Ralph
Membre
Que du vent et mensonges => Je vote pour le recouvrement forcé ou la liquidation pour récupérer quelques miettes et déduire les pertes.
Suivez la vidéo ci-dessous pour voir comment installer notre site en tant qu'application web sur votre écran d'accueil.
Note.: Cette fonctionnalité peut ne pas être disponible dans certains navigateurs.
Merci beaucoup, vous assurez !apaki a dit:résumé grace a mon ami ChatGPT :
1. Contexte général
- Le secteur de la promotion immobilière est en crise sévère depuis ~3 ans :
- Forte inflation après l’invasion de l’Ukraine → explosion du coût des matériaux et du financement.
- Hausse brutale des taux d’intérêt → particuliers moins solvables, baisse des ventes.
- Effondrement des mises en vente neuves (moins de 10 000 logements au T3 2025, un plus bas historique).
- Même les grands acteurs comme Nexity sont très fragilisés (plan sociaux, chute du cours de bourse).
- Résultat : de nombreux promoteurs sont en difficulté, certains en procédure collective. Omunity rappelle que ce n’est pas “un mauvais dossier isolé” mais une crise de tout le secteur.
2. Rôle d’Omunity et relation avec Fiducim
- Omunity :
- 190 promoteurs accompagnés, plus de 600 opérations financées depuis 2014.
- 323 projets remboursés, 57 M€ remboursés aux investisseurs sur la seule année en cours.
- Avec le groupe Fiducim :
- 6 opérations financées, pour 27,1 M€ investis entre 2021 et l’été 2022 (avant le cœur de la crise).
- Omunity n’a pas refinancé Fiducim en 2023–2025, les expositions sont donc liées à cet « ancien monde » pré-crise.
3. Fiducim : historique, crise et adaptation
- Fiducim en bref :
- Créée en 2013, forte croissance : ~1 500 logements livrés, 280 M€ de CA, 20 résidences livrées avant 2021.
- En 2021 : plus de 1 100 réservations, Fiducim dans le top 20–30 des promoteurs français.
- La bascule :
- 2021–2022 : lancement de 13 résidences (290 M€ de CA, ~1 450 lots, taille moyenne ~120 lots, donc opérations plus grosses).
- Arrive la crise : hausse des coûts, entreprises de travaux défaillantes, renégociations de marchés, chantiers très retardés (2 à 3 ans), intérêts bancaires qui explosent.
- Certaines opérations deviennent déficitaires, absorbant les fonds propres du groupe.
- Points positifs :
- Moins de 3 % de stock invendu sur les 1 450 lots : commercialisation globalement réussie malgré le marché.
- Les banques continuent de suivre Fiducim, y compris sur des opérations sous GFA (garantie financière d’achèvement).
- Réorganisation interne :
- Réduction drastique des effectifs (d’environ 40 salariés à une dizaine, masse salariale divisée par 4).
- Baisse des coûts fixes (bureaux, charges).
- Vente de certains actifs « non prioritaires » pour générer de la trésorerie.
- Refus d’augmenter les prix de vente aux clients déjà engagés, contrairement à certains concurrents.
4. Pipeline de projets et partenariats
- Projets en cours / à livrer :
- Central One (Lens) : grande opération près du stade Bollaert, presque plus de stock, livraisons étalées fin 2025 / T1 2026. Coûts en hausse à cause des retards (pyrotechnie, complexité de site, etc.).
- White Line & Green Lane (Chartres) : chantiers bien avancés, quelques problèmes de fourniture (menuiseries), livraisons prévues entre mars et l’été 2026, encore un peu de stock à vendre mais dynamique attendue avec l’avancement visible des chantiers.
- Projets complexes en montage / développement :
- Megève – Le Richemont : opération lourde de remembrement, changement de PLU, va-et-vient mairie/hôtel/habitat, toujours vivante, en LOI avec un opérateur local qui pourrait reprendre et mener l’opération.
- Deauville – Saint-Gatien : vaste projet (golf, hôtel, résidences, terrains, enjeux de désartificialisation), soutien de la collectivité, validation en conseil communautaire, redépot de permis à venir.
- Outre-mer (Polynésie, Martinique) et France métropolitaine : 16 opérations en développement, >1 600 logements, pipeline global >800 M€ de CA.
- Plusieurs permis déjà obtenus et purgés, dont deux opérations de >30 000 m² chacune (ordre de grandeur >150 M€ chacune).
- Partenariats structurants :
- Signature début 2024 d’une convention de co-promotion avec un des 5–10 plus gros promoteurs nationaux, pour mutualiser les moyens et sécuriser le développement futur.
- Entrée d’un fonds d’investissement spécialisé Outre-mer pour soutenir les opérations ultramarines et renforcer les fonds propres.
5. Sécurisation des investisseurs et fiducie
- Omunity a mis en place une fiducie au niveau de Fiducim et des opérations concernées :
- Objectif : isoler et sécuriser les actifs (les projets) au bénéfice des créanciers, même en cas de procédure collective future.
- C’est un niveau de protection supplémentaire, au-delà de la caution solidaire habituelle sur d’autres opérations.
6. Plan de sortie et vote des investisseurs
- Constats financiers :
- Les échéances initiales ne sont pas tenues.
- Fiducim n’est pas en mesure de rembourser 100 % du capital immédiatement sur certaines opérations déficitaires.
- Ce qui va être proposé aux investisseurs :
- Un plan d’échelonnement : remboursement partiel à court terme + étalement du solde du capital sur plusieurs années, en capitalisant sur :
- la livraison des chantiers en cours,
- les marges et honoraires des projets futurs (notamment avec le partenaire national),
- la valeur des permis déjà obtenus.
- Alternative en cas de refus :
- Recouvrement forcé / procédures collectives (redressement, liquidation).
- Omunity et Fiducim estiment que cette voie aurait mécaniquement un risque de perte en capital bien plus élevé et des délais très longs.
7. Message de fin des intervenants
- Fiducim :
- Assume avoir commis des erreurs dans un contexte extrêmement violent.
- Revendique d’avoir « tenu » les opérations, protégé les clients finaux, maintenu la confiance des banques, et réinvesti ses propres fonds.
- Affirme sa volonté de ne rien abandonner, de traverser le creux de vague et de reconstituer des fonds propres pour rembourser les obligataires.
- Omunity :
- Se présente comme co-investisseur, pas comme décideur : le choix appartiendra aux investisseurs via un vote.
- S’engage à fournir des rapports détaillés opération par opération pour voter en connaissance de cause.
- Indique clairement que, de son point de vue d’investisseur, la solution la plus rationnelle est de laisser du temps au groupe, en acceptant un rééchelonnement plutôt que de pousser à la liquidation.
Carrière longue : qui pourra partir plus tôt à la retraite avec la suspension de la réforme ?
AAH, RSA, allocations familiales... Les nouveaux montants (probables) de vos aides CAF en 2026
Livret A, LEP, LDDS... La mauvaise nouvelle se confirme, les taux risquent bien de baisser en 2026
Frais de succession : votre banque respecte-t-elle la nouvelle loi ?
Héritage : « Quels sont les frais que je vais payer au notaire pour toucher la succession ? »
RSA : combien toucherez-vous en 2026 si le « dégel » des aides de la CAF est confirmé ?


