Per

Delandre

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Boujour. J ai. Un peu. De. Mal. A. Comprendre pour ouvrir un. Per .
Ma question est
Je. Déduit. Ma. Somme. Verser. En réduisant mes impôts. Cela. J ai. Comptis .
Par. Contre. A. La. Sortie. Je. Dois. Payer des impôts sur. Mon capital ou les intérêts. Et de combien
 
Bonjour,

Par respect pour les personnes qui vous lisent et celles qui peuvent potentiellement vous répondre, je vous prie de bien vouloir vous appliquer dans la rédaction de vos messages.

Cdlt.
 
Delandre a dit:
Par. Contre. A. La. Sortie. Je. Dois. Payer des impôts sur. Mon capital ou les intérêts. Et de combien
le capital sera réintégré dans ton net fiscal et imposé à ton TMI et les intérêts imposés à la flat tax ( 30%) .....

à moins que les choses changent d'ici que tu sois en retraite .
 
lopali a dit:
Par respect pour les personnes qui vous lisent et celles qui peuvent potentiellement vous répondre, je vous prie de bien vouloir vous appliquer dans la rédaction de vos messages.
tu as raison .
mais j'ai quand même compris la question :cool:
 
Bonjour ,
Per intéressant si revenus imposables ( hors ceux soumis à la flat tax de 30%) relèvent d'un taux marginal d'imposition TMI supérieur ou égal à 30%.
Plus le TMI est élevé lors de l'alimentation du Per et plus il est bas lors du rachat à la retraite, plus la souscription PER est intéressante .
Ex : A l'entrée TMI 41% versement 10 000.
Economie IR = 41% × 10 000= 4100 euros , le versement du PER réduit votre revenu imposable.

A la retraite , TMI 11% = capital = 10 500 € si sortie en capital one- shot ( ms peut être etalée sur plusieurs années pour limiter l'effet de l'imposition) compte tenu d'une revalorisation de 5%,
10 000 ×11% = 1100 euros d'IR à payer,
Plus value de 500€ soumise à la flat tax de 30% =150 €.
Tout dépend du taux de remplacement de vos revenus professionnels par vos pensions de retraite ou autres revenus de substitution pŕévus à la retraite tels que revenus fonciers génerés par loyers directs ou via les Scpi ( lesquels dépendent de la structure de votre patrimoine à la retraite).
 
attente92 a dit:
Ex : A l'entrée TMI 41% versement 10 000.


A la retraite , TMI 11%
lorsque tu es en TMI41 en carrière il est fort improbable que tu sois en TMI11 à la retraite .

la limite inférieure du TMI30 est de 28k€/an ce qui représente un peu plus de 2k€/mois ....

ceux qui furent en TMI 41 en activité ont en général des retraites en rapport donc 2k€/mois c'est le minimum .

lors de mon passage en retraite mes revenus ont certes chuté mais pas suffisamment pour passer en TMI11 ( heureusement )
 
Buffeto a dit:
lorsque tu es en TMI41 en carrière il est fort improbable que tu sois en TMI11 à la retraite .

la limite inférieure du TMI30 est de 28k€/an ce qui représente un peu plus de 2k€/mois ....

ceux qui furent en TMI 41 en activité ont en général des retraites en rapport donc 2k€/mois c'est le minimum .

lors de mon passage en retraite mes revenus ont certes chuté mais pas suffisamment pour passer en TMI11 ( heureusement )
Sauf les femmes qui ont une carrière incomplète et qui ont arrêté de travailler pendant 10 ans pour s'occuper de la petite famille et qui ont divorcé car la decote a des effets importants sur le montant des retraites
 
attente92 a dit:
Sauf les femmes qui ont une carrière incomplète et qui ont arrêté de travailler pendant 10 ans pour s'occuper de la petite famille et qui ont divorcé car la decote a des effets importants sur le montant des retraites
je te parle de généralité et toi tu me cites un cas particulier ......
 
Buffeto a dit:
je te parle de généralité et toi tu me cites un cas particulier ......
Pas si particulier que cela @Buffeto : les carrières ne suivent plus des trajectoires linéaires ds le même regime : les entreprises ne veulent plus recruter des salariés de plus de 45 ans qui sont obligés de devenir indépendants , un temps autoentrepreneur pour tester.
Et les poly-pensionnés ont des retraites inégales subissant des decôtes importantes ds les régimes de retraite complémentaires de par leur carrière incomplète.

D'autres ont commencé à travailler tard par choix .
 
attente92 a dit:
Pas si particulier que cela @Buffeto : les carrières ne suivent plus des trajectoires linéaires ds le même regime : les entreprises ne veulent plus recruter des salariés de plus de 45 ans qui sont obligés de devenir indépendants , un temps autoentrepreneur pour tester.
Et les poly-pensionnés ont des retraites inégales subissant des decôtes importantes ds les régimes de retraite complémentaires de par leur carrière incomplète.

D'autres ont commencé à travailler tard par choix .
Ouais enfin :
- femme = tu élimines déjà une bonne partie de la population
- arrêt pendant 10 années c'est loin de représenter toutes les femmes
- divorce qui plus est
C'est quand même pas la generalité ce cas de figure
 
Kizzo a dit:
C'est quand même pas la generalité ce cas de figure
c'est donc un cas particulier :cool:
 
Chacun peut être un cas particulier...
Le principe de l'avantage fiscal du PER repose en effet sur l'idée que le taux d'imposition au moment de la retraite sera inférieur à celui au moment des versements. Ce qui est le cas général.
Mais on peut imaginer d'autres facteurs rendant l'attrait du PER nul :
- TMI faible durant une partie de sa vie active grâce aux enfants (soit en parts fiscales, soit en pensions déduites), donc à ces périodes là l'alimentation d'un PER n'a que peu de sens
- TMI plus élevée que prévu à la retraite car héritage juste avant qui procure des revenus importants (et là bing, on se retrouve avec un PER qui a perdu tout attrait)

Le must de l'attrait du PER ne serait-il pas d'avoir à financer une période entre l'âge légal et l'âge de liquidation sans décote (entre 64 et 67 ans), sans activité en attendant de liquider sa retraite sans décote, et donc avec un TMI tout petit, le seul revenu étant constitué par des retraits en capital du PER ??
Je sonde sur ce scénario car si il est viable, il peut justifier des versements en cours de vie active avec un TMI à14%, si on arrive à les retirer sans impôts entre 64 et 67 ans ... ?
 
je suis d'accord avec buffeto globalement.

je pense que si on est en TMI 30 dans la fourchette haute, que l'on sera sans doute sur une TMI 30 à la sortie (si pas d'incident de parcours et baisse de salaires).

Par contre ce qui aura évolué en notre faveur sera les montants des tranches marginales d'impositions qui auront été revisés à la hausse (et si on garde le nombre de tranches actuelles sans ajout de nouveaux taux de TMI dans le futur).

Après le PER doit venir en complément de tout ce que nous avons comme envelloppe à disposition (PEA/CTO/AVs et autres).

A titre perso, une fois un certain montant atteind d'allocation, je reinvestit les loyers de SCPI + un DCA sur ETF world et puis c 'est tout.
 
Il y a aussi les cas de déblocage pour accident de la vie : invalidité, décès du partenaire, fin de droits au chômage. Dans ce cas, je vois que le capital n’est pas imposé :

Si le déblocage est fondé sur un motif autre que celui de la résidence principale, la part du capital débloqué correspondant aux versements est exonérée d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux.

Si je comprends bien, un PER pourrait donc servir à se faire une sorte d’assurance, en économisant sur les impôts pendant que tout va bien, puis en étant dispensé de rembourser en cas de gros coup dur. C’est bien ça ?
 
framboise a dit:
Il y a aussi les cas de déblocage pour accident de la vie : invalidité, décès du partenaire, fin de droits au chômage. Dans ce cas, je vois que le capital n’est pas imposé :



Si je comprends bien, un PER pourrait donc servir à se faire une sorte d’assurance, en économisant sur les impôts pendant que tout va bien, puis en étant dispensé de rembourser en cas de gros coup dur. C’est bien ça ?
Si c'est le cas, autant l'invalidité et le décès du partenaire sont de vrais accidents de la vie, autant la fin des droits au chômage ne relève pas à mon sens de la même catégorie et pourrait donner lieu à des abus, mais j'imagine que nos parlementaires y ont réfléchi avant de voter, non ?
 
Actarus51 a dit:
Le must de l'attrait du PER ne serait-il pas d'avoir à financer une période entre l'âge légal et l'âge de liquidation sans décote (entre 64 et 67 ans), sans activité en attendant de liquider sa retraite sans décote, et donc avec un TMI tout petit, le seul revenu étant constitué par des retraits en capital du PER ??
Je sonde sur ce scénario car si il est viable, il peut justifier des versements en cours de vie active avec un TMI à14%, si on arrive à les retirer sans impôts entre 64 et 67 ans ... ?
Le must serait ,en cas de licenciement d'être indemnisé au moment de l'anniversaire des 64 ans.
Ainsi dans les bonnes conditions l'indemnité chômage est versée jusqu'à 67 ans ou à la date du taux plein. Et tes retraits sur le PER, serviraient de complément..
 
moietmoi a dit:
Le must serait ,en cas de licenciement d'être indemnisé au moment de l'anniversaire des 64 ans.
Ainsi dans les bonnes conditions l'indemnité chômage est versée jusqu'à 67 ans ou à la date du taux plein. Et tes retraits sur le PER, serviraient de complément..
Si on est indemnisé, c'est qu'on est en recherche d'emploi. Etant personnellement fonctionnaire, l'indemnisation chômage n'est pas une option : soit je travaille et je suis payé, sois j'arrête et je ne suis plus payé. Je raisonnait plutôt "pré-retraite", auto-financée par des retraits sur le PER
 
Drôle de fil avec un seul message d’interrogation ( message bizarre d’ailleurs ) depuis le 9/2 …?????
 
Intéressant, ces scénarios. Voyons : imposé à la TMI max, je profite à fond de l’économie d’impôts pendant des années, puis ma moitié décède. Je récupère toute la somme sans devoir rendre les impôts : tout bénef. Il ne reste plus qu’à trouver une moitié en très mauvaise santé qui accepte de se pacser, et le tour est joué. Eh bien voilà, je tiens l’idée de ma prochaine entreprise !
 
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