Arnaque au taux variable du Crédit Foncier

la dernière phrase signifie que les frais de renégos (les 650 €) sont bien compris dans le taux global (TEG) mais pas dans les intérêts du prêt.

c'est jouer sur les mots pour si peu mais c'est de la pacotille sans conséquences.

le taux est assez correct mais il y a fort à parier qu'une banque traditionnelle pourra s'aligner et même faire mieux.

vous avez 15 jours pour renvoyer cet avenant, profitez-en pour aller voir 2-3 banques classique et tenter un rachat :clin-oeil:
 
Stunt38,

Vous auriez une réponse à la question de kat?
 
IL m'as pris de vitesse!! merci stunt38
 
bonjour à tous ,

une de plus sur la liste :triste:

j'ai contracté un prêt tibeur 3 mois avec CAP 1.5 qui a disparu!! chez entenial novembre 2005 (du CF) et là me voila dans l'impasse, notre conseiller est partit loin d'ici !!! entenial a fermé !!! et je me retrouve avec un taux à 6.10% j'ai rien amortit depuis et je dois 3 ans de plus!!! :colere:

Effectivement j'aurai besoins de conseilles pour passer à taux fixe raisonnable sans perdre trop de plumes !! et quelles sont les démarches appropriées ?
y a t'il possibilité de négociations?

merci pour votre aide
severine89
 
Bonjour à tous
nous avons signé avec une banque 5 % TAUX FIXE sur 25 ans nous attendons la réponse (car peut être problème d'assurance car problème de santé) mais logiquement d'après le banquier pas de problème car on lui a expliqué que si ça ne passé pas on avait une assurance spéciale avec une association donc nous croisons les doigts et bon courage à tous
 
Bonsoir Stunt,

Oui pour les frais de négo, impossible d'y échapper manifestement. C'était le montant déjà inscrit dans le contrat de prêt, pour une fois pas de surprise.
C'est toujours le terme "et charges" qui me perturbe ?
Par contre vous semblez bien tous comprendre que dans ce cas de figure qui est donc une renégociation et non un avenant (est ce cela qui change quelque chose), ça semble donc être du vrai fixe avec ce montant sur les 26 ans et 11 mois exactement ? On a presque du mal à y croire.
J'ai encore 3 RV banques mais pour l'instant les 4 autres déjà passés m'ont donné des mensualités bien supérieures et je ne peux pas.

Sinon pour Séverine, un courrier simple tout bête semble apporté plus de succès qu'un recommandé. Pour l'Ile de France, adresse :
Crédit Foncier
Direction de la gestion client
40 Avenue des Terroirs de France
75584 Paris Cédex 12
Si vous avez la possibiité de faxer, encore mieux au moins vous êtes certain de l'arrivée : 0157449704
Par contre je ne sais pas si l'on utilise ces mêmes coordonnées pour la Province ou si l'on dépend éventuellement d'autres centres.
De plus il y a l'action du COLLECTIF si vous voulez vous inscrire, toute info est intéressante à prendre. Bon courage.
 
@katt94 :

le TEG doit tout englober dans la nouvelle offre et ne réserver aucunes mauvaises surprises.
les charges, je ne vois pas trop ce dont il s'agit, peut être les frais de renégos ?? à confirmer mais sans le document sous les yeux c'est dur de répondre avec exactitude.

s'il n'y a pas de terme du genre "indexation", "révision", "augmentation", "variation" c'est du vrai fixe, mais n'hésitez pas à poster les phrases ambigu pour en être sur.

Cdt :clin-oeil:
 
Kat94 a dit:
Coucou Xavier,

Justement c'est la question que je me pose :
Ta mensualité reste fixe du début à la fin du prêt?

Un terme qui me laisse perplexe : taux fixe et charges ! Ca veut dire quoi "et charges"

Je n'ai aucune autre explications ou lignes supplémentaires.

J'ai recopié en rouge l'intégralité du texte, juste la fin de phrase me disant que j'ai 15 jours pour accepter et la formule de politesse ensuite

Les "experts " en disent quoi. Vos avis SVP

bonjour Kat94
Tu vient de recevoir la troisième offre (prêt à taux fixe 5,25% et charges par paliers durée 29 ans ,définition des charges par paliers: 712,42€ jusqu'en 2024 puis 531,40€ jusqu'en 2027 puis 1086,68€ jusqu'en 2037 ) que mon ami a reçu après l'avenant qui est a mon avis le seul valable .:ironie:
RAISONS :
Une renégociation du prêt annule le prêt initiale donc difficulté par la suite pour faire reconnaitre la tromperie en justice ainsi que les dommages subit , et coûte 650€ de frais .:diable:

Un rachat par une banque concurrente coûte trop chère :
frais de dossier , voir frais de courtier , frais de levé d'hypothèque , ou perte d'une parti de la caution si cautionnement , nouvelle prise de garanti (hypothèque , PPD , ou cautions ) et bien évidement frais de remboursements anticipé:diable:

accepter l'avenant ne change pas les conditions du prêt mais seulement le taux révisable en taux fixe 5,40%.
Article 6 Conséquences des modifications intervenues .
page 5/16
ce qui vous permettra de faire reconnaitre en justice que le prêt était rédigé de manière a tromper le consommateur délibérément .
Car la close qui défini le taux de 4,85% comme taux maxi du prêt mais dit par la suite que ce taux est distincte de celui servant de calcul des échéances .
Est incompréhensible cette close est apparue sur les prêts en 2006 lorsque les taux était au plus bas , ce qui permettait de faire un maximum de prêts pour les personnes que l'endettement n'aurais pu le permettre avec un taux plus élevé . Et sachant que ceci remonterais et obligerais les consommateurs a passer a un taux fixe supérieur a celui indiquer comme taux maxi :cri:

ps : je me bat contre le foncier pour plusieurs erreurs dans mes prêts ;
voir mon site [lien réservé abonné] .
Je vais donner sur ce forum un n° de tel mobile dès que j'aurais pris une carte mobile libre pour renseigner tous ceux qui le souhaite dans leurs intérêts et pas celui du foncier .
beaucoups de courages pour tout le monde .
 
lundi 16 juin 2008, 03:52:00 | MAXIME/GOLIATH
Monsieur,
Courrier adressé également un dossier à l'AFUB, la Commission Bancaire, à «l'UFC-QUE CHOISIR » et à la Direction Départementale de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes-Pour vous informer d'un litige nous opposant mon épouse et moi-même au ***********, avec lequel nous sommes en procédure, ainsi que plusieurs manquements et fraudes de leur part.

LES FAITS : Nous avons acheté en septembre 2003 une maison avec comme moyen de financement proposé par le ********, un prêt PAS et afin d'anticiper la vente de l'appartement de mon épouse, un prêt relais en complément destiné d'une part, à rembourser par anticipation, le prêt initial de cet appartement et d'autre part venir en complément du prêt PAS ainsi que les frais y afférents (frais notarié, garantie hypothécaire –PPDN-) pour parfaire l'acquisition.
Au bout de deux ans, l'appartement de mon épouse (malgré 16 mandats d'agences et des déboires avec certains agents immobilier) ne s'est pas vendu.
En septembre 2005, nous avons reçu un courrier du ******* demandant le remboursement du prêt relais pour un montant de 198.000 € et que les intérêts seraient majorés de 3 points par mois de retard. Après avoir pris contact à l'agence de TOULON, sans aucune étude réelle et malgré les explications concernant la non vente du bien immobilier, il nous a été répondu que ce n'était aucunement envisageable (pas de ressources suffisantes pour passer le prêt en amortissable)

Nous avons donc écrit au ****** PARIS (Service du Contentieux) pour leur indiquer et proposer nous-mêmes des solutions, savoir :
1°) la mise en place effective d'un locataire afin d'augmenter nos revenus pour passer le prêt relais en amortissable, comme demandé initialement.
2°) mise en vente de notre résidence principale, acquise seulement… deux ans plus tôt à l'aide des prêts relais et PAS, afin d'éviter une solution qui se profilait à l'avenir vers la vente aux enchères ; un montant de 1000 € de plus par mois venait s'ajouter à la somme due (4,05% du taux du prêt majoré des 3 points comme indiqué plus haut) et de ce fait nous endettait volontairement. Il n'y avait aucun risque pour le ******* car nos deux biens réunis étaient estimés à plus du double des prêts octroyés, le ******* n'aurait eu aucun mal à récupérer les sommes empruntées. Nous pensons (et espérons) que le but d'une banque n'est pas de mener ses clients à la ruine, sans proposer une solution alternative, d'où le devoir de conseil ! Nous n'avons eu aucune réponse de leur part si ce n'est un T.I.P tous les mois, majoré des intérêts de retard… puis un courrier en août 2006 pour nous signifier une inscription FICP ce qui bien sûr ne faisait qu'aggraver notre cas, à partir de cette date, aucune banque ne voulait plus nous restructurer. Pourtant nous remboursions tous les mois le prêt PAS sans aucun problème.

En date du 13 octobre 2006, nous recevions une assignation des plus fantaisistes, indiquant en outre « qu'en dépit de relances les consorts ------ n'ont pas cru devoir rembourser les sommes empruntées » ; ceci est faux car nous avons tout mis en œuvre pour trouver des solutions, sans compter que dans le même temps, nous avons reçu une inscription d'hypothèque judiciaire d'urgence sur le bien en prêt relais, lequel prêt relais contenait une promesse d'affectation hypothécaire (page 19 sur 21 de l'offre de prêt signée le 13 août 2003 valant contrat) sous prétexte que nous étions en train de vendre notre résidence principale (et pour cause, c'est nous même qui l'avions proposé) acquise avec les deniers du *********, laquelle résidence principale contrairement aux assertions contenues dans l'assignation était garantie par un privilège de prêteur de deniers, mentionnée dans l'offre de prêt (page 5 du prêt PASS n°00000000F d'un montant de 164.318 €uros consentie également par le ******* et faisant partie intégrante de l'offre de financement global et enregistrée à la conservation des hypothèques en date du 17 octobre 2003,)

En conséquence, cette assignation étant mensongère, visée d'une part à induire le Juge en erreur pour obtenir rapidement la première ordonnance d'hypothèque judiciaire et d'autre part, conduit à une intention délibérée de nous nuire, le ****** ayant toutes les garanties nécessaires, la vente de notre résidence principale n'aurait pu passer inaperçu dans les services du ********, le Notaire étant obligatoirement tenu de rembourser l'organisme prêteur… le caractère de « danger imminent » condition requise pour l'obtention d'une prise d'hypothèque judiciaire n'était de ce fait pas démontrée, ce qui n'a pas privé le ****** de nous causer un nouveau préjudice suite à la vente du bien en prêt relais, qui s'est finalement vendu le 11 octobre 2007, alors même que le Notaire en charge du dossier était en possession des fonds depuis le… 12 septembre 2007, lequel restait dans l'attente de l'autorisation du ******* pour la mainlevée qu'il a finalement reçue le 26 septembre 2007 et par laquelle il était stipulée que nous devions faire notre affaire personnelle de la plus value taxable (10.722 €), créant par la même un contentieux avec les services fiscaux, sachant bien évidemment que nous ne pouvions pas régler ladite plus value, cette dernière devant être acquittée le jour de la vente par le Notaire comme la loi l'exige, cette façon de procéder s'apparente à un véritable chantage, alors même que cette prise d'hypothèque n'était pas valide ! Toujours dans le même courrier, il était également mentionné que nous devions en outre formuler des propositions s'agissant du reliquat de la créance pour 50.600 €uros, la plus value pouvant être intégrée à ce reliquat, sous réserve de la validité du détail du reliquat annoncé.

S'AGISSANT DU DEVOIR DE CONSEIL : A aucun moment et dès la fin de la première période du prêt relais, le ****** nous a demandé où nous en étions de nos démarches s'agissant de la vente de l'appartement, sachant qu'une année venait de s'écouler, alors même que dans le contrat de prêt, il est mentionné en page 2 sur 21 dans le § durée que « l'emprunteur s'engage à produire à tout moment, à première demande du prêteur, le ou les mandats de vente qu'il aura donnés » La prise de position du ***** ne saurait être si inéquitable dès lors que ce dernier a une obligation de conseil et doit respecter les situations exceptionnelles, tel n'a malheureusement pas été le cas.

De plus, après vérification dans un premier temps, du contrat de prêt référencé n°00000000 B (Prêt relais) il s'avère que ce dernier est porteur d'erreurs s'agissant du montant du T.E.G. En effet, le montant du prêt ci-dessus mentionné pour 182.936 €uros au taux de 4,05% fait apparaître un T.E.G. de 4,52% qui tient seulement compte de l'assurance décès-invalidité) au lieu de 4,13% mentionné dans tous les documents (offre de prêt, assignation et notification d'inscription hypothécaire) ainsi que le prêt PAS lequel fait apparaître dans les mêmes conditions de calcul un T.E.G. de 4,83% qui tient seulement compte de l'assurance décès-invalidité) au lieu de 4,05%.

Ces deux prêts paraissant de ce fait erronés, en date du 18 avril 2007, nous avons reçu en réponse à une demande de calcul plus approfondie, un courrier nous recommandant de faire établir une expertise par un expert financier que nous n'avons pas pour l'instant diligentée, mais en date du 18 décembre 2007, une nouvelle constatation venait corroborer nos doutes après avoir communiqué les deux prêts et des prêts antérieurs consentis également par le ******* (étant précisé que nous avons été clients fidèles pour différents biens acquis par leur biais et avons toujours réglés nos échéances) à la Direction Départementale de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes du Var.
 
Dernière modification par un modérateur:
Il est démontré que pour l'ensemble desdits prêts, les calculs de T.E.G. n'ont pas été respectés suite au contrôle de la D.D.C.C.R.F. se trouvant de ce fait viciés (article L 312-8 et L 313-1 du Code de la Consommation) Il apparaît donc que cette pratique serait habituelle du ********, car apparaissant sur différents prêts, à différentes époques aux dires du contrôleur.
Or, d'après le Décret n°85.944 du 4 septembre 1985 – DEFRENOIS 1986,33691, p.355) l'article L 312-8 4° prévoit la mention sur l'offre d'une évaluation du coût des sûretés exigées, coût qui doit inclure (information de l'emprunteur oblige) l'ensemble nécessités par ces sûretés, s'il y a prise d'hypothèque l'évaluation doit ainsi tenir compte du coût d'inscription mais aussi des autres droits et débours payés au Trésor et des émoluments du Notaire ; cette évaluation devant être faite réaliste, elle a de ce fait une précision suffisante pour effectuer un calcul significatif et le T.E.G. indiqué sur l'offre devra tout naturellement en tenir compte…
Les prêts litigieux sont référencés sous les numéros suivants : Prêt N° 00000000000 B (prêt relais)  Prêt N° 0000000000 F (prêt PAS)  Prêt N° 0000000000000 T (prêt initial en 2002 concernant le bien de mon épouse)  Prêt N° AS 0000000 H (prêt contracté en 1996)
Nous avons donc décidé d'adresser à un expert financier l'ensemble des prêts afin de calculer le T.E.G. exact, en prenant compte, cette fois ci, de l'intégralité des éléments qui doivent être inclus pour le calcul du T.E.G. de manière à demander la déchéance du droit aux intérêts et/ou l'annulation des contrats de prêts pour les différentes périodes et si un ou plusieurs prêts s'avéraient usuraires, nous en donneront également la suite qui convient. Beaucoup de nos proches ont contracté des prêts au ******, nous leur avons donc conseillé d'en faire de même.

CONCERNANT L'ACHARNEMENT ET LA VOLONTE DE NOUS NUIRE : En date du 28 novembre 2007 et malgré avoir remboursé par la vente de l'appartement une grosse partie de la créance, nous recevions une nouvelle notification d'inscription hypothécaire provisoire sur notre résidence principale, invoquant une créance 68.806,93 €uros, alors même qu'en date du 26 septembre 2007 par courrier adressé au notaire chargé de la vente, il était demandé un montant à solder de 50.600 €uros, avec mention « les emprunteurs devront en outre formuler des propositions pour le reliquat de la créance » et mention manuscrite en marge «ceci n'est pas une condition de l'accord de mainlevée mais le vendeur doit faire des propositions au ***** pour apurer ses dettes » (copie ci-jointe)
En conséquence, la créance de 68.806,93 €uros, objet de l'hypothèque n'est pas justifiée du fait d'une part que dans l'intervalle de deux mois, la somme initiale a été majorée de plus de 18.200 €uros, sans détail, ni justificatif joint et encore une fois, pour faire apparaître un danger imminent de ne pas pouvoir récupérer cette somme d'argent, condition requise pour l'autorisation du Juge, le Crédit ****** invoque cette fois ci les risques de « l'organisation de l'insolvabilité par les débiteurs » ; ceci est totalement faux, non justifié, diffamatoire et impossible du fait que notre résidence principale « qui est susceptible d'être vendue à tout instant », a une valeur aux alentours de 490.000 €uros au 27 septembre 2006, suivant rapport d'expertise que nous avons fait établir afin de donner le maximum de garantie.
N'étant grevée par la seule prise de garantie du nouvel organisme financier qui a bien voulu nous restructurer en date du 30 juillet 2007, ledit prêt est grevé par une hypothèque conventionnelle pour un montant de 200.000 €uros, ce qui fait apparaître en « cas de vente » de ce bien un différentiel de plus de 250.000 €uros qui ne peut en aucun cas être occulté et de ce fait, ne peut nous rendre insolvable, sachant que la création volontaire d'une insolvabilité est répréhensible et punie par la loi.
Il ne nous est donc pas possible de déposer un dossier de surendettement à la Banque de France, d'ailleurs, lorsque nous étions surendettés, nous ne l'avons pas fait, préférant rembourser fidèlement nos dettes.
Pour qu'un tel dossier soit accepté, la commission de surendettement commencerait par nous faire vendre nos biens, ce qui solderait allègrement nos dettes, n'ayant donc aucune utilité, surtout pour se soustraire à une somme qui à ce jour et au vu de ce qui précède n'est pas établie et chiffrée avec certitude.

CONCERNANT LE REMBOURSEMENT ANTICIPE DU PRET PRINCIPAL : Lors de la restructuration en date du 30 juillet 2007 avec le nouvel organisme bancaire, le ****** a adressé au notaire un premier décompte faisant apparaître l'indemnité de remboursement anticipé pour un montant d'environ 3.000 €uros (un semestre d'intérêts) Un second décompte volontairement modifié et majoré lui a été transmis faisant cette fois-ci apparaître une indemnité de remboursement anticipé d'un montant de 4.479,18 €uros (3%)
Nous avons fait part et demandé en date du 31 juillet 2007 par télécopie à notre notaire, après vérification du second décompte totalement erroné, de prendre en compte le décompte initial qui correspondait au montant réel à solder comme il était stipulé en page 27, paragraphe 9 dans le contrat de prêt du *****, savoir que cette indemnité ne pouvait excéder un semestre d'intérêts au taux moyen du prêt. Le Notaire a réglé au ****** la somme de 4.479,18 €uros !
En date du 09 novembre 2007 soit trois mois plus tard, le notaire nous écrivait qu'effectivement le ****** était détenteur d'un « trop perçu » et allait procéder au remboursement.
En date du 03 décembre 2007, nous avons téléphoniquement relancé le Notaire s'agissant du remboursement. Ce dernier nous indiquait qu'il relançait à nouveau le *******, ce dernier s'étant engagé depuis plusieurs semaines à procéder à cette carence.
A ce jour, après une dernière télécopie adressé en date du 04 décembre 2007 à notre notaire, nous sommes sans nouvelles et toujours pas remboursés.

Nous avons de ce fait déposé plainte auprès du Procureur. Nous avons adressé également un dossier à l'AFUB, la Commission Bancaire et à «l'UFC-QUE CHOISIR » dont nous sommes adhérents et entendons porter ces affaires à d'autres associations de consommateurs, divulguer et médiatiser l'ensemble de ces manquements et acharnements. ***

Nous vous prions de croire, Monsieur, en l'assurance de notre considération distingué
 
Dernière modification par un modérateur:
Maximegoliath merci de faire de l'éclaicisement dans vos lettres (fonction éditer) c'est illisible.
 
Je confirme il faut être motivé pour relire la lettre sous cette forme et surtout avoir de bons yeux!!
 
Bonjour Maximegoliah,

Merci pour ta réponse.
Excuse moi d'insister, peut être dure à comprendre mais j'avoue ne pas saisir quand tu dis :

"Tu vient de recevoir la troisième offre (prêt à taux fixe 5,25% et charges par paliers durée 29 ans ,définition des charges par paliers: 712,42€ jusqu'en 2024 puis 531,40€ jusqu'en 2027 puis 1086,68€ jusqu'en 2037 ) que mon ami a reçu après l'avenant qui est a mon avis le seul valable ."

Pourquoi 29 ans ? Et c'est quoi c'est montants exactement ? J'ai rien de la sorte d'inscrit.

Ca m'amène à 26 ans + 11 mois et seu le montant de la mensulité est indiquée.

Pour Stunt également, c'est clair que je ne peux pas scanner le papier mais il n'y a rien d'autre d'inscrit que ce que j'ai recopié en rouge dans mon précédent message.

Donc je pars de la mensualité et si je comprends bien ça semble donc être du vrai fixe ????

Merci en tous les cas pour votre aide et bon courage à tous
 
Bonjour,

Mon conjoint et moi avons souscrit en décembre 2006 un prêt immobilier au crédit foncier de Blois (41) par l'intermédiaire du Crédit Social des fonctionnaires pour financer la construction de notre maison. Il est composé en réalité de 3 prêts : prêt à taux 0 % + prêt Vivrelec habitat neuf + prêt PAS Objectif 1 à 3,60 %.
Nous venons de signer l'attestation d'achèvement des travaux (en juin 08) et nous devrions donc commencer à rembourser le prêt en août. Je suis tombée hier par hasard sur une discussion concernant les prêts révisables soit disant capés accordés par le crédit foncier et j'ai reconnu le nom de notre prêt, Objectif 1. Je n'avais jamais entendu parler jusque là de cette affaire et je n'ai pas dormi de la nuit, complètement paniquée par ce qui nous attend le mois prochain.
Lors de nos différentes rencontres avec la conseillère clientèle du CF entre octobre et novembre 2006, il avait toujours été question d'un taux capé, c'était même une condition clairement exprimée et réitérée de notre part. Je me souviens parfaitement qu'elle nous avait rassuré et expliqué que grâce à cette sécurité notre mensualité n'augmenterait jamais et que seule la durée s'allongerait. Sinon, nous n'aurions jamais accepté le prêt ! Nous avions demandé un taux fixe ou un taux variable capé uniquement !
A la réception du contrat, nous avons relu le plus attentivement possible mais, je l'avoue, sans vraiment comprendre les termes utilisés. Mais tout avait été tellement clair, du moins je le croyais, à l'agence que nous ne nous sommes pas méfiés. Donc, hier après avoir lu les messages alarmants de clients trompés, je me suis replongée dans le contrat et j'ai vainement cherché la mention "capé" dans le descriptif du prêt Objectif1.
Voici ce qui est décrit dans le paragraphe Fonctionnement du prêt :
Taux révisable à compter du 12 ième mois suivant le point de départ de l'amortissement sur la base du taux Interbancaire Européen à un an, constaté le 1er jour ouvré du mois de la révision majoré d'une partie fixe de révision de 1,50 % et ensuite tous les 12 mois après la première révision. Le taux maximum servant au calcul des prélèvements est de 5,10 %. Ce taux est distinct du taux d'intérêt. Pour moi, c'est du chinois !
Pouvez-vous me dire si nous faisons partie des clients abusés ? Si c'est le cas, et je le crains, nous rejoindrons le collectif. Mais, en attendant, que devons-nous faire ? Nous n'avons reçu qu'un courrier très vague en début d'année nous proposant un taux fixe à 5,95 % je crois, je ne l'ai pas conservé.

Merci de vos réponses
Vous pouvez également nous joindre à cette adresse mél : ***********
 
Dernière modification par un modérateur:
je suis desole pour toi magsyl, mais tu fait aussi parti des gens abusé

c est la phrase"Le taux maximum servant au calcul des prélèvements est de 5,10 %. Ce taux est distinct du taux d'intérêt." qui donne tout sont sens au pret

en gros cela veut dire que tes mensualites ne peuvent pas monter indefiniement (mais assez pour que cela fasse mal )
par contre le taux d interet peut aller ou il veut
 
En résumé c'est ça, le CAPE n'est que sur la mensualité et la durée les intérêts eux non.

Pour la panique t'as encore un peu de marge.

La première année vous êtes en fixe sur le taux de base qui figure dans votre prêt, au bout de cette première année vous serez en révisable 12 mois. Vous Avez donc un an pour sortir de ce gouffre potentiel.

Je vous recommande donc de regarder aurtour de vous (banque courtier etc...) pour trouver un rachat au bout de cette année. Profitez de l'amortissement de cette année pour mettre le maximum de côté afin de pouvoir payer directement les frais que produiront le rachat.
 
Xavier72 a dit:
Je confirme il faut être motivé pour relire la lettre sous cette forme et surtout avoir de bons yeux!!

désolé mais c'est la copie du courrier que j'ai envoyer a divers organisme qui explique ce que j'ai subit avec le foncier .



Cela pour aider ceux qui ont aussi des problèmes avec CCF , pas pour recevoir un prix a l'académie de lettres .
Quand ont est dans la M..DE la motivation ne se pose pas elle est suffisante pour se battre et apprendre a déchiffrez les termes d'un contrat et les textes de loi .
Mon affaire sera jugé l'année prochaine en attendent si mes déboires preuves servir a d'autres c'est avec plaisir que je le fait .
 
Dernière modification par un modérateur:
Pierrealb a dit:
En résumé c'est ça, le CAPE n'est que sur la mensualité et la durée les intérêts eux non.

Pour la panique t'as encore un peu de marge.

La première année vous êtes en fixe sur le taux de base qui figure dans votre prêt, au bout de cette première année vous serez en révisable 12 mois. Vous Avez donc un an pour sortir de ce gouffre potentiel.

Je vous recommande donc de regarder aurtour de vous (banque courtier etc...) pour trouver un rachat au bout de cette année. Profitez de l'amortissement de cette année pour mettre le maximum de côté afin de pouvoir payer directement les frais que produiront le rachat.

Je pensais que je n'avais pas le droit de faire racheter mon prêt aussi vite. Quels seront les frais ? Ou comment les estimer ?
 
severine89 a dit:
bonjour à tous ,

une de plus sur la liste :triste:

j'ai contracté un prêt tibeur 3 mois avec CAP 1.5 qui a disparu!! chez entenial novembre 2005 (du CF) et là me voila dans l'impasse, notre conseiller est partit loin d'ici !!! entenial a fermé !!! et je me retrouve avec un taux à 6.10% j'ai rien amortit depuis et je dois 3 ans de plus!!! :colere:

Effectivement j'aurai besoins de conseilles pour passer à taux fixe raisonnable sans perdre trop de plumes !! et quelles sont les démarches appropriées ?
y a t'il possibilité de négociations?

merci pour votre aide
severine89


Bonjour,

Nous sommes dans la même situation. Que faut-il faire PLEASE ??
 
Bjr à tous,
Quelques infos sur mes demarches: avenant du CF à 5,40% (le meme que tout le monde fin du PTZ)=cout total du credit 261065 eur sur 420 mois, rdv LCL proposition taux à 5,60 (fixe -TEG 6,35%)sur 312 mois, proposition Caisse Epargne (ma banque!) 5,60 (fixe TEG 6,42) sur 360 mois des écarts incroyables...
J'avais parallement contacter le CSF pour qu'ils tentent de renegocier mon pret au CF, ma conseillere vient de me tel et je devrai recevoir une proposition de passage à taux fixe à 5,45% (c'est pas byzance mais à défaut...)? faut compter 650 EUROS DE FRAIS DE NEGO si je signe, donc pour ceux qui sont passés par le CSF il faut négocier avec CSF exigence (j'ai bcp insisté:mail, fax et AR), ça a l'air de bouger, j'attends de recevoir la nvelle proposition sinon j'attends également une proposition de rachat via la BRED-
Bon courage à tous et merci pour toutes les infos que j'ai obtenu sur ce forum
 
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