Tomas466 a dit:
Les frais "ne travaillent pas", mais on engrange davantage de parts en AV qu'en direct (à investissement égal), puisque l'assureur les vend moins cher à l'assuré, ce qui fait que les dividendes/loyers perçus par l'investisseur sont supérieurs (au moins au début et à fiscalité équivalente bien évidemment). De ce fait, dire que "les frais ne travaillent pas" a-t-il vraiment un sens ?
Peut-on dire qu'on a fait le tour de la question ?
presque.....
je parlais de diplomatie.... savoir trouver un terrain d'entente,tout en cherchant à éclairer tout le monde;
Tomas466 a dit:
Les frais "ne travaillent pas", mais on engrange davantage de parts en AV qu'en direct (à investissement égal), puisque l'assureur les vend moins cher à l'assuré
tout dépend du montant des frais.... mais en général c'est le cas;
Tomas466 a dit:
l'assureur les vend moins cher à l'assuré
l'assureur reste le propriétaire des parts, mais on se comprend en langage habituel; oui;
Tomas466 a dit:
ce qui fait que les dividendes/loyers perçus par l'investisseur sont supérieurs (au moins au début et à fiscalité équivalente bien évidemment
cela dépend des frais et de la valeur relative "prix officiel" /valeur de retrait..et aussi bien sûr des frais de gestion de l'assureur, mais les quelques exemples ci dessus vont effectivement dans ce sens; merci!!!
Tomas466 a dit:
De ce fait, dire que "les frais ne travaillent pas" a-t-il vraiment un sens ?
oui, il vaut mieux être précis et j'aime bien ta phrase:
Tomas466 a dit:
Les frais "ne travaillent pas", mais on engrange davantage de parts en AV qu'en direct
peut être aurais je dû le formuler comme cela dès le début, avec une réserve concernant la hauteur des frais;
En fait cette notion de frais d'entrée, valeurs achats, retraits, est aussi importante pour ma problématique où j'essaye d'arbitrer entre possession en direct, en AV ou en sci(is)
en SCI is, je pense que la différence valeur achat public, valeur de retrait doit pouvoir être inscrite en charge pour diminuer le bénéfice, comme si il s'agissait de frais;
je regarde 2 montages possibles en sci(is)
l'achat par la sci des parts de sci, dans ce cas, la sci is n'a pas le droit d'amortir les scpi;
et l'achat par la sci de seulement l'usufruit temporaire et l'achat par ma famille de la nue propriété; dans ce cas la sci a le droit d'amortir le valeur de l'usufruit temporaire, ce qui creé une charge comptable favorable, et qui permet lors du retour de l'usufruit temporaire d'avoir la pleine propriété dans les mains du nue propriétaire; cela mêle la transmission et le patrimoine et le rendement net;