paal
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C'est curieux, mais cela me ramène à une époque ou j'oeuvrais dans une entreprise qui s'intéressait aux systèmes experts (à leur débuts vers 1984)Membre33312 a dit:C'est ce qu'on pense tous.
On croit tous faire davantage qu'on robot, et on a souvent raison. Mais on oublie qu'un robot pourrait souvent suffire
Et le but du jeu, c'était de rentrer l'expertise humaine sous une forme appropriée (appelée intelligence artificielle), et de tenter de faire en sorte que l'expert humain finisse par coopérer, et une fois une situation spécifique traitée (à titre d'exemple) que l'expert finisse par comprendre qu'il dispose d'un CHOIX entre
- considérer le système (une forme de robot) soit comme un concurrent,
- soit comme une aide (qui va plus vite que le cerveau humain, et examine les solutions de façon systématique - sans intuition éliminatrice donc) ...
Mais ce n'est pas gagné, car l'esprit humain possède des "a-priori"...
Parmi les expérimentations auxquelles j'ai pu assister, cela conduisait les experts ayant accepté la coopération de voir :
- nombre important de situations assez classiques et standard, où l'expertise de l'utilisateur n'est pas foncièrement nécessaire (ce qui permettait de traiter entre 55 et 70% des cas), d'où un allègement de charge de travail important
- les cas plus spécifiques requérant une expertise ACCRUE, de permettre à l'expert de se concentrer sur ces cas la nécessitant ....
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