Bonjour,
falconkil a dit:
Ce que je comprends c'est si il y a une erreur dans le calcul cela entraîne une modification plus ou moins grande du TEG qui ne peux être descelle et cela peut entraîner la mise au taux légal de celui-ci même après 5 ans.
La prescription de 5 ans s'applique que si seulement une personne non professionnel ou avec l'aide d'un professionnel descelle sans aucun moyen de calcul une erreur grossière (les année lombarde ou tout oublie des frais et commissions dans leur ensemble) qui engendre de ce faite une grosse erreur du TEG.
Le délai de prescription démarre dès que l'emprunteur peut avoir connaissance de l'erreur.
Concernant le calcul lombard, si l'offre de prêt -
que l'emprunteur ne peut accepter qu'après en avoir pris connaissance et réfléchi pendant 10 jours francs/entiers - mentionne expressément que les intérêts sont calculés sur la base de 360 jours (= 12 mois de 30 jour) cet emprunteur est censé avoir eu immédiatement connaissance de l'anomalie et le délai de prescription de 5 ans démarre donc dès son acceptation.
S'il s'agit d'une erreur de calcul non immédiatement décelable, ce même délai ne démarre qu'à partir du moment où l'anomalie a été trouvée.
C'est une question que je vais lui poser savoir ci ce logiciel a été certifié par un organisme ou par un expert reconnu.
???
Prenez n'importe quel tableur et/ou n'importe quelle calculette financière avec les mêmes paramètres saisis ils vous donneront tous les même résultats.
Le problème n'est pas le logiciel; ce sont les éléments avec lesquels ils sont renseignés et le moment (date) où ils sont intégrés dans le calcul.
Des frais de 5.000€ payés à la mise à disposition des fonds (= échéance zéro) impacteront plus (à la hausse) le TEG que s'ils ne sont prélevés qu'en même tant que la première échéance.......et, à fortiori si c'est avec la dernière.
Ecr a dit:
Je ne comprends vraiment pas ce forum que je suis pourtant depuis des mois.
Une nouvelle jurisprudence change totalement la donne : [lien réservé abonné] et personne ou presque n'en parle...
Il me paraît illusoire de chercher à obtenir a nullité des intérêts, surtout pour des calculs sur 360 jours dont le préjudice réel n'est que de quelques dizaines d'euros au plus.
Dans cet échange - page 249 ci-dessus - vous trouverez une très bonne explication de la nuance entre "la déchéance du droits au intérêts" et la "nullité de la convention d'intérêts)
https://www.moneyvox.fr/forums/fil/...barde-360-jours.25660/post-237262#post-237262
La première concerne
une erreur dans l'offre de prêt et la sanction est à l'appréciation du juge.
Il semblerait, qu'effectivement, la tendance des juges soit désormais d'aller dans ce sens et de proportionner la sanction au préjudice réel.
La seconde concerne
le contrat de prêt où là, le juge n'a pas le choix; la nullité de la convention d'intérêt ne peut être que l'application du taux légal.
Un post plus ancien vous donnera encore plus de détails
Quand la banque perd le droit aux intérêts, mise au point sur la déchéance du prêteur
https://www.moneyvox.fr/forums/fil/...e-au-point-sur-la-decheance-du-preteur.15336/
Cdt