Poam : Le point sur mes portefeuilles boursiers.

Buffeto a dit:
Je me pose la même question car la,elle devient chère
Chère, certes, mais le changement de perspectives fait qu'elle n'est pas chère à horizon 2 ans.
Selon l'article que j'ai lu hier, de >40x les résultats attendus pour 2024, on tombe à 28x en 2025 et 20x en 2026.
Comme toujours, ce sont les perspectives qui incitent à acheter. Un constat général pour les valeurs de croissance pour lesquelles on paye cher aujourd'hui parce que les perspectives font que ce ne sera pas cher à MT.
Evidemment, il faut que ces perspectives se réalisent, sinon, gare.

Par contre, +50% YTD et presque 150% en 1 an. Je pense que de tels résultats ne vont pas laisser indifférents les investisseurs en recherche permanente de performance. Ce qui devrait en inciter plus d'un à prendre sa PV sur un titre devenu cher à CT.
Graphiquement, on est en surachat dans toutes les unités de temps. L'écart avec les MM se tend et on a 1 beau gap qui aimera peut-être être combler.

Entrer ou renforcer : oui, mais peut-être attendre un peu pour capter un meilleur point d'entrée.
 
poam5356 a dit:
Par contre, +50% YTD et presque 150% en 1 an. Je pense que de tels résultats ne vont pas laisser indifférents les investisseurs en recherche permanente de performance. Ce qui devrait en inciter plus d'un à prendre sa PV sur un titre devenu cher à CT.
c'est un peu ce que je me disais aussi en disant qu'elle était chère
 
Peut-être alors prendre des profits et attendre un point d’entrée plus clément pour y revenir.
 
mvhrb888 a dit:
Peut-être alors prendre des profits et attendre un point d’entrée plus clément pour y revenir.
Le problème étant que l'on ne sait pas à quel niveau c'est "un point d'entrée plus clément".
J'ai souvent vendu des titres qui ont bien monté en me disant que j'y reviendrai plus bas.
Ou j'ai réutilisé les liquidités ailleurs, et je n'en ai plus pour revenir sur le titre.
Ou il corrige et je me dis comme toi, "attendre un meilleur point d'entrée", qui ne vient pas, et un jour je découvre que le titre est reparti à la hausse est est plus haut que quand je l'ai vendu.
Pas facile de vouloir capter la volatilité d'un titre.
C'est plus simple d'être LT et de se laisser porter en ratant les pics et creux qui, au final, ne représentent pas grand chose sur une longue période.
A chacun de faire comme il sent, et de jamais avoir de regrets !!
 
Et je m'inscris totalement dans ta logique @poam5356 ... Combien de fois ai-je regretté d'avoir vendu ? Bien trop... Combien de fois ai-je regretté d'avoir acheté ? Jamais. Même si j'ai parfois acheté au plus haut... Hermès mi mars 2024 bonjour... Point haut de l'année... Et je suis bien content de ne pas voir vendu !
 
J’ai déjà regretté d’avoir acheté, de ne pas avoir acheté, d’avoir vendu et de ne pas avoir vendu 😁
C’est la bourse, et la vie !
 
mvhrb888 a dit:
J’ai déjà regretté d’avoir acheté,
il ne faut rien regretter [lien réservé abonné] .....
 
poam5356 a dit:
Le problème étant que l'on ne sait pas à quel niveau c'est "un point d'entrée plus clément".
J'ai souvent vendu des titres qui ont bien monté en me disant que j'y reviendrai plus bas.
Ou j'ai réutilisé les liquidités ailleurs, et je n'en ai plus pour revenir sur le titre.
Ou il corrige et je me dis comme toi, "attendre un meilleur point d'entrée", qui ne vient pas, et un jour je découvre que le titre est reparti à la hausse est est plus haut que quand je l'ai vendu.
Pas facile de vouloir capter la volatilité d'un titre.
C'est plus simple d'être LT et de se laisser porter en ratant les pics et creux qui, au final, ne représentent pas grand chose sur une longue période.
A chacun de faire comme il sent, et de jamais avoir de
Psychologiquement dans ces cas là j'aime bien prendre des PV partielles. Si ça baisse, je recharge, si ça monte j'en ai encore et donc ça va bien aussi. Typiquement j'ai vendu 25% de mes Thalès ce matin.
 
MAJ mars 2025 (1/2) - Trump dynamite la planète !!

Les bouleversements tous azimuts lancés par le président des États-Unis remodèlent les relations internationales, secouent l'organisation fédérale et inquiètent les partenaires économiques des États-Unis.
Impossible de dresser une analyse macro dans de telles conditions avec des revirements réguliers de D.Trump qui pense que gouverner un pays, première économie mondiale, se joue dans des rapports de force permanents avec le reste de la planète.

Trump a choisi de dézinguer ses partenaires commerciaux et brutaliser l'administration fédérale. Les marchés US plongent.

Les menaces douanières se matérialisent : Les marchés sont secoués par l'entrée en vigueur des droits de douane américains.
Les importations en provenance du Mexique et du Canada seront désormais imposées à hauteur de 25% et 10% pour les hydrocarbures canadiens. Les produits chinois subiront 20% de droits de douane, contre 10% jusqu'ici.
Et ce n'est qu'un début. Mais seront-ils réellement appliqués ? Le temps que je prépare mon CR mensuel, D.Trump a reporté d’un mois l’entrée en vigueur des nouveaux droits de douanes pour le Mexique et le Canada.
C'est bien simple, et inquiétant : On a un taré aux commandes de la 1ère économie mondiale.

Nigel Green, PDG de deVere Group, prévient que l’inflation risque d’augmenter en raison de la hausse des coûts des biens de consommation courante, ce qui comprimera les marges des entreprises et restructurera les chaînes d’approvisionnement dans tous les secteurs.
Les entreprises dépendantes des importations font face à des coûts croissants, ce qui pourrait entraîner une compression des marges ou des augmentations de prix pour les consommateurs. Green souligne que des secteurs comme la technologie, le commerce de détail et l’automobile devront naviguer prudemment dans cet environnement.
Il ajoute que les secteurs comme les matières premières, l’énergie et l’industrie, qui prospèrent dans les environnements inflationnistes, sont positionnés pour une forte performance.
Green conclut en déclarant que les droits de douane représentent un changement crucial dans la politique économique mondiale avec des conséquences immédiates et potentiellement durables.

Si Wall Street tangue, l'Europe surnage.
La politique étrangère des États-Unis agit comme un catalyseur de réforme et crée une véritable dynamique pour les efforts budgétaires de l'Europe et de l’Allemagne.
Dans une note, les analystes de JP Morgan soulignent que les événements des deux dernières semaines ont "donné un coup de fouet" à leur thèse du cycle de réarmement européen, l'Europe cherchant à fabriquer progressivement davantage d'équipements militaires propres et à en importer moins des États-Unis.
Nommé «ReArm Europe», le plan de 800 Mds€ de la Commission européenne consiste en un ensemble de propositions sur la manière d’utiliser tous les leviers financiers à sa disposition pour aider les États membres à augmenter rapidement et significativement leurs dépenses en matière de capacités de défense.


2025_armes.gif

Allant de pair avec les annonces de la Commission européenne sur la mise en place d’un programme de défense, l'Allemagne sort l'artillerie lourde, sur un plan financier dans un 1er temps.
Bien que les détails de cette réforme restent à préciser dans le cadre d’un programme se montant potentiellement à plus de 500Mds€, un changement radical est clairement à l’œuvre : les principaux acteurs du gouvernement allemand sont alignés et le processus politique progresse rapidement. Les marchés obligataires reflètent cette évolution. Le 5 mars, le rendement de référence du Bund à 10 ans a grimpé de plus de 20 points de base. Il faut remonter à la chute du mur de Berlin pour retrouver une telle hausse du marché obligataire.

Il y a seulement 1 mois, personne n'imaginait une telle évolution de l'environnement géopolitique et économique mondial.
Si on veut terminer cette partie macro sur une note positive, on dira que Trump aura réussi à souder les pays européens en si peu de temps alors qu'ils n'ont pas réussi à le faire en plusieurs décennies.

Oui mais voilà : Trump a peut-être déjà mangé son pain blanc

Quand l'histoire se répète.

Les guerres commerciales ont un prix, et les investisseurs le paient peut-être déjà.
Il y a plus d'un siècle, William McKinley, le 25ème président des États-Unis, a poursuivi une stratégie tarifaire agressive visant à protéger l'industrie américaine et à réduire la dépendance à l'égard des importations étrangères. Le McKinley Tariff Act de 1890 a porté les droits d'importation à une moyenne de 50 %, l'un des niveaux les plus élevés de l'histoire des États-Unis.
La logique était simple : Si les produits étrangers étaient plus chers, les Américains achèteraient des produits nationaux, ce qui stimulerait l'expansion économique.
Au lieu de renforcer la position commerciale des États-Unis, les droits de douane ont déclenché des représailles de la part d'autres pays. Les prix ont augmenté, en particulier pour les Américains à revenus moyens et faibles, et les réactions politiques ont suivi. Lors des élections de mi-mandat de 1890, les électeurs se sont révoltés : McKinley perd son siège et les démocrates prennent le contrôle de la Chambre des représentants.
À l'époque, certains républicains rêvaient d'annexer le Canada (ça alors, c'est une idée fixe chez eux !), pensant que la pression économique pousserait les Canadiens à demander le statut d'État. Au contraire, le tarif douanier a eu l'effet inverse : les nationalistes canadiens se mobilisent contre ce qu'ils considèrent comme une coercition économique. Le pays resserra ses liens avec l'Empire britannique, renforçant ainsi les barrières commerciales que les États-Unis cherchaient à éliminer.
M. Trump a fait des droits de douane la pierre angulaire de sa stratégie économique, arguant qu'ils ramèneraient des emplois aux États-Unis et réduiraient le déficit commercial. Mais comme à l'époque de McKinley, l'histoire montre que les droits de douane ne réduisent pas réellement les déficits commerciaux - ils les augmentent souvent. Pourquoi ? Parce que les droits de douane découragent le commerce des deux côtés, ce qui entraîne une diminution des exportations et des importations.
Les données le confirment. Selon le Peterson Institute for International Economics (PIIE), les pays où les droits de douane sont plus élevés ont tendance à avoir des déficits commerciaux plus importants, et non moins importants. Et si les droits de douane peuvent profiter à certaines industries à court terme, ils augmentent également les coûts pour les consommateurs et les entreprises américains, ce qui entraîne une baisse des dépenses de consommation et un affaiblissement de la confiance dans l'économie.

C'est exactement ce que nous constatons aujourd'hui. La confiance des consommateurs a chuté, l'indice du Conference Board perdant sept points en février, soit la plus forte baisse depuis août 2021.
Peu importe qui paie les droits de douane au départ, qu'il s'agisse des exportateurs étrangers ou des importateurs américains, le coût supplémentaire finit par frapper le portefeuille des Américains. L'histoire montre que les droits de douane entraînent une hausse des prix des marchandises, entraînant souvent une augmentation des coûts pour les consommateurs et un ralentissement de la croissance économique.

Si McKinley vivait aujourd'hui, il nous rappellerait peut-être qu'en 1901, juste un jour avant son assassinat, il avait abandonné sa position intransigeante en matière de droits de douane au profit d'accords commerciaux réciproques.

Si l'histoire se répète souvent, il est bon de se rappeler ce qui s'est passé entre mai et décembre 2018.
Il s'agit de la Guerre commerciale et douanière lancée par Trump contre la Chine.
Eh oui, déjà à l'époque !!
Le CAC 40 perdra 18% sur la période.
Le S&P 500 en perdra autant, mais en seulement 3 mois, de septembre à décembre 2018.

Alors que l'inflation continue de refluer en Europe (l'indice des prix à la consommation en France a progressé de 1,7% sur un an en janvier selon les données de l'Insee), l'éventualité d'une hausse de l'inflation aux États-Unis liée aux droits de douane, ne serait-ce que temporairement, reste d'actualité.

La question est de savoir si la Fed estime que sa politique actuelle est appropriée pour l'avenir à une époque où les changements de politique émanant de la Maison Blanche se succèdent à un rythme effréné.
La récente chute des marchés est une conséquence directe des changements de politique tarifaire et commerciale du président Donald Trump, les investisseurs devenant défensifs.
Bain de sang sur les actions US avec d'importantes baisses des indices US alors que des inquiétudes concernant l'économie ont déclenché une vague de dégagements sur l'ensemble des actions.
Les craintes d’un ralentissement économique aux USA se sont traduites par une nette détente des rendements obligataires.
En parallèle, la montée des tensions tarifaires entre les États-Unis, la Chine, le Canada et le Mexique ajoute une pression supplémentaire sur les marchés. Les derniers tarifs douaniers annoncés par Washington entraînent des craintes de ralentissement de la croissance mondiale
Au jeu de massacre, les valeurs de croissance sont les plus touchées

De nouvelles menaces tarifaires et d'inquiétudes quant au ralentissement de la demande des consommateurs voient le jour.
"Les gens ont cessé de chercher des raisons d'acheter pour chercher des raisons de vendre", a déclaré Colin Cieszynski, stratège en chef du marché chez SIA Wealth Management.
Le 2 avril, des tarifs réciproques seront mis en œuvre, augmentant davantage la pression sur les entreprises dépendantes du commerce international. Bien que la décision de Trump de prolonger la pause tarifaire pour les marchandises du Canada et du Mexique dans le cadre de l’accord United States-Mexico-Canada Agreement (USMCA) puisse apporter un soulagement temporaire à certains secteurs, elle n’atténue pas la réaction plus large du marché

L’économie américaine est fortement liée au marché mondial, et les tentatives de l’isoler derrière des murs tarifaires ne la protégeront pas de la réalité. Les investisseurs internationaux, les gestionnaires de fonds et les dirigeants d’entreprises prennent des décisions basées sur les fondamentaux économiques, et non sur la rhétorique idéologique.
Les tarifs douaniers agissent comme une taxe sur les entreprises et les consommateurs avec des effets négatifs qui sont maintenant visibles en temps réel.
D.Trump ferait bien de relire l'histoire tragique de son prédécesseur et 25ème président des Etats-Unis : William McKinley.
 
MAJ mars (2/2)

De ce côté-ci de l'Atlantique, les décisions de D.Trump concernant la politique étrangère et l'Ukraine ont permis de souder l'Europe autour de la nécessité de prendre (enfin) en charge sa défense.
«ReArm Europe», le plan de 800 Mds€ de la Commission européenne pour aider les États membres à augmenter rapidement et significativement leurs dépenses en matière de capacités de défense a été validé ce jeudi 6 mars.
De son côté, l'Allemagne va lancer un fonds spécial de 500Mds€ sur 10 ans pour renforcer la défense, rénover les infrastructures et rendre plus compétitive son économie en récession.
"Compte tenu des dangers qui menacent notre liberté et la paix sur notre continent, le mot d'ordre pour notre défense doit être : quoi qu'il en coûte !", a déclaré le futur chancelier allemand Friedrich Merz.
La presse allemande a fait état de projets d'investissements dans l'armée allemande de 200 à 400Mds€.
Des mesures qui vont relancer la croissance d'une Europe qui en a bien besoin.

Les valeurs de la défense, et de la construction (plan allemand), s'affichent en forte hausse et tirent les indices européens vers le haut.
Les financières se sont distinguées, tandis que les valeurs informatiques sont restées à la traîne, à l'image de la Tech américaine.
Les actions "value" ont nettement dominé les valeurs de croissance.

Mon portefeuille n'échappe pas à la correction générale avec un repli de 19K€ en 1 mois.
Alors qu'il affichait une hausse de 9% YTD en février, il ne progresse plus que de 2,71% ce 7 mars.

L'une des dernières publications de résultats concerne la plus grosse valeur du portefeuille : Air Liquide.
Air Liquide a annoncé un CA en baisse de 2% sur un an, mais un bénéfice net de 5,74 euros par action en 2024, en amélioration de 7,3%.
La marge opérationnelle récurrente a progressé pour atteindre 19,9 % (en hausse de 150 points de base), reflétant une amélioration continue de la rentabilité.
Air Liquide a réalisé des investissements record de 4,4Mds€ en 2024, visant à soutenir sa croissance future.
Une publication bien accueillie avec un titre qui a gagné 3,25% en clôture du 21/02/2025, établissant à cette occasion un record historique.

C'est également un des rares titres à afficher une hausse sur le mois écoulé.

Alors que le sentiment autour de l'Intelligence Artificielle (IA) et des centres de données perd en dynamique depuis quelques mois (les dépenses pharaoniques des hyperscalers ont effrayé les investisseurs), l'émergence du modèle de DeepSeek n'a fait que renforcer les inquiétudes concernant la viabilité des investissements considérables dans le secteur.
Les valeurs Tech sont laminées, tout autant que les valeurs liées aux infrastructures des centres de données. Ainsi, Schneider Electric perd 4,3% en 1 mois, Constellation Energy perd 33% et GE Vernova perd 21%.

Le coup est rude pour le portefeuille.

Dans un tel environnement délétère, j'ai réduit la part des valeurs Tech.
- J'avais commencé à prendre des bénéfices sur NVidia depuis un moment, je vais continuer à le faire.
- J'ai vendu Marvell et Broadcom et pris ma MV sur ces 2 titres.
- J'ai fait un aller/retour fructueux sur Alibaba.
- J'allège Novo Nordisk (-10 actions) au profit de Eli Lilly (+2 titres).
- J'ai vendu mes 100 titres Emeis qui a fortement monté récemment et dont le cours à doublé sur mon PRU.
- J'ai soldé la ligne Applovin qui avait déjà été allégée en février.

Globalement, j'ai allégé les valeurs de croissance, Tech principalement, au profit de valeurs défensives :
- Outre le renforcement de Eli Lilly (au détriment de Novo), j'ai commencé une ligne sur l'assureur allemand Allianz.
- J'ai renforcé Costco (commerce de détail)
- J'ai profité du bas niveau de cours de Freeport-McMoRan (cuivre), pour commencer une ligne (20 titres à 34,76$).
- Sur le secteur de la défense, j'ai étoffé ma ligne Rheinmetall qui était bien pauvre avec 1 unique titre en portefeuille. La ligne compte maintenant 4 titres (achats à 895€, 891€ et 990€).
- J'ai commencé 2 nouvelles lignes sur des producteurs de matériaux de construction :
Wienerberger qui figure parmi les principaux producteurs européens de matériaux de construction.
Et Heideberg Materials, un producteur allemand de ciments et de matériaux de construction.
2 entreprises bien positionnées pour profiter du plan allemand de modernisation des infrastructures du pays.


Les liquidités s'élèvent à 8000€

Les bons élèves de la classe… Hélas, ils sont bien peu nombreux ce mois-ci
D'un mois sur l'autre :
- Air Liquide +5,86%
- Orange +12,34%
… Et c'est tout !

Et les mauvais élèves, nombreux :
- NVidia -12,43%
- Lotus Bakeries -10,76%
- Chipotle -12,37%
- Pro Medicus -11,81%
… Etc....


Le portefeuille au 08/03/2025 : valorisation 315 923€ (contre 334 502€ un mois plus tôt), soit +2,97% YTD

2025_03_portefeuille_POAM.gif
 
Une question me taraude Poam : si je comprends bien tout tes investissements sont en actions ?
Pas de parts de Scpi, d'obligations , de CAT voire d'ETF ?
:unsure:
 
Membre66957 a dit:
Une question me taraude Poam : si je comprends bien tout tes investissements sont en actions ?
Pas de parts de Scpi, d'obligations , de CAT voire d'ETF ?
:unsure:
Obligations : non, CAT : beurk, ETF (@Jeune_padawan a réponu), SCPI : Ouiiiii et depuis longtemps, bientôt 30 ans.
Les actions : Ouiiiiii, c'est là où on peut constituer un patrimoine. Exit le reste.
La SCPI, finalement, je suis bien tombé, au bon moment. Je ne regrette pas. J'ai profité de 20 ans de baisse des taux et y suis entré quand tout le monde larguait ses scpi. Du coup, on m'a facilité l'entrée, sinon je n'aurais pas pu faire une opération à crédit sur une scpi fermée. Aujourd'hui, c'est sûr que je ne recommencerais pas un achat en scpi.
 
freddo89 a dit:
Hop hop hop !
Il y en a eu (même s'ils étaient planqués :ROFLMAO: ).
Peut-être liquidés depuis ?

https://www.moneyvox.fr/forums/fil/poam-le-point-sur-mes-portefeuilles-boursiers.41548/post-662700
Je n'arrive pas à les garder... J'ai beau me motiver, rien à faire.
 
poam5356 a dit:
Je n'arrive pas à les garder... J'ai beau me motiver, rien à faire.
Il ne faut pas se forcer (y)
Surtout que c'était pour s'exposer aux US sur PEA, ce n'était pas forcément le mieux à faire sur le début d'année :biggrin:
 
freddo89 a dit:
Il ne faut pas se forcer (y)
Surtout que c'était pour s'exposer aux US sur PEA, ce n'était pas forcément le mieux à faire sur le début d'année :biggrin:
Bah, ça reviendra. Il ne faut pas baisser les bras à la 1ère trumperie.
La réalité du monde va finir par lui clouer le bec.
 
poam5356 a dit:
La réalité du monde va finir par lui clouer le bec.
Des électeurs mécontents de payer leurs fruits et légumes 15% plus chers...
 
Jeune_padawan a dit:
Des électeurs mécontents de payer leurs fruits et légumes 15% plus chers...
Par exemple, et bien d'autres.
Pour ne rien arranger pour lui, la Chine va augmenter les taxes sur des marchandises produites dans des Etats républicains... Histoire de faire mal là où ça vote pour lui..
 
poam5356 a dit:
Bah, ça reviendra. Il ne faut pas baisser les bras à la 1ère trumperie.
La réalité du monde va finir par lui clouer le bec.
Sans parler de baisser les bras, l'actualité récente nous a rappelé l'importance de la diversification (y compris géographique).
Tout peut arriver et des choses qui semblent acquises changent parfois très vite.

Je me "méfiais" de Trump mais je ne m'attendais pas à la quasi alliance avec Poutine et encore moins si rapidement après son entrée en fonction :censored:
 
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