L'argent fait il le bonheur?

Aristide a dit:
Ce n'est pas du tout incompatible et il me semble tout à fait normal que les pauvres cherchent aussi à avoir des loisirs.

Par contre vous nous ferez signe quand quelqu'un qui n'a pas mangé depuis trois jours préferera aller au cinéma plutôt que de s'acheter un sandwitch.:sourire:

Cdt

Comment explique-t-on le très grand nombre de foyers surendettés ?
Ils ont acheté leurs sandwichs à crédit ?
Un responsable d'Emmaüs avait expliqué que beaucoup de gens ne savaient pas gérer leur budget. Ils dépensaient, s'endettaient sans gérer la base. Et donc leur travail de fond consistait aussi beaucoup à faire de l'éducation.
 
Oui le surendettement existe mais pas seulement chez les chez les pauvres.

Je peux vous dire, par expérience, que l'on trouve aussi des dossiers de surrendettement dans les couches moyennes - et quelquefois moyennes hautes - de la population.

Et, quoi que vous en disiez, les besoins physiologiques dits "primaires" doivent - à un moment ou à un autre - être forcément satisfaits avant les secondaires tertiaires etc.

Cdt
 
Les "pauvres riches"......en Belgique ils semblent à voir du mal à satisfaire leur besoin d'amour.:ironie:

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Cdt
 
Dans la série l'argent fait-il le bonheur, on peut méditer sur Matthieu 5.3 : Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux ! Une parole extrêmement riche, bien sûr ! :sourire:
 
Je vous soumets mon idee :

Pour moi ce n'est pas a partir d'un certain niveau de revenu que l'on est heureux, c'est a partir d'un certain niveau d'epargne libre. (par opposition a l'epargne forcee qui est composee essentiellement de la partie amortissement du capital des prets immobiliers contractes, vu que c'est de l'argent que vous revoyez un jour, a la revente sauf surprise).

le niveau d'epargne libre est donc la quantite d'argent que l'on peut mettre volontairement de cote chaque mois, tous les mois, hors depenses exceptionnelles.

car cette somme dimensionne directement vos futurs projets. par exemple vous revenez de votre reveillon de noel, et vous vous dites je peux epargner 1000 euros par mois, donc dans 5 mois 5000 euros, ca me fait des super vacances 5* cet ete.

Bien sur celui qui epargne 1000 euros peut aussi bien etre qqun gagnant 3000 ou 10000 euros par mois.

Cette capacite d'epargne dimensionne les projets, qui eux memes structurent la psychologie du reve et du desir, de la projection dans un futur agreable.

a l'inverse qqun qui epargne 0 euros, voire descend parfois en rouge, stresse en permanence, n'a aucune vision optimiste ou stimulante de l'avenir.

Et comme l'a tres bien dit Aristide, on trouve de forts revenus dans cette categorie aussi.

(pour les 75K, je crois surtout que ca correspond a un salaire qui permet a un foyer de s'acheter son toit sans trop de prise de tete)
 
personnellement ce qui me rend heureux ce n'est pas l'argent que je gagne ....

ce qui me rend heureux c'est de créer , d'ambitionner , de projeter , d'imaginer ,et de mener à bien toutes ces idées ou tous ces projets ....

l'argent que j'en retire n'est que la conséquence mesurable ...

évidement si les projets deviennent réalité et que cette réalité est rentable alors la conséquence est l'enrichissement personnel et financier.

CQFD
 
buffetophile a dit:
personnellement ce qui me rend heureux ce n'est pas l'argent que je gagne ....

Heureusement, sinon 99% des terriens seraient malheureux ! Or, beaucoup de gens de condition modeste sont heureux. Et si l'argent faisait réellement le bonheur, tous les surendettés de la terre devraient logiquement se suicider. Puisque ce n'est pas le cas, c'est bien qu'on trouve du bonheur ailleurs que dans l'argent.

En fait, ce qui serait intéressant, c'est de définir ce qu'est le bonheur, ce qu'a commencé à faire buffeto dans le post précédent.

Personnellement, ce qui me rend heureux, c'est une rencontre, un coin de ciel bleu, quelques notes de musique ou une promenade au bord de l'eau... Quand bien même je serais clochard, personne ne pourrait m'enlever ces choses et donc m'empêcher d'être heureux, malgré le dénuement et les souffrances.

C'est pour cette raison que je citais Matthieu. Etre "pauvre en esprit" n'a rien à voir avec la pauvreté économique. On peut avoir une grande aisance financière et être "pauvre en esprit". Le bonheur, c'est avant tout une façon d'accueillir la vie.
 
vinnie a dit:
Heureusement, sinon 99% des terriens seraient malheureux ! Or, beaucoup de gens de condition modeste sont heureux. Et si l'argent faisait réellement le bonheur, tous les surendettés de la terre devraient logiquement se suicider. Puisque ce n'est pas le cas, c'est bien qu'on trouve du bonheur ailleurs que dans l'argent.

En fait, ce qui serait intéressant, c'est de définir ce qu'est le bonheur, ce qu'a commencé à faire buffeto dans le post précédent.

Personnellement, ce qui me rend heureux, c'est une rencontre, un coin de ciel bleu, quelques notes de musique ou une promenade au bord de l'eau... Quand bien même je serais clochard, personne ne pourrait m'enlever ces choses et donc m'empêcher d'être heureux, malgré le dénuement et les souffrances.

C'est pour cette raison que je citais Matthieu. Etre "pauvre en esprit" n'a rien à voir avec la pauvreté économique. On peut avoir une grande aisance financière et être "pauvre en esprit". Le bonheur, c'est avant tout une façon d'accueillir la vie.

C'est pas parce que n'est pas heureux qu'on devrait se suicider ! On a le droit d'essayer d'améliorer son sort aussi. Et puis ce n'est pas binaire !

Pour apprécier la musique, encore faut-il en avoir la culture, ce qui demande une certaine culture, ce qui a un coût. Par ailleurs, un très grand nombre de clochards ont une maladie mentale. Cela nuance la possibilité d'appréciation des moments don tu parles.
 
buffetophile a dit:
personnellement ce qui me rend heureux ce n'est pas l'argent que je gagne ....

ce qui me rend heureux c'est de créer , d'ambitionner , de projeter , d'imaginer ,et de mener à bien toutes ces idées ou tous ces projets ....

l'argent que j'en retire n'est que la conséquence mesurable ...

évidement si les projets deviennent réalité et que cette réalité est rentable alors la conséquence est l'enrichissement personnel et financier.

CQFD

Oui et en me temps la dimension de tes projets dépend aussi de ta situation actuelle.
Un miséreux peut difficilement ambitionner de s'entraîner pour devenir astronaute.
 
ZRR_pigeon a dit:
Je vous soumets mon idee :

Pour moi ce n'est pas a partir d'un certain niveau de revenu que l'on est heureux, c'est a partir d'un certain niveau d'epargne libre. (par opposition a l'epargne forcee qui est composee essentiellement de la partie amortissement du capital des prets immobiliers contractes, vu que c'est de l'argent que vous revoyez un jour, a la revente sauf surprise).

le niveau d'epargne libre est donc la quantite d'argent que l'on peut mettre volontairement de cote chaque mois, tous les mois, hors depenses exceptionnelles.

car cette somme dimensionne directement vos futurs projets. par exemple vous revenez de votre reveillon de noel, et vous vous dites je peux epargner 1000 euros par mois, donc dans 5 mois 5000 euros, ca me fait des super vacances 5* cet ete.

Bien sur celui qui epargne 1000 euros peut aussi bien etre qqun gagnant 3000 ou 10000 euros par mois.

Cette capacite d'epargne dimensionne les projets, qui eux memes structurent la psychologie du reve et du desir, de la projection dans un futur agreable.

a l'inverse qqun qui epargne 0 euros, voire descend parfois en rouge, stresse en permanence, n'a aucune vision optimiste ou stimulante de l'avenir.

Et comme l'a tres bien dit Aristide, on trouve de forts revenus dans cette categorie aussi.

(pour les 75K, je crois surtout que ca correspond a un salaire qui permet a un foyer de s'acheter son toit sans trop de prise de tete)

Intéressant :sourire:
 
GOGO : pourrais tu lire cette page [lien réservé abonné] STP
 
Allez, je vais participer avec du concret.

D'abord, PhilB a pointé du doigt un élément important : corrélation n'est pas causalité. Je suis assez surpris que l'article soumis par Pruls se revendique d'une étude "scientifique".

Ensuite, ma réponse est simple: l'argent contribue à mon bonheur, mais ce n'est qu'un élément parmi d'autres. Il est clair que si j'en obtiens davantage, je trouverais toujours à l'employer (qu'il s'agisse de dépenses superflues ou d'épargne), mais le point essentiel est que j'ai suffisamment d'argent pour pouvoir vivre comme j'en ai envie, acheter ce qui me plait, et ne pas avoir à me soucier de lire mon relevé de compte à la fin du mois. Je suis un garçon raisonnable, sans addiction particulière, je n'ai pas de goûts de luxe ostentatoires (sauf l'hôtel, et ce n'est pas pour raconter aux copains que je descends dans des 5*, c'est juste parce que le confort et le service y sont incomparablement meilleurs), et je n'éprouve pas le besoin de vivre dans un loft de 300 mètres carrés alors qu'un deux pièces de 60 me suffit amplement.

Assez curieusement, ce niveau de revenu qui me permet de vivre comme j'en ai envie est de 5000 euros par mois, soit presque exactement le niveau cité dans l'article.
 
Si on examine la corrélation entre argent et bonheur selon les éléments de l'étude citée ici, elle n'est que partielle puisqu'elle tend à diminuer avec l'augmentation des revenus, en particulier à partir de 75000$.

Les auteurs de l'étude en conclue qu'il existe une limite à la capacité qu'a l'argent de contribuer au bonheur.

Dans la mesure où un consensus semble se dégager sur le rôle positif qu'a l'argent sur le bonheur, j'ai du mal à comprendre votre réticence à accepter la thèse des auteurs de l'étude. Serait ce la contradiction avec le mainstream?

Pouvez vous expliciter votre pensée ou présenter les éléments qui vous font douter ou limiter la conclusion de l'étude?
 
L'auteur a interrogé des personnes ayant différents niveaux de revenus, et ceux disposant d'un revenu plus élevé ont déclarés être plus souvent heureux. Il y a corrélation, c'est indubitable. En même temps, passé un certain niveau de revenu, il semble que les personnes interrogées cessent d'être de plus en plus heureuses.

Ce qui me gêne, c'est justement la suite : "les auteurs en concluent qu'il existe une limite à la capacité qu'à l'argent de contribuer au bonheur". Ils considèrent donc qu'il y a un lien de causalité entre l'argent et le bonheur, or je n'ai rien vu dans l'article qui permette de l'affirmer.

Poussons le raisonnement : on peut logiquement supposer que plus les gens gagnent d'argent, plus ils ont les moyens de se soigner, c'est particulièrement vrai si l'étude a été faite aux Etats-Unis. Ne peut on alors en conclure que "plus les gens sont en bonne santé, plus ils sont heureux" ? Passé un certain niveau de revenu, l'individu peut se maintenir en parfaite santé, et gagner plus n'améliorera pas une santé déjà excellente, ainsi, il ne se sentira pas plus heureux.

Conclusion : c'est la santé qui permet d'être heureux, et pas l'argent.

On peut également construire la même chose avec les amis : plus on gagne d'argent, plus il est probable que l'on ait une vie sociale développée, riche (au sens intellectuel) et stimulante. En même temps, passé un certain niveau, comme il n'y a que 7 jours dans la semaine pour sortir et s'amuser, le niveau de bonheur induit par une vie sociale attrayante cesse de croitre.

Conclusion : c'est le nombre d'amis et une vie sociale stimulante qui rendent les gens plus heureux.

Etc... On doit pouvoir trouver bien d'autres éléments qui augmentent en même temps que l'argent, et qui pourraient tout aussi bien que la monnaie expliquer la croissance et le plafonnement du bonheur.

Si l'étude est vraiment scientifique, les auteurs ont du prendre en compte ces facteurs, c'est à dire que dans leur panel d'individus, ils ont du inclure des personnes riches en mauvaise santé, des personnes pauvres ayant une vie sociale intense mais une santé moyenne, des introvertis ne quittant pas leur maison, ne voyant jamais personne, mais disposant d'un compte en banque bien garni... mesurer tout cela et croiser les études, afin d'en arriver à la conclusion que seul l'argent est le facteur susceptible d'expliquer la croissance du bonheur. Si cela a été fait, alors oui, il y a un lien de causalité. Mais j'en doute fortement, et de toute façon, les facteurs liés à l'humain sont bien trop nombreux pour que l'on puisse tous les examiner et les éliminer un par un pour n'en retenir qu'un seul qui soit déterminant.

Ce qui me gêne, c'est le terme "scientifique". Pour que ce soit scientifique, il faudrait avoir éliminer tous les facteurs autres que l'argent, ce qui est impossible, un être humain ne se défini pas uniquement par son compte en banque, ou il faudrait que seul le revenu de chaque "cobaye" varie, toutes autres choses étant égales par ailleurs (c'est à dire, les individus testés ont des revenus différents, mais tous ont exactement le même âge, la même santé, vivent dans le même environnement, ont les mêmes loisirs...). Il est clair que cela aussi est impossible.

Pour faire beaucoup plus court : d'une corrélation, les auteurs établissent une causalité. Si ça n'est pas prouvé (il faudrait consulter toute l'étude, mais je ne vois pas comment cela pourrait l'être), le raisonnement est sans valeur. L'exemple que donnait PhilB est parlant : il y a plus de naissances en Alsace quand les cigognes reviennent : la corrélation est indiscutable, mais bien entendu, il n'y a pas pour autant le moindre lien de causalité, sauf à croire que ce sont les cigognes qui amènent les bébés.

Cependant, instinctivement, ça ne semble pas absurde de penser que le bonheur croit avec les revenus. Le penser : oui, le présenter comme une vérité scientifique résultant d'une étude : non.
 
Dernière modification:
Quoi, les cigognes n'apportent pas les bébés? :confused:

Ok, je comprends mieux ce qui vous gène. Il faudra que je creuse cette question des autres facteurs. Peut être un début de piste par ici [lien réservé abonné]?
 
Bonjour,

Que de débats philosophiques sur le couple argent-bonheur. Si je devais résumer ce que je retiens de cette discussion c'est que comparativement à vous nous sommes des pauvres. .... Et oui je suis loin des 5k€ net mensuel. Suis je pour autant plus malheureux? Je ne pense pas . Ce qui est certains c'est que l'on doit peut être gérer plus, être plus regardant sur ce que l'on dépense.
La mort m'a pris mon père il y a 5 ans maintenant. Ce malheur m'a aussi donné de la souplesse financière.
Je dirais personnellement que l'argent et surtout la réserve d'argent contribuent à une liberté. Si cette liberté est le bonheur alors oui l'argent fait le bonheur.
Pour moi, le bonheur c'est d'avoir mon petit dernier de 2 mois et qui me fait un sourire et qui gazouille. Mon bonheur c'est de pouvoir faire sourire mes enfants et ma femme et leur faire plaisir. Mais le plaisir est il de partir au fin fonds du monde ou simplement de partir en vacances tous ensemble à trifouillis les oies. On ne manque pas des choses que l'on ne connaît pas.
 
Lore7249 a dit:
Bonjour,

Et oui je suis loin des 5k€ net mensuel. Suis je pour autant plus malheureux? Je ne pense pas . Ce qui est certains c'est que l'on doit peut être gérer plus, être plus regardant sur ce que l'on dépense.

En cherchant d'autres études sur la question, je suis tombé sur différentes remarques sur celle-ci, dont une qui souligne que l'étude ayant été réalisée aux US, avec notamment un fonctionnement social différent (sécu et santé...) la limite équivalente en France pourrait être différente, et à priori plus faible.

Ça vous fait flipper les riches là! MouhouhAHAHA :diable:
 
Dernière modification:
pruls a dit:
En cherchant d'autres études sur la question, je suis tombé sur différentes remarques sur celle-ci, dont une qui souligne que l'étude ayant été réalisée aux US, avec notamment un fonctionnement social différent (sécu et santé...) la limite équivalente en France pourrait être différente, et à priori plus faible.

:

Il est probable que le montant nécessaire pour vivre dans notre pays est inférieur ... Toutefois le bonheur ne se mesure pas a l'argent mais à celui que l'on peut transmette aux autres .
 
Lore7249 a dit:
Pour moi, le bonheur c'est d'avoir mon petit dernier de 2 mois et qui me fait un sourire et qui gazouille. Mon bonheur c'est de pouvoir faire sourire mes enfants et ma femme et leur faire plaisir.

voilà qui est capital .

cette phrase en elle seule , résume bien la complexité de l'analyse.

donner une définition du bonheur .....pour moi il n'y en a pas car la bonheur est propre à chacun . le bonheur des uns n'est pas celui des autres...

de plus il est changeant au cours de la vie .

en effet LORE, lorsque son petit dernier aura 20ans, ne se trouvera sans doute pas aussi heureux pour se contenter d'un sourire d'un grand ado de 20ans désœuvré et affalé sur le canapé à manger des hamburgers en jouant à la console vidéo au lieu de poursuivre de brillantes études ( désolé je caricature ):ironie:

et d'ailleurs que penser de ces gens richissimes qui dépriment ou se suicident ? ils ne doivent pas être aussi heureux que ca....
 
Finalement, je crois que nous sommes tous d'accord pour dire que chacun a sa propre définition. J'ai essayé d'apporter une "mesure" dans mon post précédent, afin de comparer avec l'article cité par Pruls, mais j'aurais tout aussi bien pu dire que le bonheur, c'est quand j'ai la liberté de faire ce qui me plait, quand ça me plait, tel que l'a écrit Lore7249.

Je ne suis pas certain qu'une étude soit nécessaire pour conclure que différents éléments concourent au bonheur, et que chacun d'entre nous les listent et les pondèrent différemment !

Par ailleurs, je crois que l'étude scientifique citée est très mal commentée et rapportée par l'article. j'ai relu celui-ci attentivement, et en effet, il ne me semble pas que les scientifiques affirment qu'il existe un montant au-delà duquel l'argent ne fait plus le bonheur, ni qu'ils établissent un lien de causalité entre argent et bonheur. En fait, ils ont simplement comparer une mesure subjective du bonheur, et une mesure objective, c'est ce que l'on voit sur le graphique. Leur conclusion est que la mesure subjective est toujours croissante avec le revenu (autrement dit, subjectivement, oui, l'argent fait le bonheur), mais que la mesure objective plafonne (autrement dit, de manière concrète, on ne connait pas plus de moments de bonheur dans sa journée si l'on est millionnaire que si l'on gagne 75.000 dollars). Ils n'établissent aucun lien de causalité, au contraire, ils concluent que l'on est pas réellement plus heureux avec un million qu'avec 75K$, même si l'on affirme le contraire.

En tout cas, le post de Pruls aura ouvert le débat ! Je laisse Lore7249 jouer avec son petit dernier, c'est dimanche et il faut que je prépare les mojitos...
 
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