tete.
Par contre il y a des réalités qui ne doivent pas être tues, ne t'en déplaise

C'est quand même fort de café que la seule personne qui réfute l'amalgame soit celle auteur de l'expression "racaille en abaya" sur ce fil.

Non non, aucun amalgame, c'est sûr.
Et on laisse écrire ça.

Et la seule chose que le modérateur MoneyVox corrige c'est le supposé genre du vêtement ?

Je pense que "racaille" aurait suffit, non ? Sauf si on veut stigmatiser une population en particulier.
(hum, le vélo n'est peut-être pas dans la tête de celui qu'on croit...)


Sinon :
Le débat sur l'école, la différence public/privé, et les causes qui mènent à accentuer le cloisonnement social est très intéressant, tout comme les différences de points de vue que je lis sur leurs financements respectifs.
Il mériterait probablement son propre fil (on est sur le Bar après tout).

Et je ne suis pas pour mettre sous le tapis les problématiques (qu'elles soient fantasmées ou pas) que rencontrent certaines personnes face à une certaine tranche de la population en école publique, on peut en discuter, si cela à un impact et un lien avec la gestion économique du pays.

Mais si on peut le faire en mettant de côté la rhétorique xénophobe, ça me va aussi.
 
CyberOtter a dit:
C'est quand même fort de café que la seule personne qui réfute l'amalgame soit celle auteur de l'expression "racaille en abaya" sur ce fil.

Non non, aucun amalgame, c'est sûr.
Et on laisse écrire ça.

Et la seule chose que le modérateur MoneyVox corrige c'est le supposé genre du vêtement ?

Je pense que "racaille" aurait suffit, non ? Sauf si on veut stigmatiser une population en particulier.
(hum, le vélo n'est peut-être pas dans la tête de celui qu'on croit...)


Sinon :
Le débat sur l'école, la différence public/privé, et les causes qui mènent à accentuer le cloisonnement social est très intéressant, tout comme les différences de points de vue que je lis sur leurs financements respectifs.
Il mériterait probablement son propre fil (on est sur le Bar après tout).

Et je ne suis pas pour mettre sous le tapis les problématiques (qu'elles soient fantasmées ou pas) que rencontrent certaines personnes face à une certaine tranche de la population en école publique, on peut en discuter, si cela à un impact et un lien avec la gestion économique du pays.

Mais si on peut le faire en mettant de côté la rhétorique xénophobe, ça me va aussi.
Je pense qu'il te faudrait un peu étudier/revoir la théorie des ensembles, et/ou, inclus/exclus
Choisir un exemple est de fait le mettre en avant, mais ca ne veut pas dire que toutes les racailles sont en abaya, ni que tous les gens vêtus avec peu de gout et revendiquant leur communautarisme en dépit de l'intégration nationale souhaitée et souhaitable sont des racailles
 
greygandalf a dit:
le gouvernement Mitterrand a voulu rompre avec le communisme? avec la vague de nationalisations de 82 bien sur? hahaha
2 remarques
1 je ne parlais que du financement par nos impôts de l'école privée, fait qu'a voulu supprimer la réforme Savary, qui mettait dans un service unifié de l'éducation nationale toute école privée financée par les impôts
La droite a voulu et obtenu que le communisme d'état continue dans ce domaine.
2; c'est sous Mitterrand, époque appelée , période de l'argent roi, que mes premiers placements boursiers ont explosé et corrélativement que les salaires qui étaient auparavant indexés sur l'inflation ont vu cette indexation disparaître.
Les faits sont tétus: bonne période pour les capitaux et les entrepreneurs privés dans l'éducation,mauvaise période pour les salaires ( après la forte augmentation de 81.)
 
Exemple choisi innocemment bien sûr.
 
régalade a dit:
Exemple choisi innocemment bien sûr.
ou pas! c'est tout de même un fait saillant de la société francaise depuis facilement 30 ans
moietmoi a dit:
2 remarques
1 je ne parlais que du financement par nos impôts de l'école privée, fait qu'a voulu supprimer la réforme Savary, qui mettait dans un service unifié de l'éducation nationale toute école privée financée par les impôts
La droite a voulu et obtenu que le communisme d'état continue dans ce domaine.
2; c'est sous Mitterrand, époque appelée , période de l'argent roi, que mes premiers placements boursiers ont explosé et corrélativement que les salaires qui étaient auparavant indexés sur l'inflation ont vu cette indexation disparaître.
Les faits sont tétus: bonne période pour les capitaux et les entrepreneurs privés dans l'éducation,mauvaise période pour les salaires ( après la forte augmentation de 81.)
1. le communisme serait justement d'interdire toute autre école que l'école publique
2. c'est une coincidence. C'est au niveau mondial qu'à cette époque les marchés financiers ont été libéralisés et que le financement par le marché a augmenté. Vos profits viennent de là plutôt que de Mitterrand qui lui a essayé de mettre des batons dans les roues au secteur financier national
 
greygandalf a dit:
ou pas! c'est tout de même un fait saillant de la société francaise depuis facilement 30 ans
Les racailles en abaya ?
 
greygandalf a dit:
le communisme serait justement d'interdire toute autre école que l'école publique
Faire payer les salaires,( et autres) d'entreprises privées, par nos impôts,cela s'est revu lors de la crise sanitaire, mais c'est une anomalie du capitalisme avec une réminiscence du communisme.
Que l'on fasse des concessions de services publics à des groupes privés,si l'on estime que le service est mieux rendu, pourquoi pas, mais que l'on paye les salaires avec l'argent du contribuable c'est invraisemblable.
 
moietmoi a dit:
Faire payer les salaires,( et autres) d'entreprises privées, par nos impôts,cela s'est revu lors de la crise sanitaire, mais c'est une anomalie du capitalisme avec une réminiscence du communisme.
Que l'on fasse des concessions de services publics à des groupes privés,si l'on estime que le service est mieux rendu, pourquoi pas, mais que l'on paye les salaires avec l'argent du contribuable c'est invraisemblable.
Ca n'a rien d'anormal, il s'agit d'entreprises privées avec une mission de service public. Une situation plus ou moins comparable existe par exemple pour les cliniques et hôpitaux privés
 
moietmoi a dit:
Faire payer les salaires,( et autres) d'entreprises privées, par nos impôts,cela s'est revu lors de la crise sanitaire, mais c'est une anomalie du capitalisme avec une réminiscence du communisme.
Que l'on fasse des concessions de services publics à des groupes privés,si l'on estime que le service est mieux rendu, pourquoi pas, mais que l'on paye les salaires avec l'argent du contribuable c'est invraisemblable.
Vous parlez des salaires des enseignants de l'enseignement privé?
Ce n'est pas l'état qui paie leurs salaires.

Je n'ai qu'un exemple personnel à ce titre donc cela concerne les écoles maternelles et primaires, pour les collèges et lycées, ce sont le département et la région qui sont impliqués.
La commune verse un montant fixe par élève à l'organisme qui gère l'école. Montant qui est identique à celui des écoles publiques.
C'est l'organisme de gestion qui ensuite fait les fiches de paie des enseignants.

A titre purement informatif, ce montant reçu ne couvre pas du tout le budget de fonctionnement de l'école, il était pour nous d'environ 40%.
La gestion financière de l'école est effectuée par un organisme associatif dont les membres sont bénévoles, en étant assisté par le chef d'établissement lors de ses jours de décharge.

Une nouvelle fois, il s'agit d'un exemple personnel, avec une école d'une centaine d'enfant (maternelle et primaire). Je ne sais pas pour le reste.

Honnêtement, je pense que l'école privée revient moins cher à l'état qui se déleste de la gestion du personnel, de l'entretien des bâtiments et autres frais afférents.
D'ailleurs les petites structures privées disparaissent à vitesse grand V, les économies d'échelles sont partout.
 
nelson_a a dit:
Le nouveau premier ministre juge que la situation est très grave.
Soit il ment (ce que je ne crois pas) comme tous les autres qui veulent toujours critiquer ce qui a été fait avant ("les caisses sont vides" , "pognon de dingue" etc), soit il dit la vérité et il faut savoir pourquoi on en est là.
Faire un état des lieux c'est la moindre des choses. Peut être que toutes ces dépenses et cet endettement stratosphérique étaient justifiés (après tout on s'est tapé une pandémie), mais ce serait bien qu'on soit transparent avec les gens.
Pas qu'on décide comme ça d'augmenter les impôts (heureusement que le gars est de droite...)

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Après, dans la dette, il y en a une partie à taux 0, voire à taux négatif.
Quelle part, je ne sais pas.
Par contre s'endetter à taux négatif correspond à un enrichissement à terme.
 
agra07 a dit:
Après, dans la dette, il y en a une partie à taux 0, voire à taux négatif.
Quelle part, je ne sais pas.
Par contre s'endetter à taux négatif correspond à un enrichissement à terme.
Détrompe toi
Notre génie Bruno Le Maire a continué de lever des OATi indexés sur l'inflation (a hauteur de 20 milliards ...)

Il a prétendu que c'était "à la demande très précise des assureurs, de l’assurance-vie, du Livret A et du Livret d’épargne populaire".

Or de 2017 à début 2021, il n'y avait strictement AUCUN interet a emprunter en indexant sur l'inflation vu que les taux alternatifs proposés a l'Etat étaient meilleurs ...
 
MDacier a dit:
Détrompe toi
Notre génie Bruno Le Maire a continué de lever des OATi indexés sur l'inflation (a hauteur de 20 milliards ...)

Il a prétendu que c'était "à la demande très précise des assureurs, de l’assurance-vie, du Livret A et du Livret d’épargne populaire".

Or de 2017 à début 2021, il n'y avait strictement AUCUN interet a emprunter en indexant sur l'inflation vu que les taux alternatifs proposés a l'Etat étaient meilleurs ...
Il faudrait d'abord analyser la structure de la dette.
Perso je n'y connais rien mais j'aime les ordres de grandeur: 3200 milliards de dette pour 40 millions de foyers fiscaux, ça fait 80 000€ par foyer fiscal si je ne me trompe. Si on étale sur 10 ans, 8 000€ par an, sauf que seulement la moitié des foyers fiscaux paient l'IR donc 16 000€ en moyenne pendant 10 ans pour les foyers fiscaux qui paient l'IR.
 
agra07 a dit:
Après, dans la dette, il y en a une partie à taux 0, voire à taux négatif.
Quelle part, je ne sais pas.
Par contre s'endetter à taux négatif correspond à un enrichissement à terme.
Trompeur ou naif tout ca... Des emprunts à taux négatif il y en a très peu par rapport au stock total que nous avons. Ca fait déjà un moment que les taux sont revenus en territoire positif!
Mais de toute façon un endettement, peu importe son taux, induit un enrichissement, si les fonds empruntés génèrent une rentabilité supérieure au taux d'emprunt
 
MDacier a dit:
Détrompe toi
Notre génie Bruno Le Maire a continué de lever des OATi indexés sur l'inflation (a hauteur de 20 milliards ...)

Il a prétendu que c'était "à la demande très précise des assureurs, de l’assurance-vie, du Livret A et du Livret d’épargne populaire".

Or de 2017 à début 2021, il n'y avait strictement AUCUN interet a emprunter en indexant sur l'inflation vu que les taux alternatifs proposés a l'Etat étaient meilleurs ...
arrête de casser du sucre sur le Maire alors que le refinancement de la dette française est géré par des professionnels qui savent très bien ce qu'ils font. Si des obligations indexées sur l'inflation ont été utilisées c'est qu'il existe une bonne raison qui t'échappe. Ce n'est pas le ministre des finances dans son bureau qui décide d'utiliser tel ou tel instrument financier, mais les spécialistes de Bercy. Ce ne sont pas des décisions politiques
 
greygandalf a dit:
Trompeur ou naif tout ca... Des emprunts à taux négatif il y en a très peu par rapport au stock total que nous avons. Ca fait déjà un moment que les taux sont revenus en territoire positif!
Mais de toute façon un endettement, peu importe son taux, induit un enrichissement, si les fonds empruntés génèrent une rentabilité supérieure au taux d'emprunt
Oui, mais je ne vois pas comment transposer ce principe au niveau d'un état.
 
Tout dépend si la dette finance le train de vie, le social ou des investissements pour le futur qui créeront des emplois.
 
agra07 a dit:
Oui, mais je ne vois pas comment transposer ce principe au niveau d'un état.
pour la rentabilité d'un endettement d'Etat? c'est comme pour une entreprise...
Si tu t'endettes à un certain taux mais que tes ressources sont ainsi utilisées pour stimuler l'innovation, la compétitivité, la conso des ménages... mais pas pour payer des fonctionnaires par exemple
 
greygandalf a dit:
arrête de casser du sucre sur le Maire alors que le refinancement de la dette française est géré par des professionnels qui savent très bien ce qu'ils font. Si des obligations indexées sur l'inflation ont été utilisées c'est qu'il existe une bonne raison qui t'échappe. Ce n'est pas le ministre des finances dans son bureau qui décide d'utiliser tel ou tel instrument financier, mais les spécialistes de Bercy. Ce ne sont pas des décisions politiques
Autant économiser le coût d'un poste de ministre alors !
 
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