agra07
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Et le juge devrait apprécier la gravité de la faute ayant conduit à l'appauvrissement (simple négligence ou faute grave par exemple) de façon, le cas échéant, à modérer en conséquence l'indemnité due.Aristide a dit:"Est-ce que la perte du chèque par le vendeur ( = l'appauvri) serait considérée - ou non - comme une faute de sa part ?"
En somme, le vendeur à qui l'acquéreur ramènerait son chèque perdu, serait redevable envers celui-ci d'une récompense à la hauteur de sa négligence.
Quand le droit rejoint la morale...



