TVA sociale

Les frontaliers iront encore plus souvent faire leur courses et dépenser leurs euros (ou monnaie) à l'étranger :)
Cela n'arrangera certainement pas les affaires des sociétés frontalières.
 
Turbo-057 a dit:
Les frontaliers iront encore plus souvent faire leur courses et dépenser leurs euros (ou monnaie) à l'étranger :)
Cela n'arrangera certainement pas les affaires des sociétés frontalières.

Tout à fait et cela ne serra pas bon pour compenser les baisses des charges patronnales et salariales justement !
 
Pour ma part laissons les politiques votez encore une loi qui n'aidera personne hormis a faire rentrer du cash dans les caisses.
Perso je n'irai plus rien prendre coté Francais et puis voila. Et de nombreux frontaliers feront de même il n'y a qu'a voir le nombre de bureaux de tabac survivant autour des frontières qui est quasi tombé a zéro logique vu la différence de prix ...
De nos jours les gens n'hesitent plus a faire près de 100 bornes pour faire le plein de tabac ... bientot ils feront le plein de soda, et d'autres produits en sus.
 
Turbo-057 a dit:
De nos jours les gens n'hesitent plus a faire près de 100 bornes pour faire le plein de tabac ... bientot ils feront le plein de soda, et d'autres produits en sus.


... mais ils resteront bien en France pour se soigner et profiter de l'argent de la sécu et de la collectivité, après avoir fumé et bu toutes ces cochonneries.:ironie::colere:
 
Vu que pour ceux choisissant de se faire soigner en france c'est la Caisse Nationale de Santé Lux qui paye les prestations à la Sécu je ne vois pas le soucis de la chose. (Le régime Alsace Moselle rembourse a 90% et pourtant il est bénéficiaire du coup ils ont baissé les cotisations de ce régime local cette année) En outre on est largement mieux remboursé coté Luxo que Français

Et pour ma part je préfère nettement aller faire mes soins coté Lux que Francais au moins un ophtalmo tu as un rendez vous dans les 15 jours et pas 6 mois plus tard. De plus bcp de médecins sont des médecins français qui s'y sont expatriés en raison des salaires plus élevés et des charges salariales moindre coté Français dans la région les médecins et autre centre de soins la majorité du personnel médical est roumain ...

La je parle pour les Frontaliers qui bossent de l'autre coté de la frontière.
Pour ceux faisant le déplacement dans un but économique ... certes ils continueront a bénéficier des prestations franco francaise. Mais c'est ainsi le porte monnaie guide beaucoup de chose de nos jours.
 
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Jean-Michel Aphatie:

C’est sûr, le débat présidentiel est lancé. Et on se marre…


L’animateur en chef de la campagne s’appelle… Nicolas Sarkozy. Deux propositions par semaine. Et des balèzes.

Ouverture en fanfare : mesdames, messieurs, nous allons faire la TVA sociale. Où ? Quand ? Comment ? A toute vitesse, d’accord, mais avec qui ? Au gouvernement, ça discute et ça se divise. Au groupe UMP de l’Assemblé nationale, certains sont pour et d’autres contre. Quant au sénat, la majorité de gauche est contre. Donc la TVA sociale, elle n’est pas faite. Mais elle est proposée. C’est l’essentiel. C’est même la seule chose qui compte.

Ainsi définie, la TVA sociale est de droite, bouh…, et au bout du bout du bout, c’est le consommateur qui paye, où plutôt le contribuable qui perce sous le consommateur parce que la TVA, un point, c’est sept milliards, et si on l’augmente de cinq points, c’est le minimum pour que la réforme ait un effet, c’est trente-cinq milliards. Donc, c’est du lourd. Du lourd de droite pour un gouvernement de droite, c’est la dégringolade assurée. D’où l’autre idée lumineuse : la taxe Tobin. Alors ça, c’est de gauche, Tobin, donc ça équilibre. Un coup à droite, un coup à gauche. Ce n’est pas une campagne électorale que mène Nicolas Sarkozy, c’est un cabotage dans la tempête. Le yin et le yang séculaire appliqué à la politique française. C’est un peu n’importe quoi mais ça nous amuse.

Que va raconter la campagne électorale 2012 ? L’histoire d’un pays à la dérive, nostalgique de son passé, incapable d’imaginer son futur et contraint par sa dépression mentale collective à vivre un présent schizophrénique.
 
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