MRGT34
Contributeur régulier
La sujet de cette file est "action en justice pour usage de l'année lombarde"
Donc, sauf à ce que tout un chacun raconte combien il a gagné ou combien il a perdu, ce qui compte, c'est comment il a gagné et sur la base de quel argument il a gagné.
Donc inévitablement, et sauf à torturer la langue française pourtant déjà bien riche, on en arrive au fondement des décisions. Parmi ces dernières, il y a les bonnes démonstrations d'un usage prohibé, et les mauvaises.
Le danger ici est que certains ne comprennent pas, ou ne veulent pas comprendre, en quoi certains calculs ne causent aucun préjudice au contraire d'autres.
A force de vouloir à toute force dire que la seule référence à 360 fait grief (lecture toute juridique qui oublie que le droit est construit sur des raisons morales, économiques, sécuritaires, protections des hommes, de l'environnement, ..., et pas sur de pures spéculations oiseuses, contrairement à ce que certains tentent de nous faire croire), ces mêmes ne comprennent pas pourquoi ils se font ensuite tarter en appel. J'ai hâte d'une décision en cassation pour que le droit soit dit, mais là, attendons encore un peu.
Je reprends un dernier argument pour les plus irréductibles : il faut regarder toutes les échéances (ou les quelques suivantes) pour s'assurer que le calcul des intérêts qui a été réalisé n'induit pas un coût supérieur à celui qui aurait dû être fait, selon une règle licite et en usage dans la profession ; s'arrêter à une seule échéance revient à s'exposer à une riposte de la partie adverse qui explique aux magistrats qu'en réalité, il n'y a pas de grief.
Cette attitude intellectuelle est sage, car elle se ramène au sens profond de ce proverbe (proverbe signifie vérité d'expérience) : "Une hirondelle ne fait pas le printemps".
Je me retire sur pointe des pieds
Donc, sauf à ce que tout un chacun raconte combien il a gagné ou combien il a perdu, ce qui compte, c'est comment il a gagné et sur la base de quel argument il a gagné.
Donc inévitablement, et sauf à torturer la langue française pourtant déjà bien riche, on en arrive au fondement des décisions. Parmi ces dernières, il y a les bonnes démonstrations d'un usage prohibé, et les mauvaises.
Le danger ici est que certains ne comprennent pas, ou ne veulent pas comprendre, en quoi certains calculs ne causent aucun préjudice au contraire d'autres.
A force de vouloir à toute force dire que la seule référence à 360 fait grief (lecture toute juridique qui oublie que le droit est construit sur des raisons morales, économiques, sécuritaires, protections des hommes, de l'environnement, ..., et pas sur de pures spéculations oiseuses, contrairement à ce que certains tentent de nous faire croire), ces mêmes ne comprennent pas pourquoi ils se font ensuite tarter en appel. J'ai hâte d'une décision en cassation pour que le droit soit dit, mais là, attendons encore un peu.
Je reprends un dernier argument pour les plus irréductibles : il faut regarder toutes les échéances (ou les quelques suivantes) pour s'assurer que le calcul des intérêts qui a été réalisé n'induit pas un coût supérieur à celui qui aurait dû être fait, selon une règle licite et en usage dans la profession ; s'arrêter à une seule échéance revient à s'exposer à une riposte de la partie adverse qui explique aux magistrats qu'en réalité, il n'y a pas de grief.
Cette attitude intellectuelle est sage, car elle se ramène au sens profond de ce proverbe (proverbe signifie vérité d'expérience) : "Une hirondelle ne fait pas le printemps".
Je me retire sur pointe des pieds